Chansons Précédées d'un notice sur l'auteur et d'un essai sur ses poésis par P.F. Tissot, Bind 2–3 |
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Resultater 1-5 af 11
Side 47
... honneur ! Chantons ce jour cher à nos belles , Où tant de rois par leurs succès Ont puni les Français rebelles , Et sauvé tous les bons Français . Jour de paix , jour de délivrance , Qui des CHANSONS DE BÉRANGER . 47 La Cocarde blanche.
... honneur ! Chantons ce jour cher à nos belles , Où tant de rois par leurs succès Ont puni les Français rebelles , Et sauvé tous les bons Français . Jour de paix , jour de délivrance , Qui des CHANSONS DE BÉRANGER . 47 La Cocarde blanche.
Side 76
... cher , Et cher à Moscou même , J'ai donné gratis à Pantin , Tintin , tintin , tintin , r'lin tintin , J'ai donné gratis à Pantin : Soldats , voilà Catin ! Quand au nombre il fallut céder La Victoire infidèle , Que n'avais - je pour vous ...
... cher , Et cher à Moscou même , J'ai donné gratis à Pantin , Tintin , tintin , tintin , r'lin tintin , J'ai donné gratis à Pantin : Soldats , voilà Catin ! Quand au nombre il fallut céder La Victoire infidèle , Que n'avais - je pour vous ...
Side 115
... . De tous les jours où brilla mon courage J'achèterais un jour de vos combats . Je l'avoûrai , vos palmes immortelles M'ont rendu cher un nouvel étendard Amis du vin , de la gloire et des belles CHANSONS DE BÉRANGER . 115.
... . De tous les jours où brilla mon courage J'achèterais un jour de vos combats . Je l'avoûrai , vos palmes immortelles M'ont rendu cher un nouvel étendard Amis du vin , de la gloire et des belles CHANSONS DE BÉRANGER . 115.
Side 223
... cher Dupont , je ne vous connais plus . Dupont , Dupont , je ne vous connais plus . 1 L'auteur avait encore sa place d'expéditionnaire à l'Université . Du peuple obtenez le suffrage ; Moi , du pouvoir CHANSONS DE BÉRANGER . 223.
... cher Dupont , je ne vous connais plus . Dupont , Dupont , je ne vous connais plus . 1 L'auteur avait encore sa place d'expéditionnaire à l'Université . Du peuple obtenez le suffrage ; Moi , du pouvoir CHANSONS DE BÉRANGER . 223.
Side 224
... cher Dupont , je ne vous connais plus . Dupont , Dupont , je ne vous connais plus . Chez nous le courage importune , Et votre sage et noble voix A fait trembler à la tribune Ceux qui méconnaissent nos droits . De vos discours on tient ...
... cher Dupont , je ne vous connais plus . Dupont , Dupont , je ne vous connais plus . Chez nous le courage importune , Et votre sage et noble voix A fait trembler à la tribune Ceux qui méconnaissent nos droits . De vos discours on tient ...
Almindelige termer og sætninger
Adieu agent provocateur Alger amis amours ange Athène Bagnolet beau jour bel âge belle Biribi chambertin chansonnier chante chapeau bas charmes Chauffons-nous cher ciel cieux cœur congrès COUPLETS couronne d'heureux jours Daignez sourire dansez déja diable est mort Dieu dieux doux enfants Enfin nous commandons fée filles fils fleurs flûte et basse gai troubadour gaîment gaîté renaîtra gloire glous Grace GRENADIER hélas J'ai cinquante écus j'ai vu Judas jolie Jupiter livre l'Amitié l'Amour lauriers liberté Lisette lyre m'en doutais marquis de Carabas marquise de Pretintaille monde Aux mirmidons Muse noble paix passé patrie pauvre peuple plaisirs pleurs priez pour moi printemps prison Psara Reine des flots rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE sourit suivons un vieux Sylphide tintin tontaine tonton treize à table trembler Trinquons trouvères Turlupin unissons vaudeville vilain violon vogue ma nacelle vois voix yeux zéphyr
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Side 229 - Chacun disait: Quel beau temps! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux; D'un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, grand'mère! Quel beau jour pour vous ! • Mais, quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre. Bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'assoit où me voilà, S'écriant...
Side 105 - De quel éclat brillaient dans la bataille « Ces habits bleus par la Victoire usés ! « La liberté mêlait à la mitraille « Des fers rompus et des sceptres brisés. « Les nations, reines par nos conquêtes, « Ceignaient de fleurs le front de nos soldats. « Heureux celui qui mourut dans ces fêtes ! « Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Tant de vertu trop tôt fut obscurcie.
Side 94 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 67 - On vous dira : Savait-il être aimable ? Et sans rougir vous direz : Je l'aimais. D'un trait méchant se montra-t-il capable? Avec orgueil vous répondrez : Jamais. Ah! dites bien qu'amoureux et sensible, D'un luth joyeux il attendrit les sons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons.
Side 229 - L'an d'après, moi pauvre femme, A Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : II se rendait à Notre-Dame. Tous les cœurs étaient contents ; On admirait son cortège. Chacun disait : quel beau temps ! Le ciel toujours le protège.
Side 159 - De francs amis et l'amour des chansons. Bravant le monde et les sots et les sages, Sans avenir, riche de mon printemps, Leste et joyeux je montais six étages. Dans un grenier qu'on est bien à vingt ans ! C'est ur grenier, point ne veux qu'on l'ignore.
Side 165 - Chez vos voisins vous portez l'incendie : L'aquilon souffle , et vos toits sont brûlés , Et quand la terre est enfin refroidie , Le soc languit sous des bras mutilés. Près de la borne où chaque État commence, Aucun épi n'est pur de sang humain. Peuples , formez une sainte alliance , Et donnez-vous la main.
Side 230 - J'ai faim, dit-il ; et bien vite Je sers piquette et pain bis ; Puis il sèche ses habits, Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : " Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France.
Side 105 - Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Qui nous rendra , dit cet homme héroïque , Aux bords du Rhin , à Jemmape , à Fleurus , Ces paysans, fils de la République, Sur la frontière à sa voix accourus? Pieds nus, sans pain, sourds aux lâches alarmes, Tous à la gloire allaient du même pas.
Side 60 - Eh quoi ! ma fille Ne m'a donné qu'un faiseur de chansons ! Mieux jour et nuit vaudrait tenir l'aiguille Que, faible écho, mourir en de vains sons.