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" L'inconstance emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. Toute l'année, Là, brille ornée De fleurs, de fruits, et de fruits et de fleurs. "
Chansons - Side 121
af Pierre-Jean de Béranger - 1822
Fuld visning - Om denne bog

La Minerve française, Bind 7

1819 - 992 sider
...emporta mes pas Jusqu'au sein des mers , où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée! Douce contrée! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....chers. Là je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! J'ai pu me faire une famille , Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang pétille,...
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La Minerve française, Bind 7

1819 - 640 sider
...mers, où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée! Douce contrée! Dieu te devait ces fécondes chaleurs. Toute l'année , Là, brille ornée...là ma jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus i IUTS. Là je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! J'ai pu me faire une famille , Et des trésors...
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La Minerve française, Bind 7

1819 - 642 sider
...climats. France adorée ! Douce contrée .' Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. Toute l'année, Lh , brille ornée De fleurs , de fruits , et de fruits et de fleurs ; Mai? là ma jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus chers. Là je regrettais nos hivers. Salut...
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Chansons de Béranger

Pierre Jean de Béranger - 1829 - 510 sider
...emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....Là , je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! J'ai pu me faire une famille , Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang pétille...
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Chansons Précédées d'un notice sur l'auteur et d'un essai sur ses ..., Bind 2–3

Pierre Jean de Béranger - 1829 - 538 sider
...emporta mes pas, Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....Là, je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie! J'ai pu me faire une famille, Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang pétille,...
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Chansons. [With] Chansons nouvelles et dernières

Pierre Jean de Béranger - 1832 - 666 sider
...aux plus ricbes climats. France adorée ! Donce contrée! Dieu te devait leurs fécondes cbaleurs. Toute l'année, Là, brille ornée De fleurs, de fruits,...là, ma jeunesse flétrie Rêvait à des climats plus cbers; Là , je regrettais nos bivers. Salut à ma patrie! (fer.) J'ai pu me faire une famille , Et...
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Œuvres complètes de P.J. de Béranger, Bind 2

Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 484 sider
...emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....Là, je regrettais nos hivers. • Salut à ma patrie ! J'ai pu me faire une famille, Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang petille,...
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Œuvres complètes de P.J. de Béranger, Bind 2

Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 484 sider
...emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....Là, je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! • J'ai pu me faire une famille, Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang petille,...
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Œuvres complètes, Bind 2

Pierre Jean de Béranger - 1834 - 550 sider
...emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs....Là, je regrettais nos hivers. Salut à ma patrie ! J'ai pu me faire une famille, Et des trésors m'étaient promis. Sous un ciel où le sang petille,...
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Fleurs de poésie moderne, tirées des oeuvres de A. de Lamartine: V. Hugo: de ...

Fleurs - 1834 - 264 sider
...emporta mes pas, Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. Toute l'année Là brille ornée De Heurs, de fruits, et de fruits et de fleurs. Mais là, ma jeunesse flétrie Rêvait à des climats...
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