TE BUREAU DU JOURNAL DES SAVANS. MONSEIGNEUR LE GARDE DES SCEAUX, Président. M.DACIER, de l'Institut royal de France, secr. perp. de l'acad. des inscriptions et belles-lettres, et membre de l'académie française. M. le Baron SILVESTRE DE SACY, de l'Institut royal de France, académie des inscriptions et belles-lettres. Assistans.. M. GOSSELLIN, de l'Institut royal de France, académie des ins 'criptions et belles-lettres. M. le Baron CUVIER, conseiller d'état, de l'Institut royal de Auteurs.. M. DAUNOU, de l'Institut royal de France, académie des inscrip- secrétaire perpétuel de l'académie des beaux-arts, et membre de M. BIOT, de l'Institut royal de France, académie des sciences. M. RAYNOUARD, de l'Institut royal de France, secrétaire perpétuel honoraire de l'académie. française, et membre de l'académie des inscriptions et belles-lettres. M. RAOUL-ROCHETTE, de l'Institut royal de France, académie des inscriptions et belles-lettres. M. CHÉZY, de l'Institut royal de France, académie des inscriptions et belles-lettres. M. V. COUSIN, ancien maître de conférences à l'École normale, professur-suppléant de l'histoire de la philosophie, à la faculté des lettres de l'académie de Paris. M. LETRONNE, de l'Institut royal de France, académie des inscriptions et belles-lettres. M. ABEL-RÉMUSAT, de l'Institut royal de France, académie des inscriptions et belles-lettres. M. CHEVREUL, de l'Institut royal de France, académie des sciences. Le prix de l'abonnement au Journal des Savans est de 36 francs par an, et de 40 fr. par la poste, hors de Paris. On s'abonne chez MM. Treuttel et Würtz, à Paris, rue de Bourbon, n.o 17; à Strasbourg, rue des Serruriers, et à Londres, n. 30 Soho-Square. Il faut affranchir les lettres et l'argent. Les LIVRES NOUVEAUX, les lettres, avis, mémoires, &c., qui peuvent concerner LA REDACTION de ce journal, doivent être adressés au bureau du Journal des Savans, à Paris, rue de Ménil-montant, n.o 22. Ja FIT Hierra mann DAS ALTE 'MEGARIS, &c.; c'est-à-dire, Essai sur l'histoire et la géographie de l'ancienne Mégaride , par Hermann Reinganum. Berlin, 1825 , in-8. (xx et 184 pages), avec deux cartes. Lorsque, vers le milieu du xvi.' siècle , Sophianus , cherchant à rectifier les erreurs de Ptolémée, de ses interpolateurs et de ses copistes, fit graver la première carte de la Grèce moderne (1), la (1) Elle parut pour la première fois à Bâle en 1544, in-fol., chez Oporin, et dans une seconde édition chez le même, en 1550, avec une explication de Nicolas Gerbel de Pforzheim. D'après les expressions un peu emphatiques |