MM. les procureurs du roi, avocats généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très-religieux à l'audience. Je ne puis, à cet égard, que répéter ce qu'on a dit cent fois. Quand, de nos jours, la religion se fait instrument politique, elle... Magazin für die Literatur des Auslandes - Side 841858Fuld visning - Om denne bog
| Pierre Jean de Béranger - 1829 - 494 sider
...bas, ni même aussi haut ; ce dernier mot dût-il scandaliser les vertus de salon. ., Quelques unes de mes chansons ont été traitées d'impies, les pauvrettes ! par MM. les procureurs du roi, avocats-généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis,... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1833 - 250 sider
...aussi bas . ni même aussi haut ; ce dernier mot dût-il scandaliser les vertus de salon. Quelques unes de mes chansons ont été traitées d'impies , les pauvrettes ! par MM. les procureurs du roi, avocatsgénéraux et leurs substituts , qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis... | |
| 1834 - 846 sider
...réponse de M. de Béranger : « Que'ques-unes de mes chansons ont été traitées d'iin pies, le« pauvrettes! par MM. les procureurs du roi, avocats...religion se fait instrument politique, elle s'expose a voir méconnaître son caractère sucré; les plustolérans deviennent intolérans pour elle. Les... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 482 sider
...aussi bas , ni même aussi haut ; ce dernier mot dûtil scandaliser les vertus de salon. Quelques une» de mes chansons ont été traitées d'impies, les pauvrettes! par MM. les procureurs du roi, avocats-généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis,... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 480 sider
...aussi bas , ni même aussi haut ; ce dernier mot dûtil scandaliser les vertus de salon. Quelques unes de mes chansons ont été traitées d'impies, les pauvrettes! par MM. les procureurs du roi, avocats-généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis,... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1834 - 542 sider
...aussi bas, ni même aussi haut ; ce dernier mot dûtil scandaliser les vertus de salon. Quelques unes de mes chansons ont été traitées d'impies, les pauvrettes! par MM. les procureurs du roi, avocats-généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis,... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1836 - 740 sider
...ont été trille» d'impies , le* pauvrettes 1 par Mil. 1rs procureurs du roi , avocats-généraux et leurs substituts , qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis, à cet égard , que rëpêler ce qu'on a dit r«-nl foii. Quand , de noi jours, la relipion se fait ïmlrumral politique,... | |
| Pierre Jean de Béranger - 1836 - 578 sider
...aussi loin ni aussi bas, ni même aussi haut, ce dernier mot dûtil scandaliser les vertus de salon. Quelques-unes de mes chansons ont été traitées...d'impies, les pauvrettes ! par MM. les procureurs du roi, avocats-généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très religieux à l'audience. Je ne puis,... | |
| Jacques Demogeot - 1852 - 684 sider
...loin , ni aussi bas , ni même aussi haut; ce dernier mot dût-il scandaliser les vertus de salon. « Quelques-unes de mes chansons ont été traitées...généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très-religieux à l'audience. Je ne puis à cet égard que répéter ce qu'on a dit cent fois. Quand... | |
| Pierre-Jean de Béranger - 1854 - 416 sider
...vertus de salon. Quelques-unes de mes cbansons ont clé traitées d'impies, les pauvrettes! par MAl. les procureurs du roi, avocats généraux et leurs substituts, qui sont tous gens très-religieux à l'uudience. Je ne puis à cet égard que répéter ce qu'on a dit cent l'ois. Quand,... | |
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