Œuvres complètes de P. J. de Béranger, Bind 1H. Fournier aîné, 1836 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 37
Side xxviii
... tables des guinguettes . Ce succès ne suffisait pas encore ; il fallait de plus que la nouvelle expression des sentiments du peuple pût obtenir l'entrée des salons pour y faire des conquêtes dans l'intérêt de ces sentiments . De là ...
... tables des guinguettes . Ce succès ne suffisait pas encore ; il fallait de plus que la nouvelle expression des sentiments du peuple pût obtenir l'entrée des salons pour y faire des conquêtes dans l'intérêt de ces sentiments . De là ...
Side 2
... table et sans suppôt , Sur chaque muid levait un pot D'impôt . Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! Quel bon petit roi c'était là ! La , la . Aux filles de bonnes maisons Comme il avait su plaire , Ses sujets avaient cent raisons De ...
... table et sans suppôt , Sur chaque muid levait un pot D'impôt . Oh ! oh ! oh ! oh ! ah ! ah ! ah ! ah ! Quel bon petit roi c'était là ! La , la . Aux filles de bonnes maisons Comme il avait su plaire , Ses sujets avaient cent raisons De ...
Side 8
... le sénateur , Je suis votre humble serviteur . A table il aime qu'on rie ; Mais parfois j'y suis trop vert . J'ai poussé la raillerie Jusqu'à lui dire au dessert : On croit , j'en suis convaincu , LE SÉNATEUR . Que vous me faites c ...
... le sénateur , Je suis votre humble serviteur . A table il aime qu'on rie ; Mais parfois j'y suis trop vert . J'ai poussé la raillerie Jusqu'à lui dire au dessert : On croit , j'en suis convaincu , LE SÉNATEUR . Que vous me faites c ...
Side 17
Pierre Jean de Béranger. 1 . ROGER BONTEMPS . Posséder dans sa hutte Une table , un vieux lit , Des cartes , une flûte , Un broc que Dieu remplit , Un portrait de maîtresse , Un coffre et rien dedans ; Eh gai ! c'est la richesse Du gros ...
Pierre Jean de Béranger. 1 . ROGER BONTEMPS . Posséder dans sa hutte Une table , un vieux lit , Des cartes , une flûte , Un broc que Dieu remplit , Un portrait de maîtresse , Un coffre et rien dedans ; Eh gai ! c'est la richesse Du gros ...
Side 25
Pierre Jean de Béranger. MA GRAND'MÈRE . Quand j'ai fait comme ma grand'mère , Ne feriez - vous pas comme moi ? Combien je regrette Mon bras si dodu , Ma jambe bien faite , Et le temps perdu ! 25 LE MORT VIVANT . RONDE DE TABLE , AIR des.
Pierre Jean de Béranger. MA GRAND'MÈRE . Quand j'ai fait comme ma grand'mère , Ne feriez - vous pas comme moi ? Combien je regrette Mon bras si dodu , Ma jambe bien faite , Et le temps perdu ! 25 LE MORT VIVANT . RONDE DE TABLE , AIR des.
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Adieu Alger amis amours Baise-moi Béranger boire Boive à plein bonheur bras si dodu CENSEUR cent-jours chansonnier chanter chantre Boive CHANTRES DE PAROISSE chapeau bas charme Chauffons-nous cieux CLÉS DU PARADIS cœur COLLÉ Concordat coquette couplets Cythère Désaugiers Dieu des bonnes dondaine doux faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîment gaîté gaudriole Gloria tibi grace gueux J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie l'amour l'aveugle de Bagnolet larirette Libre et content m'en Margot marquis de Carabas monsieur n'êtes plus Lisette NOTICE Parlons bas Parny petit homme gris peuple plein ventre poëte PRÉFACE prince de Navarre r'lin tintin refrain regrette Mon bras rétablit les capucins rire Roger Bontemps s'il vous plaît Sainte-Alliance serrons soient la Vierge tonton trinquera Trinquons unissons Vaudeville verre en main Viens aux champs vilain violon vivant vlan vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
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Side 155 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 154 - Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage ; Et, peu touché de mes sanglots...
Side lxxxvii - Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah ! ah! Quel bon petit roi c'était là ! La, la. Il n'agrandit point ses états, Fut un voisin commode , Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code.
Side 295 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble, dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les...
Side 320 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 270 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis. C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras....
Side 54 - Les gueux, les gueux, Sont les gens heureux; Ils s'aiment entre eux. Vivent les gueux ! Vous qu'afflige la détresse, Croyez que plus d'un héros, Dans le soulier qui le blesse.
Side 5 - Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire, Un ami bien précieux. Le jour où j'obtins sa foi Un sénateur vint chez moi. Quel honneur ! Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur.
Side 319 - Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois. Vous rampiez tous...
Side 360 - Salut à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse, Enfin le navire entre au port. Dans cette barque, où l'on se presse , Hâtons-nous d'atteindre le bord. France adorée ! Douce contrée! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive , Je rends au ciel , je rends grâce à genoux, Je t'embrasse , ô terre chérie ! Dieu! qu'un exilé doit souffrir. Moi, désormais, je puis mourir. Salut à ma patrie ! P.-J.