Œuvres complètes de P.J. de Béranger, Bind 2Perrotin, 1834 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 11
Side 58
... proie à de longs débats ; La fleur des champs brille à ta boutonnière : Mon vieil ami , ne nous séparons pas . Ne crains plus tant ces jours de courses vaines Où notre destin fut pareil ; Ces jours mêlés de 58 CHANSONS DE BÉRANGER .
... proie à de longs débats ; La fleur des champs brille à ta boutonnière : Mon vieil ami , ne nous séparons pas . Ne crains plus tant ces jours de courses vaines Où notre destin fut pareil ; Ces jours mêlés de 58 CHANSONS DE BÉRANGER .
Side 164
... emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats . France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs . Toute l'année , Là , brille ornée De fleurs , 164 CHANSONS DE BÉRANGER .
... emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats . France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs . Toute l'année , Là , brille ornée De fleurs , 164 CHANSONS DE BÉRANGER .
Side 165
Pierre-Jean de Béranger. Toute l'année , Là , brille ornée De fleurs , de fruits , et de fruits et de fleurs . Mais là , ina jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus chers ; Là , je regrettais nos hivers . Salut à ma patrie ! J'ai pu ...
Pierre-Jean de Béranger. Toute l'année , Là , brille ornée De fleurs , de fruits , et de fruits et de fleurs . Mais là , ina jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus chers ; Là , je regrettais nos hivers . Salut à ma patrie ! J'ai pu ...
Side 196
... eut son déluge ; Hélas ! peut - être jour et nuit Une arche est encor le refuge De mortels que l'onde poursuit . Sitôt qu'Iris brille sur leur navire , Et que vers eux la colombe a volé , Coulez 196 CHANSONS DE BÉRANGER . LA NATURE. ...
... eut son déluge ; Hélas ! peut - être jour et nuit Une arche est encor le refuge De mortels que l'onde poursuit . Sitôt qu'Iris brille sur leur navire , Et que vers eux la colombe a volé , Coulez 196 CHANSONS DE BÉRANGER . LA NATURE. ...
Side 201
... brille à Paris . C'est le roi de trèfle qui mène , Mon mari gronde , et je m'en ris . Dieu ! l'amour fuit à l'aspect d'une vieille ! En ai - je passé la saison ? Eh ! non vraiment , c'est maman qui s'éveille . Les cartes ont toujours ...
... brille à Paris . C'est le roi de trèfle qui mène , Mon mari gronde , et je m'en ris . Dieu ! l'amour fuit à l'aspect d'une vieille ! En ai - je passé la saison ? Eh ! non vraiment , c'est maman qui s'éveille . Les cartes ont toujours ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
agent provocateur Alger amis amours arbitres Du sceau Athène Biribi Boive à plein Brav CENSEUR Chambertin chante chantre Boive Chapeau bas charmes cher cieux COLLÉ Commissaire Concordat congrès Daignez sourire diable m'emporte dieux doux Dupont enfants Enfin nous commandons faites-nous des sabots flûte et basse gaîment gaîté renaîtra Gloria tibi Grace J'ai cinquante écus j'ai vu Judas jolie Jupiter livre l'amour l'aveugle de Bagnolet Lisette livre le monde m'attend pour dîner Maroc marquis de Carabas marquise de Pretintaille monde Aux mirmidons muse Musettes Et chansons Nabuchodonosor Parlons bas pauvre peuple plein ventre priez pour moi prince de Navarre prison profundis r'lin tintin race féconde Respectez les quartiers rétablit les capucins rois s'il vous plaît Saint-Esprit sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE soient la Vierge soldats soufflons Suivez-moi SYLPHIDE tontaine tonton unissons v'là l'ord vaudeville Vils roturiers violon vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
Populære passager
Side 306 - Pauvre soldat, je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux. Dès qu'on signale une nef vagabonde, « Serait-ce lui? disent les potentats : «Vient-il encor redemander le monde? u Armons soudain deux millions de soldats.
Side 164 - Oui, voilà les rives de France; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur. France adorée! Douce contrée! Après vingt ans enfin je te revois; De mon village Je vois la plage, Je vois fumer la cime de nos toits.
Side 216 - En vain l'Anglais a mis dans la balance L'or que pour vaincre ont mendié les rois, Des siècles entends-tu la voix ? Honneur aux enfants de la France ! Dieu, qui punit le tyran et l'esclave , Veut te voir libre, et libre pour toujours. Que tes plaisirs ne soient plus une entrave : La Liberté doit sourire aux amours.
Side 261 - J'ai mon drapeau dans ma chaumière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Il est caché sous l'humble paille Où je dors pauvre et mutilé, Lui qui, sûr de vaincre, a volé Vingt ans de bataille en bataille ! Chargé de lauriers et de fleurs, II brilla sur l'Europe entière. Quand secoûrai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Ce drapeau payait à la France Tout le sang qu'il nous a conté.
Side 82 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez , et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?
Side 204 - Des potentats, dans vos cités en flammes, Osent, du bout de leur sceptre insolent, Marquer, compter, et recompter les âmes Que leur adjuge un triomphe sanglant. Faibles troupeaux, vous passez, sans défense, D'un joug pesant sous un joug inhumain. Peuples, formez une sainte alliance, Et donnez- vous la main.
Side 112 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 166 - Salut à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse, Enfin le navire entre au port. Dans cette barque, où l'on se presse , Hâtons-nous d'atteindre le bord. France adorée ! Douce contrée! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive , Je rends au ciel , je rends grâce à genoux, Je t'embrasse , ô terre chérie ! Dieu! qu'un exilé doit souffrir. Moi, désormais, je puis mourir. Salut à ma patrie ! P.-J.
Side 203 - L'aquilon souffle, et vos toits sont brûlés ; « Et quand la terre est enfin refroidie, « Le soc languit sous des bras mutilés. « Près de la borne où chaque état commence, « Aucun épi n'est pur de sang humain. « Peuples, formez une sainte alliance,
Side 57 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis. C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras.