Œuvres de Schiller .., Bind 8Hachette, 1880 |
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absolument acte action affections âme beau besoin bornes carac caractère chose cœur conditions conscience conséquent contraire déterminé devoir dignité doit domination effet elle-même Énéide esprit état état de nature faculté force forces physiques forme général genre Goethe goût grandeur Homère homme idéal idées impression indépendante infinie instinct intelli jamais jugement esthétique Kant Klopstock l'âme l'apparence l'art l'autre l'entendement l'esprit l'état l'expérience l'homme l'humanité l'idéal l'idée l'imagination l'impulsion l'inclination l'instinct l'objet Laocoon liberté libre libre arbitre limites loi morale lois lui-même manifeste matière ment mille unités monde des sens mouvements nature humaine nature sensible nécessaire nécessité noble Note de Schiller Nouvelle Thalie objet pable particulier pathétique pensée personne phénomènes plaisir poésie sentimentale poëte naïf poétique précisément principe produit propre puissance puisse pure qu'une raison rale rapport réalité réelle représenter rien sensation sentiment sera seulement simple sorte souf souffrance sublime sujet tence tion tragédie tragique trouve ture vérité volonté vrai
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Side 133 - Hail horrors, hail Infernal world, and thou profoundest Hell, Receive thy new possessor ; one who brings A mind not to be chang'd by place or time.
Side 60 - c'est la beauté de la forme, sous l'influence de la libre volonté ». Schiller a conscience, à ce moment, d'être en présence d'un paradoxe.
Side 128 - Ecce autem gemini Tenedo tranquilla per alta (horresco referens) immensis orbibus angues incumbunt pelago, pariterque ad littora tendunt. Pectora quorum inter fluctus arrecta, jubaeque sanguineae exsuperant undas, pars caetera pontum pone legit, sinuatque immensa volumine terga.
Side 243 - Une fois pour toutes et pour en finir, l'homme ne joue que là où il est homme dans la pleine signification du mot, et il n'est homme complet que là où il joue
Side 199 - Alors il y eut rupture entre l'État et l'Église , entre les lois et les mœurs; la jouissance fut séparée du travail, le moyen du but, l'effort de la récompense. Éternellement enchaîné à un seul petit fragment du tout, l'homme lui-même ne se forme que comme fragment; n'ayant sans cesse dans l'oreille que le bruit monotone de la roue qu'il fait tourner , il ne développe jamais l'harmonie de son être ; et, au lieu d'imprimer à sa nature le sceau de l'humanité, il finit par n'être plus...
Side 217 - Schiller à l'égard de la civilisation dépasse, dans quelques-unes de ces lettres, même celui du Discours sur les Arts et les Sciences. Ne croirait-on pas, en effet, entendre l'auteur du Premier Discours quand Schiller écrit dans la dixième lettre : « En effet, il est digne de réflexion que, dans presque toutes les époques de l'histoire où les arts fleurissent et où le goût règne, on trouve l'humanité déchue, et qu'on ne peut citer un seul exemple d'un haut degré et d'une grande diffusion...
Side 117 - Voltaire n'oublient jamais leur rang, même dans les plus violents accès de passion ; et ils dépouilleront leur humanité bien plutôt que leur dignité. Ils ressemblent à ces rois et à ces empereurs de nos vieux livres d'images, qui se mettent au lit avec leur couronne.
Side 304 - Schiller conclut qu'un tel état, « que nous nommons de la belle apparence », existe dans une aine douée de sentiments délicats, dans des cercles choisis « où, marchant à travers les relations les plus complexes avec une hardie simplicité et une calme innocence, l'homme n'a besoin ni de léser la liberté d'autrui pour maintenir la sienne, ni de dépouiller sa dignité pour montrer de la grâce ». Voyez aussi le passage de la même lettre : « Nul privilège, nul despotisme, etc. » profond...
Side 242 - Sans doute, nous ne devons pas songer ici à ces jeux , en usage dans la vie réelle, qui d'ordinaire ne se rapportent qu'à des objets très-matériels ; mais c'est vainement aussi que nous chercherions dans la vie réelle la beauté dont il est question ici. Le beau de l'existence réelle est digne de...
Side 298 - ... exubérante, sans en user, sans en jouir, la vie peut le dépenser en mouvements libres et joyeux. C'est ainsi que la nature nous offre déjà, dans sa sphère matérielle, comme un prélude à l'illimité, et que, là même, elle supprime en partie les chaînes dont elle se délivrera complètement dans l'empire de la forme, pour passer de la contrainte du besoin, ou du sérieux physique, au jeu esthétique; la contrainte de la surabondance, ou le jeu physique, lui sert de transition, et avant...