Œuvres complètes de P. J. de Béranger, Bind 1H. Fournier aîné, 1836 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 46
Side xii
... homme de notre temps qui ait su rendre la richesse populaire . ' J'ai cependant reçu un service pécuniaire à cette époque . Lorsque j'étais à la Force , en 1829 , une souscription fut ouverte pour payer mon amende et les frais de ...
... homme de notre temps qui ait su rendre la richesse populaire . ' J'ai cependant reçu un service pécuniaire à cette époque . Lorsque j'étais à la Force , en 1829 , une souscription fut ouverte pour payer mon amende et les frais de ...
Side xv
... homme dont il ne m'eût pas été possible de m'éloigner , s'il fût arrivé au pouvoir . Avec son imperturbable bon sens , plus il était propre à donner de sages conseils , plus sa modestie lui faisait rechercher ceux des gens dont il avait ...
... homme dont il ne m'eût pas été possible de m'éloigner , s'il fût arrivé au pouvoir . Avec son imperturbable bon sens , plus il était propre à donner de sages conseils , plus sa modestie lui faisait rechercher ceux des gens dont il avait ...
Side xvi
... homme , c'était Manuel , à qui la France doit encore un tombeau . Sous le ministère emmiellé de M. de Marti- gnac , lorsque , fatigués d'une lutte si longue contre la légitimité , plusieurs de nos chefs politiques travaillaient à la ...
... homme , c'était Manuel , à qui la France doit encore un tombeau . Sous le ministère emmiellé de M. de Marti- gnac , lorsque , fatigués d'une lutte si longue contre la légitimité , plusieurs de nos chefs politiques travaillaient à la ...
Side xvii
... la France le préoccupait sans cesse ; eût - il vu accomplir ce bonheur par d'autres lui , sa joie n'en eût que pas été moins grande . Je n'ai jamais rencontré d'homme XVIII PREFACE . moins ambitieux , même de célébrité . 1 .
... la France le préoccupait sans cesse ; eût - il vu accomplir ce bonheur par d'autres lui , sa joie n'en eût que pas été moins grande . Je n'ai jamais rencontré d'homme XVIII PREFACE . moins ambitieux , même de célébrité . 1 .
Side xxv
... un regard de profonde tristesse sur le peu que j'ai fait , je sois disposé à m'en exagérer la valeur ? mais j'ai utilisé ma vie de poëte , et c'est là ma consolation . Il fallait un XXVI PRÉFACE . homme qui parlât au peuple le langage.
... un regard de profonde tristesse sur le peu que j'ai fait , je sois disposé à m'en exagérer la valeur ? mais j'ai utilisé ma vie de poëte , et c'est là ma consolation . Il fallait un XXVI PRÉFACE . homme qui parlât au peuple le langage.
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Adieu Alger amis amours Baise-moi Béranger boire Boive à plein bonheur bras si dodu CENSEUR cent-jours chansonnier chanter chantre Boive CHANTRES DE PAROISSE chapeau bas charme Chauffons-nous cieux CLÉS DU PARADIS cœur COLLÉ Concordat coquette couplets Cythère Désaugiers Dieu des bonnes dondaine doux faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîment gaîté gaudriole Gloria tibi grace gueux J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie l'amour l'aveugle de Bagnolet larirette Libre et content m'en Margot marquis de Carabas monsieur n'êtes plus Lisette NOTICE Parlons bas Parny petit homme gris peuple plein ventre poëte PRÉFACE prince de Navarre r'lin tintin refrain regrette Mon bras rétablit les capucins rire Roger Bontemps s'il vous plaît Sainte-Alliance serrons soient la Vierge tonton trinquera Trinquons unissons Vaudeville verre en main Viens aux champs vilain violon vivant vlan vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
Populære passager
Side 155 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 154 - Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage ; Et, peu touché de mes sanglots...
Side lxxxvii - Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah ! ah! Quel bon petit roi c'était là ! La, la. Il n'agrandit point ses états, Fut un voisin commode , Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code.
Side 295 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble, dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les...
Side 320 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 270 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis. C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras....
Side 54 - Les gueux, les gueux, Sont les gens heureux; Ils s'aiment entre eux. Vivent les gueux ! Vous qu'afflige la détresse, Croyez que plus d'un héros, Dans le soulier qui le blesse.
Side 5 - Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire, Un ami bien précieux. Le jour où j'obtins sa foi Un sénateur vint chez moi. Quel honneur ! Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur.
Side 319 - Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois. Vous rampiez tous...
Side 360 - Salut à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse, Enfin le navire entre au port. Dans cette barque, où l'on se presse , Hâtons-nous d'atteindre le bord. France adorée ! Douce contrée! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive , Je rends au ciel , je rends grâce à genoux, Je t'embrasse , ô terre chérie ! Dieu! qu'un exilé doit souffrir. Moi, désormais, je puis mourir. Salut à ma patrie ! P.-J.