Œuvres complètes de P. J. de Béranger, Bind 1H. Fournier aîné, 1836 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 23
Side lvi
... bois ! Oui , fier du sort dont vous avez fait choix , Restez , restez , malgré les vœux du monde , Libre de l'or qui pèse au front des rois . Un académicien - poëte , à qui Béranger , encore in- connu , parlait un jour de ses Idylles et ...
... bois ! Oui , fier du sort dont vous avez fait choix , Restez , restez , malgré les vœux du monde , Libre de l'or qui pèse au front des rois . Un académicien - poëte , à qui Béranger , encore in- connu , parlait un jour de ses Idylles et ...
Side 4
... bois à ta maîtresse : Je rougirais de mon ivresse , Si tu conservais ta raison . Vois déjà briller dans mes regards Tout le feu dont mon sang bouillonne.` Sur ton lit , de mes cheveux épars , Fleur à fleur vois tomber ma couronne . Le ...
... bois à ta maîtresse : Je rougirais de mon ivresse , Si tu conservais ta raison . Vois déjà briller dans mes regards Tout le feu dont mon sang bouillonne.` Sur ton lit , de mes cheveux épars , Fleur à fleur vois tomber ma couronne . Le ...
Side 5
... bois plus , et garde à mon amour Ce nectar où tes feux s'amortissent . De mes desirs mal apaisés , Ingrat , si tu pouvais te plaindre , J'aurai du moins pour les éteindre Le vin où je les ai puisés . LE SÉNATEUR . 1813 . AIR : J'ons un ...
... bois plus , et garde à mon amour Ce nectar où tes feux s'amortissent . De mes desirs mal apaisés , Ingrat , si tu pouvais te plaindre , J'aurai du moins pour les éteindre Le vin où je les ai puisés . LE SÉNATEUR . 1813 . AIR : J'ons un ...
Side 34
... bois , Dans ses doigts , Il dit : Moi , je m'en ... Il dit : Moi , je m'en ... Ma foi , moi , je m'en ris ! Oh ! qu'il est gai ( bis ) le petit homme gris ! Sa femme , assez gentille , Fait payer ses atours Aux amours ; Aussi , plus ...
... bois , Dans ses doigts , Il dit : Moi , je m'en ... Il dit : Moi , je m'en ... Ma foi , moi , je m'en ris ! Oh ! qu'il est gai ( bis ) le petit homme gris ! Sa femme , assez gentille , Fait payer ses atours Aux amours ; Aussi , plus ...
Side 45
... boit jamais son vin sans eau ; Rien qu'à voir mousser le champagne , Déjà la migraine le gagne ; Tandis que pur , et coup sur coup , Pour ma santé je bois beaucoup . 46 DEO GRATIAS Vous savez seul comment tout cela passe.
... boit jamais son vin sans eau ; Rien qu'à voir mousser le champagne , Déjà la migraine le gagne ; Tandis que pur , et coup sur coup , Pour ma santé je bois beaucoup . 46 DEO GRATIAS Vous savez seul comment tout cela passe.
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Almindelige termer og sætninger
Adieu Alger amis amours Baise-moi Béranger boire Boive à plein bonheur bras si dodu CENSEUR cent-jours chansonnier chanter chantre Boive CHANTRES DE PAROISSE chapeau bas charme Chauffons-nous cieux CLÉS DU PARADIS cœur COLLÉ Concordat coquette couplets Cythère Désaugiers Dieu des bonnes dondaine doux faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîment gaîté gaudriole Gloria tibi grace gueux J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie l'amour l'aveugle de Bagnolet larirette Libre et content m'en Margot marquis de Carabas monsieur n'êtes plus Lisette NOTICE Parlons bas Parny petit homme gris peuple plein ventre poëte PRÉFACE prince de Navarre r'lin tintin refrain regrette Mon bras rétablit les capucins rire Roger Bontemps s'il vous plaît Sainte-Alliance serrons soient la Vierge tonton trinquera Trinquons unissons Vaudeville verre en main Viens aux champs vilain violon vivant vlan vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
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Side 155 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 154 - Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage ; Et, peu touché de mes sanglots...
Side lxxxvii - Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah ! ah! Quel bon petit roi c'était là ! La, la. Il n'agrandit point ses états, Fut un voisin commode , Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code.
Side 295 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble, dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les...
Side 320 - Un conquérant, dans sa fortune altière, Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 270 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe : Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis. C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras....
Side 54 - Les gueux, les gueux, Sont les gens heureux; Ils s'aiment entre eux. Vivent les gueux ! Vous qu'afflige la détresse, Croyez que plus d'un héros, Dans le soulier qui le blesse.
Side 5 - Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire, Un ami bien précieux. Le jour où j'obtins sa foi Un sénateur vint chez moi. Quel honneur ! Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur.
Side 319 - Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois. Vous rampiez tous...
Side 360 - Salut à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse, Enfin le navire entre au port. Dans cette barque, où l'on se presse , Hâtons-nous d'atteindre le bord. France adorée ! Douce contrée! Puissent tes fils te revoir ainsi tous ! Enfin j'arrive , Et sur la rive , Je rends au ciel , je rends grâce à genoux, Je t'embrasse , ô terre chérie ! Dieu! qu'un exilé doit souffrir. Moi, désormais, je puis mourir. Salut à ma patrie ! P.-J.