Oeuvres anciennes: chansons, Bind 1

Forsideomslag
Garnier frères, 1875
 

Almindelige termer og sætninger

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Side 4 - ... D'un simple bonnet de coton, Dit-on. Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah! Quel bon petit roi c'était là! La, la. Il faisait ses quatre repas Dans son palais de chaume, Et sur un âne, pas à pas, Parcourait son royaume. Joyeux, simple et croyant le bien, Pour toute garde il n'avait rien Qu'un chien.
Side 125 - ... Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter, c'est mourir.
Side 19 - Combien je regrette Mon bras si dodu, Ma jambe bien faite, Et le temps perdu I Quoi ! maman, vous n'étiez pas sage?
Side 88 - N'allons point en Germanie Chercher les règles du goût. N'empruntons à nos voisins Que leurs femmes et leurs vins. Mes amis, mes amis, Soyons de notre pays, Oui, soyons de notre pays. Notre gloire est sans seconde : Français, où sont nos rivaux?
Side 315 - Chez vos voisins vous portez l'incendie : L'aquilon souffle, et vos toits sont brûlés ; Et quand la terre est enfin refroidie, Le soc languit sous des bras mutilés. Près de la borne où chaque état commence, Aucun épi n'est pur de sang humain. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez-vous la main.
Side 186 - Le bon Dieu me dit : Chante, Chante, pauvre petit ! Chanter, ou je m'abuse, Est ma tâche ici-bas. Tous ceux qu'ainsi j'amuse Ne m'aimeront-ils pas?
Side 236 - Et bonne vieille', au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les, chansons.
Side 289 - Qu'il va lentement le navire A qui j'ai confié mon sort! Au rivage où mon cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port! France adorée! Douce contrée! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où je reviens mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre! terre! là-bas, voyez! Ah! tous mes maux sont oubliés.
Side 5 - Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! Quel bon petit roi c'était là ! La, la.
Side 64 - Gai ! gai ! serrons nos rangs, Espérance De la France; Gai ! gai ! serrons nos rangs; En avant, Gaulois et Francs ! Quoi ! ces monuments chéris, Histoire De notre gloire, S'écrouleraient en débris!

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