ChansonsLaurent, 1836 - 664 sider |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 46
Side 5
... la Force . Peu de temps après cette belle journée , il quitta Paris pour Péronne , où il fut con fié à une tante paternelle , qui tenait une auberge 1 9 dans un des faubourgs cette respectable femme maintenant octogénaire NOTICE. ...
... la Force . Peu de temps après cette belle journée , il quitta Paris pour Péronne , où il fut con fié à une tante paternelle , qui tenait une auberge 1 9 dans un des faubourgs cette respectable femme maintenant octogénaire NOTICE. ...
Side 6
... femme , qu'il avait vue , au commencement de l'orage , asperger d'eau bénite toute la maison . 1 Dans ce même temps , les ardentes strophes de la Marseillaise , le canon des remparts célébrant la dé . livrance de Toulon , arrachaient ...
... femme , qu'il avait vue , au commencement de l'orage , asperger d'eau bénite toute la maison . 1 Dans ce même temps , les ardentes strophes de la Marseillaise , le canon des remparts célébrant la dé . livrance de Toulon , arrachaient ...
Side 39
... femme au bal . S'il me trouve en son chemin , Il me frappe dans la main . Quel honneur ! etc. Près de Rose il n'est point fade , Et n'a rien d'un freluquet . Lorsque ma femme est malade , Il fait mon cent de piquet . Il m'embrasse au ...
... femme au bal . S'il me trouve en son chemin , Il me frappe dans la main . Quel honneur ! etc. Près de Rose il n'est point fade , Et n'a rien d'un freluquet . Lorsque ma femme est malade , Il fait mon cent de piquet . Il m'embrasse au ...
Side 51
... femme , assez gentille , Fait payer ses atours Aux amours : Aussi plus elle brille , Plus on le montre au doigt . Il le voit , Et dit : Moi , je m'en ... Et dit : Moi , je m'en ... Ma foi , etc. Quand la goutte l'accable Sur un lit ...
... femme , assez gentille , Fait payer ses atours Aux amours : Aussi plus elle brille , Plus on le montre au doigt . Il le voit , Et dit : Moi , je m'en ... Et dit : Moi , je m'en ... Ma foi , etc. Quand la goutte l'accable Sur un lit ...
Side 59
... femme , aux yeux si doux , Sous triple porte à deux verrous . Par la fenêtre il fait tout pour qu'on passe . Que vous êtes bon , etc. Certain soir monsieur célébra Une déesse d'Opéra : Pour prix d'un grain d'encens profane , Vite au ...
... femme , aux yeux si doux , Sous triple porte à deux verrous . Par la fenêtre il fait tout pour qu'on passe . Que vous êtes bon , etc. Certain soir monsieur célébra Une déesse d'Opéra : Pour prix d'un grain d'encens profane , Vite au ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Adieu âge amis amours Athène baisez beauté beaux jours bel âge belle Bénis Béranger Biribi boire bonheur Brav brille CENSEUR chansonnier chansons chants chapeau charmes cher Chypre ciel cieux cœur Colibri COUPLETS crains crie dansez diable Dieu dieux doux encens enfans époux fée femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gaudriole gens gloire glous hélas heureux homme j'aime j'en jeune joyeux l'Amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette long-temps Lucien Bonaparte m'en Margot Messieurs Mirmidons Momus monde monsieur mort Muse Nabuchodonosor noble oiseaux passé patrie pauvre peuple plaisirs pleurs priez pour moi printemps Psara Qu'en dites-vous qu'un refrains reprends ta couronne reste rêve rien rire Roger Bontemps rois roses sainte alliance SAINTE-PÉLAGIE sceptre seul soldat sourire sourit Sylphes sylphide Taconnet tendre tintin tontaine tonton trône troubadour vaudeville venge veux vieille Viens vient vieux vilain vlan voilà vois voix yeux
Populære passager
Side 129 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir! Berceau, de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir. Toi que j'adoptai pour patrie, Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage, Et, peu touché de mes sanglots, Dieu, pour me rendre à ton...
Side 485 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois, Dire alors à quelque vieille : Par des récits d'autrefois, Mère abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère ; Parlez-nous de lui.
Side 38 - Aux filles de bonnes maisons Comme il avait su plaire, Ses sujets avaient cent raisons De le nommer leur père : D'ailleurs il ne levait de ban Que pour tirer quatre fois l'an Au blanc. Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah!
Side 220 - Les traits charmants qui m'auront inspiré , Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré? De mon amour peignez, s'il est possible, L'ardeur, l'ivresse , et même les soupçons , Et, bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. On vous dira : Savait-il être aimable?
Side 386 - Et foule aux pieds les peuples et les rois. La Paix qui fuit m'abandonne tes guides ; La vieille Europe a perdu ses remparts. Viens de trésors combler mes mains avides; Viens reposer dans l'asile des arts. Retourne boire à la Seine rebelle, Où , tout sanglant, tu t'es lavé deux fois. Hennis d'orgueil, ô mon coursier fidèle ! Et foule aux pieds les peuples et les rois.
Side 282 - L'encens des arts doit brûler pour la paix. « L'espoir riant, au sein de l'abondance, « Accueillera les doux fruits de l'hymen. « Peuples , formez une sainte alliance, « Et donnez-vous la main. » Ainsi parlait cette vierge adorée, Et plus d'un roi répétait ses discours. Comme au printemps la terre était parée; L'automne en fleurs rappelait les amours. Pour l'étranger coulez, bons vins de France : De sa frontière il reprend le chemin. Peuples, formons une sainte alliance, Et donnons-nous...
Side 297 - Heureux, il s'endort immobile Auprès du vin qu'il célébrait . . . — Encore une étoile qui file, Qui file, file, et disparaît.
Side 24 - ... où il n'y vise guère, la nuit surtout, dans quelque court réveil, un mot, inaperçu jusque-là, prend flamme et détermine la vie. Alors, suivant sa locution expressive, il tient son affaire et se rendort. Cette parcelle ignée en effet, cet esprit pur qui, à peine éclos, se loge dans une bulle hermétique de cristal que la reine Mab a soufflée, c'est toute sa chanson, c'en est le miroir en raccourci, la brillante monade, s'il est permis de parler ce langage philosophique dans l'explication...
Side 309 - J'ai mon drapeau dans ma chaumière. Quand secouerai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs ? Il est caché sous l'humble paille Où je dors, pauvre et mutilé, Lui qui, sûr de vaincre, a volé Vingt ans de bataille en bataille ! Chargé de lauriers et de fleurs, Il brilla sur l'Europe entière. Quand secouerai-je la poussière Qui ternit ses nobles couleurs...
Side 219 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?