Chansons, Bind 1Ador, Libraire-Éditeur, 1833 - 487 sider |
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Side 235
... chapeau de cardinal . Vils roturiers , etc. Je veux corrompre un député : Pour l'amour et la liberté Il était plus chaud qu'une caille . L'aveu que ma bouche octroya Mit les droits de l'homme à quia . Vils roturiers , etc. Mon fermier ...
... chapeau de cardinal . Vils roturiers , etc. Je veux corrompre un député : Pour l'amour et la liberté Il était plus chaud qu'une caille . L'aveu que ma bouche octroya Mit les droits de l'homme à quia . Vils roturiers , etc. Mon fermier ...
Side 262
... chapeau goudronné , Comme l'honneur de la province , Ce Bourguignon nous est donné . ( bis . ) Quoiqu'il soit d'âge respectable , Que d'un beau nom il soit porteur , ( bis . ) Chut ! mes amis ; il fait jaser à table : C'est un agent ...
... chapeau goudronné , Comme l'honneur de la province , Ce Bourguignon nous est donné . ( bis . ) Quoiqu'il soit d'âge respectable , Que d'un beau nom il soit porteur , ( bis . ) Chut ! mes amis ; il fait jaser à table : C'est un agent ...
Side 273
... chapeau de la mariée Sa fille aussi coiffer l'Amour ! Ces deux époux , etc. Pour que l'hymen fasse merveilles , Versez d'un Bordeaux réchauffant , Reste du vin mis en bouteilles Au baptême de votre enfant . Ces deux époux , etc ...
... chapeau de la mariée Sa fille aussi coiffer l'Amour ! Ces deux époux , etc. Pour que l'hymen fasse merveilles , Versez d'un Bordeaux réchauffant , Reste du vin mis en bouteilles Au baptême de votre enfant . Ces deux époux , etc ...
Side 276
... chapeau . *** Tristan est le nom du grand - prévôt de Louis XI . Il était gentilhomme , et réunissait aux fonctions de juge celles d'exécuteur des hautes - œuvres . Qu'en république on puisse y toujours vivre : C'est un 276 +.
... chapeau . *** Tristan est le nom du grand - prévôt de Louis XI . Il était gentilhomme , et réunissait aux fonctions de juge celles d'exécuteur des hautes - œuvres . Qu'en république on puisse y toujours vivre : C'est un 276 +.
Side 288
... chapeau bas : Jupin , de ton arrêt j'appelle , Ta balance et tes poids sont faux . Ta cour de justice éternelle A - t - elle eu ses gardes - des - sceaux ? Braque tes lunettes , vieux sire , Sur le front couronné par nous ; De la ...
... chapeau bas : Jupin , de ton arrêt j'appelle , Ta balance et tes poids sont faux . Ta cour de justice éternelle A - t - elle eu ses gardes - des - sceaux ? Braque tes lunettes , vieux sire , Sur le front couronné par nous ; De la ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Adieu amis amours Athène Bacchus beau jour bel âge belle Bénis Biribi boire bonheur Brav brille buvons chansons chante chapeau charme cher ciel cieux cœur coquette COUPLETS couronne crains crie D'où te vient diable Dieu dieux doux écuelle d'argent enfans époux femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gens gloire Gloria tibi gloux grace GRENADIER gueux hélas Heureux villageois J'ai j'aime j'en jolie joyeux l'amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette lith m'en mam'selle maman Margot Messieurs Mistigris Momus mort muse Myrmidons Nabuchodonosor oiseaux p'tit paix Pape est gris passé patrie pauvre peuple plaisir plaisirs pleurs printemps Psara qu'un refrains rien rire Roger Bontemps rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE seul soldats souris Sylphide tendre tintin tontaine tonton treize à table Trinquons Vaudeville veux VIEILLARD vieille Viens vient cette écuelle vient l'Amour vieux vlan voilà vois voix Voltaire yeux
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Side 75 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 203 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 327 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 329 - J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 286 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 383 - Combien d'imperceptibles êtres ! De petits jésuites bilieux ! De milliers d'autres petits prêtres Qui portent de petits bons dieux ! Béni par eux, tout dégénère; Par eux la plus vieille des cours N'est plus qu'un petit séminaire; Mais les barbons règnent toujours.
Side 286 - L'une de vous peut-être est née Au toit où j'ai reçu le jour ; Là, d'une mère infortunée Vous avez dû plaindre l'amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : De son amour ne me parlez-vous pas ? Ma sœur est-elle mariée...
Side 325 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 151 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?