Chansons, Bind 1Ador, Libraire-Éditeur, 1833 - 487 sider |
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Side 65
... pour rire Et pour tout dire , Il n'est besoin , ma foi , D'un privilége du roi ! L'état ayant plus d'un membre Que la presse eût fait trembler , Qu'on ait craint son franc - parler Dans la chambre et l'antichambre ; Riez - en avec » 65 •
... pour rire Et pour tout dire , Il n'est besoin , ma foi , D'un privilége du roi ! L'état ayant plus d'un membre Que la presse eût fait trembler , Qu'on ait craint son franc - parler Dans la chambre et l'antichambre ; Riez - en avec » 65 •
Side 132
... Dire un peu son fait . Chapeau bas ! etc. Prêtres que nous vengeons , Levez la dîme et partageons ; Et toi , peuple animal , Porte encor le bât féodal . Seuls nous chasserons , Et tous vos tendrons Subiront l'honneur Du droit du ...
... Dire un peu son fait . Chapeau bas ! etc. Prêtres que nous vengeons , Levez la dîme et partageons ; Et toi , peuple animal , Porte encor le bât féodal . Seuls nous chasserons , Et tous vos tendrons Subiront l'honneur Du droit du ...
Side 171
... dire avec rudesse Un médecin indiscret : Mais Lisette est si jolie ! Mais si doux est le bon vin ! Fouette , cocher ! dit la Folie ; Et me voilà sur le chemin . Parmi vous bientôt , peut - être , Je chanterai mon retour . Déjà je crois ...
... dire avec rudesse Un médecin indiscret : Mais Lisette est si jolie ! Mais si doux est le bon vin ! Fouette , cocher ! dit la Folie ; Et me voilà sur le chemin . Parmi vous bientôt , peut - être , Je chanterai mon retour . Déjà je crois ...
Side 219
... dire Que c'est le quinze d'août . « Le quinze d'août ! s'écrie >> Bellart toujours en fureur : » Vous ne fêtez pas Marie , » Mais vous fêtez l'Empereur ! » Halte - là ! ( bis . ) etc. Je me tais donc par prudence Et n'offre que quelques ...
... dire Que c'est le quinze d'août . « Le quinze d'août ! s'écrie >> Bellart toujours en fureur : » Vous ne fêtez pas Marie , » Mais vous fêtez l'Empereur ! » Halte - là ! ( bis . ) etc. Je me tais donc par prudence Et n'offre que quelques ...
Side 228
... Mon ami . Biribi veut dire en latin L'homme de Sainte - Hélène . Barbari , c'est , j'en suis certain , Un peuple qu'on enchaîne . ? Mon ami ce n'est pas le roi ; Et faridondaine Attaque la foi . Que dirait de mieux Marchangy , +228 +.
... Mon ami . Biribi veut dire en latin L'homme de Sainte - Hélène . Barbari , c'est , j'en suis certain , Un peuple qu'on enchaîne . ? Mon ami ce n'est pas le roi ; Et faridondaine Attaque la foi . Que dirait de mieux Marchangy , +228 +.
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Adieu amis amours Athène Bacchus beau jour bel âge belle Bénis Biribi boire bonheur Brav brille buvons chansons chante chapeau charme cher ciel cieux cœur coquette COUPLETS couronne crains crie D'où te vient diable Dieu dieux doux écuelle d'argent enfans époux femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gens gloire Gloria tibi gloux grace GRENADIER gueux hélas Heureux villageois J'ai j'aime j'en jolie joyeux l'amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette lith m'en mam'selle maman Margot Messieurs Mistigris Momus mort muse Myrmidons Nabuchodonosor oiseaux p'tit paix Pape est gris passé patrie pauvre peuple plaisir plaisirs pleurs printemps Psara qu'un refrains rien rire Roger Bontemps rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE seul soldats souris Sylphide tendre tintin tontaine tonton treize à table Trinquons Vaudeville veux VIEILLARD vieille Viens vient cette écuelle vient l'Amour vieux vlan voilà vois voix Voltaire yeux
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Side 75 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 203 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 327 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 329 - J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 286 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 383 - Combien d'imperceptibles êtres ! De petits jésuites bilieux ! De milliers d'autres petits prêtres Qui portent de petits bons dieux ! Béni par eux, tout dégénère; Par eux la plus vieille des cours N'est plus qu'un petit séminaire; Mais les barbons règnent toujours.
Side 286 - L'une de vous peut-être est née Au toit où j'ai reçu le jour ; Là, d'une mère infortunée Vous avez dû plaindre l'amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : De son amour ne me parlez-vous pas ? Ma sœur est-elle mariée...
Side 325 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 151 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?