Chansons Précédées d'un notice sur l'auteur et d'un essai sur ses poésis par P.F. Tissot, Bind 2–3 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 29
Side 10
... belle , Entrer chez nous sans confesseur . Elle s'écrie : Ah ! quoique bonne , Mon corps à peine est inhumé ! Mais qu'à mon curé Díeu pardonne ; Hélas ! il n'a jamais aimé . Dieu lui - même Ordonne qu'on aime . Je vous le dis , en ...
... belle , Entrer chez nous sans confesseur . Elle s'écrie : Ah ! quoique bonne , Mon corps à peine est inhumé ! Mais qu'à mon curé Díeu pardonne ; Hélas ! il n'a jamais aimé . Dieu lui - même Ordonne qu'on aime . Je vous le dis , en ...
Side 29
... Déja redoute un ennemi : C'est Lisette qui nous rappelle Sous les lois de la volupté . Elle veut régner , elle est belle ; C'en est fait de la liberté . L'IVROGNE ET SA FEMME . AIR : Quand les boeufs 3 . CHANSONS DE BERANGER . 29.
... Déja redoute un ennemi : C'est Lisette qui nous rappelle Sous les lois de la volupté . Elle veut régner , elle est belle ; C'en est fait de la liberté . L'IVROGNE ET SA FEMME . AIR : Quand les boeufs 3 . CHANSONS DE BERANGER . 29.
Side 67
... belle en sanglotant Se confesse à voix basse . D'un divorce éclatant Tout haut il la menace . Zon ! flûte et basse ! Zon ! violon ! Zon ! flûte et basse ! Et violon , zon , zon ! Monsieur jure après nous ; Mais qu'à tout il se fasse ...
... belle en sanglotant Se confesse à voix basse . D'un divorce éclatant Tout haut il la menace . Zon ! flûte et basse ! Zon ! violon ! Zon ! flûte et basse ! Et violon , zon , zon ! Monsieur jure après nous ; Mais qu'à tout il se fasse ...
Side 71
... belle maîtresse ! Vous vieillirez , et je ne serai plus . Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus . Survivez - moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et ...
... belle maîtresse ! Vous vieillirez , et je ne serai plus . Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus . Survivez - moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et ...
Side 92
... belle Soupirer sur le bord . Eh ! vogue ma nacelle , ( O doux zéphyr ! sois - moi fidèle . ) Eh ! vogue ma nacelle , Nous trouverons un port . Mais , loin du roc perfide Qui produit le laurier , Quel astre heureux me guide Vers un ...
... belle Soupirer sur le bord . Eh ! vogue ma nacelle , ( O doux zéphyr ! sois - moi fidèle . ) Eh ! vogue ma nacelle , Nous trouverons un port . Mais , loin du roc perfide Qui produit le laurier , Quel astre heureux me guide Vers un ...
Almindelige termer og sætninger
Adieu agent provocateur Alger amis amours ange Athène Bagnolet beau jour bel âge belle Biribi chambertin chansonnier chante chapeau bas charmes Chauffons-nous cher ciel cieux cœur congrès COUPLETS couronne d'heureux jours Daignez sourire dansez déja diable est mort Dieu dieux doux enfants Enfin nous commandons fée filles fils fleurs flûte et basse gai troubadour gaîment gaîté renaîtra gloire glous Grace GRENADIER hélas J'ai cinquante écus j'ai vu Judas jolie Jupiter livre l'Amitié l'Amour lauriers liberté Lisette lyre m'en doutais marquis de Carabas marquise de Pretintaille monde Aux mirmidons Muse noble paix passé patrie pauvre peuple plaisirs pleurs priez pour moi printemps prison Psara Reine des flots rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE sourit suivons un vieux Sylphide tintin tontaine tonton treize à table trembler Trinquons trouvères Turlupin unissons vaudeville vilain violon vogue ma nacelle vois voix yeux zéphyr
Populære passager
Side 229 - Chacun disait: Quel beau temps! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux; D'un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, grand'mère! Quel beau jour pour vous ! • Mais, quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre. Bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'assoit où me voilà, S'écriant...
Side 105 - De quel éclat brillaient dans la bataille « Ces habits bleus par la Victoire usés ! « La liberté mêlait à la mitraille « Des fers rompus et des sceptres brisés. « Les nations, reines par nos conquêtes, « Ceignaient de fleurs le front de nos soldats. « Heureux celui qui mourut dans ces fêtes ! « Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Tant de vertu trop tôt fut obscurcie.
Side 94 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 67 - On vous dira : Savait-il être aimable ? Et sans rougir vous direz : Je l'aimais. D'un trait méchant se montra-t-il capable? Avec orgueil vous répondrez : Jamais. Ah! dites bien qu'amoureux et sensible, D'un luth joyeux il attendrit les sons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons.
Side 229 - L'an d'après, moi pauvre femme, A Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour : II se rendait à Notre-Dame. Tous les cœurs étaient contents ; On admirait son cortège. Chacun disait : quel beau temps ! Le ciel toujours le protège.
Side 159 - De francs amis et l'amour des chansons. Bravant le monde et les sots et les sages, Sans avenir, riche de mon printemps, Leste et joyeux je montais six étages. Dans un grenier qu'on est bien à vingt ans ! C'est ur grenier, point ne veux qu'on l'ignore.
Side 165 - Chez vos voisins vous portez l'incendie : L'aquilon souffle , et vos toits sont brûlés , Et quand la terre est enfin refroidie , Le soc languit sous des bras mutilés. Près de la borne où chaque État commence, Aucun épi n'est pur de sang humain. Peuples , formez une sainte alliance , Et donnez-vous la main.
Side 230 - J'ai faim, dit-il ; et bien vite Je sers piquette et pain bis ; Puis il sèche ses habits, Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : " Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France.
Side 105 - Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Qui nous rendra , dit cet homme héroïque , Aux bords du Rhin , à Jemmape , à Fleurus , Ces paysans, fils de la République, Sur la frontière à sa voix accourus? Pieds nus, sans pain, sourds aux lâches alarmes, Tous à la gloire allaient du même pas.
Side 60 - Eh quoi ! ma fille Ne m'a donné qu'un faiseur de chansons ! Mieux jour et nuit vaudrait tenir l'aiguille Que, faible écho, mourir en de vains sons.