Œuvres complètes de P. J. de Béranger, Bind 1H. Fournier aîné, 1836 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 13
Side xxiii
... serait peut - être pousser la reconnaissance trop loin que de faire ainsi leur besogne . Je le répète : le courage m'a manqué . On n'incendie guère sa maison que lorsqu'elle est assurée . Ce que je puis dire d'avance à ceux qui se font ...
... serait peut - être pousser la reconnaissance trop loin que de faire ainsi leur besogne . Je le répète : le courage m'a manqué . On n'incendie guère sa maison que lorsqu'elle est assurée . Ce que je puis dire d'avance à ceux qui se font ...
Side xxvi
... serait pas tenu compte de l'in- fluence qu'elles ont exercée . Il est des instants , pour une nation , où la meilleure musique est celle du tambour qui bat la charge . Après tout , si l'on trouve que j'exagère beau- coup l'importance de ...
... serait pas tenu compte de l'in- fluence qu'elles ont exercée . Il est des instants , pour une nation , où la meilleure musique est celle du tambour qui bat la charge . Après tout , si l'on trouve que j'exagère beau- coup l'importance de ...
Side xxxiii
... serait tenté de croire que c'est c'est pour satisfaire à cet instinct qu'il a tant fatigué le monde . L'amour que porte à sa mémoire la génération nouvelle qui ne l'a pas connu , prouve assez combien l'émotion poétique a de pouvoir sur ...
... serait tenté de croire que c'est c'est pour satisfaire à cet instinct qu'il a tant fatigué le monde . L'amour que porte à sa mémoire la génération nouvelle qui ne l'a pas connu , prouve assez combien l'émotion poétique a de pouvoir sur ...
Side xxxix
... serait plaisant que la postérité dît : Le ju- dicieux , le grave Béranger ! Pourquoi pas ? Mais voici bien des pages à la suite les unes des autres , sans trop de logique , ni surtout de nécessité . Se douterait - on , à la longueur de ...
... serait plaisant que la postérité dît : Le ju- dicieux , le grave Béranger ! Pourquoi pas ? Mais voici bien des pages à la suite les unes des autres , sans trop de logique , ni surtout de nécessité . Se douterait - on , à la longueur de ...
Side lvii
... serait , à regret , contraint de sacrifier une autre fois Bacchante , Gaudriole , Frétillon et Demoiselles , au décorum universitaire . On l'aurait fait dès - lors , mais on croyait encore devoir quelque ménagement à l'auteur du LVIII ...
... serait , à regret , contraint de sacrifier une autre fois Bacchante , Gaudriole , Frétillon et Demoiselles , au décorum universitaire . On l'aurait fait dès - lors , mais on croyait encore devoir quelque ménagement à l'auteur du LVIII ...
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Almindelige termer og sætninger
Adieu Alger amis amours Baise-moi Béranger boire Boive à plein bonheur bras si dodu CENSEUR cent-jours chansonnier chanter chantre Boive CHANTRES DE PAROISSE chapeau bas charme Chauffons-nous cieux CLÉS DU PARADIS cœur COLLÉ Concordat coquette couplets Cythère Désaugiers Dieu des bonnes dondaine doux faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîment gaîté gaudriole Gloria tibi grace gueux J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie l'amour l'aveugle de Bagnolet larirette Libre et content m'en Margot marquis de Carabas monsieur n'êtes plus Lisette NOTICE Parlons bas Parny petit homme gris peuple plein ventre poëte PRÉFACE prince de Navarre r'lin tintin refrain regrette Mon bras rétablit les capucins rire Roger Bontemps s'il vous plaît Sainte-Alliance serrons soient la Vierge tonton trinquera Trinquons unissons Vaudeville verre en main Viens aux champs vilain violon vivant vlan vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
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Side 155 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 154 - Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage ; Et, peu touché de mes sanglots...
Side lxxxvii - Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah ! ah! Quel bon petit roi c'était là ! La, la. Il n'agrandit point ses états, Fut un voisin commode , Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code.
Side 295 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble, dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les...
Side 320 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 270 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis. C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras....
Side 54 - Les gueux, les gueux, Sont les gens heureux; Ils s'aiment entre eux. Vivent les gueux ! Vous qu'afflige la détresse, Croyez que plus d'un héros, Dans le soulier qui le blesse.
Side 5 - Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire, Un ami bien précieux. Le jour où j'obtins sa foi Un sénateur vint chez moi. Quel honneur ! Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur.
Side 319 - Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois. Vous rampiez tous...
Side 360 - Salut à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse, Enfin le navire entre au port. Dans cette barque, où l'on se presse , Hâtons-nous d'atteindre le bord. France adorée ! Douce contrée! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive , Je rends au ciel , je rends grâce à genoux, Je t'embrasse , ô terre chérie ! Dieu! qu'un exilé doit souffrir. Moi, désormais, je puis mourir. Salut à ma patrie ! P.-J.