Chansons, Bind 2Manget et Cherbuliez, 1822 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 11
Side 4
... 'un équipage , Quand là - bas il va passer , Eh ! lon lon la , gens de village , Sous mon vieux chêne , il faut danser , Loin de maudire à l'église Celui qui vit sans curé , Priez que Dieu fertilise Son grain , sa vigne et ( 4 )
... 'un équipage , Quand là - bas il va passer , Eh ! lon lon la , gens de village , Sous mon vieux chêne , il faut danser , Loin de maudire à l'église Celui qui vit sans curé , Priez que Dieu fertilise Son grain , sa vigne et ( 4 )
Side 5
... passer Eh ! lon lou la , gens de village , Sous mon vieux chêne , il faut danser . Quand la paix répand son baume Sur les maux qu'on endura , N'exilez point de son chaume L'aveugle qui s'égara . Rappelant après l'orage Ceux qu'il a pu ...
... passer Eh ! lon lou la , gens de village , Sous mon vieux chêne , il faut danser . Quand la paix répand son baume Sur les maux qu'on endura , N'exilez point de son chaume L'aveugle qui s'égara . Rappelant après l'orage Ceux qu'il a pu ...
Side 72
... passer par vos mains . C't ' amour , qui fait plus d'un hasard , Vous tire par l'oreille Depuis l'jour où vot ' corbillard Renversa ma corbeille . Il m'en coûta plus d'un ' fleur ; Vot ' métier leur port ' malheur . Encor jeune et jolie ...
... passer par vos mains . C't ' amour , qui fait plus d'un hasard , Vous tire par l'oreille Depuis l'jour où vot ' corbillard Renversa ma corbeille . Il m'en coûta plus d'un ' fleur ; Vot ' métier leur port ' malheur . Encor jeune et jolie ...
Side 73
... passer par vos mains . A d'bons vivans j'aime à parler , Et , monsieur , n'vous déplaise , Avec vous m ' faudrait - z - étaler Mes fleurs chez l ' pèr ' la Chaise . Mon commerce est mieux fêté A la porte d'la Gaîté . Encor jeune et ...
... passer par vos mains . A d'bons vivans j'aime à parler , Et , monsieur , n'vous déplaise , Avec vous m ' faudrait - z - étaler Mes fleurs chez l ' pèr ' la Chaise . Mon commerce est mieux fêté A la porte d'la Gaîté . Encor jeune et ...
Side 74
... passer par vos mains . LA PETITE FÉE . ( 1817. ) AIR C'est le meilleur homme du monde , ou J'étais bon chasseur autrefois . ENFANS , il était une fois Une fée appelée Urgande ; Grande à peine de quatre doigts , Mais de bonté vraiment ...
... passer par vos mains . LA PETITE FÉE . ( 1817. ) AIR C'est le meilleur homme du monde , ou J'étais bon chasseur autrefois . ENFANS , il était une fois Une fée appelée Urgande ; Grande à peine de quatre doigts , Mais de bonté vraiment ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Alger Amis Anglès arbitres Du sceau asyle Biribi blanche et l'honneur boire Boive à plein chantez chantre Boive Chapeau bas Chauffons-nous cieux Commissaire concordat congrès Croyez-moi Daignez sourire dansez diable m'emporte doux Dupont Echappe à l'orage enfans Enfin nous commandons faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîté renaîtra Gloria tibi Heureux villageois J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie Jupiter livre l'amour l'aveugle de Bagnolet livre le monde m'attend pour dîner Maroc marquis de Carabas marquise de Pretintaille ministres m'ont donnés monde Aux mirmidons Musettes Et chansons n'êtes plus Lisette Pan pan patata plein ventre prince de Navarre r'lin tintin race féconde rendez-moi l'honneur Respectez les quartiers rétablit les capucins réveil-matin s'il vous plaît sainte alliance Sainte-Alliance soient la vierge Soldats soufflons Suivez-moi unissons Vaudeville Viens aux champs vilain Vils roturiers violon vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
Populære passager
Side 43 - C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis, Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras. Tous ils sont prêts à nous fêter encore ; Mon vieil ami, ne nous séparons pas.
Side 61 - Vous vieillirez , ô ma belle maîtresse ; Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'Âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; El bonne vieille , au coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons.
Side 158 - De tes grandeurs tu sus te faire absoudre, France, et ton nom triomphe des revers. Tu peux tomber, mais c'est comme la foudre, Qui se relève et gronde au haut des airs. Le Rhin aux bords ravis à ta puissance Porte à regret le tribut de ses eaux ; II crie...
Side 83 - Un conquérant , dans sa fortune altière , Se fit un jeu des sceptres et des lois , Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 62 - Objet chéri , quand mon renom futile De vos vieux ans charmera les douleurs ; A mon portrait , quand votre main débile , Chaque printemps...
Side 175 - Entre amis que la joie inspire, Celui-ci buvait en chantant. Heureux, il s'endort immobile Auprès du vin qu'il célébrait . . . — Encore une étoile qui file, Qui file, file, et disparaît.
Side 121 - L'inconstance emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. Toute l'année, Là, brille ornée De fleurs, de fruits, et de fruits et de fleurs.
Side 43 - SOIS-MOI fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats , Imite-moi; résiste en philosophe. Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Je nie souviens , car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis.
Side 120 - Oui, voilà les rives de France; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur. France adorée! Douce contrée! Après vingt ans enfin je te revois; De mon village Je vois la plage, Je vois fumer la cime de nos toits. Combien mon âme est attendrie! Là furent mes premiers amours; Là ma mère m'attend toujours. Salut à ma patrie!
Side 18 - Son coursier décharné De loin chez nous l'a ramené. Vers son vieux castel Ce noble mortel Marche en brandissant Un sabre innocent. Chapeau bas ! Chapeau bas ! Gloire au marquis de Carabas ! Aumôniers, châtelains, Vassaux, vavassaux et vilains, C'est moi, dit-il, c'est moi Qui seul ai rétabli mon roi. Mais s'il ne me rend Les droits de mon rang, Avec moi, corbleu ! Il verra beau jeu. Chapeau bas ! chapeau bas...