Chansons, Bind 2Manget et Cherbuliez, 1822 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 9
Side 22
... Ne peut troubler nos chansons . Notre esprit , qu'amour seconde , Au coin du feu , crée un monde Qu'un doux ciel toujours féconde , Où s'ajmer tient lieu de bien . J Que nos portes restent closes , Et jusqu'au retour des ( 22 )
... Ne peut troubler nos chansons . Notre esprit , qu'amour seconde , Au coin du feu , crée un monde Qu'un doux ciel toujours féconde , Où s'ajmer tient lieu de bien . J Que nos portes restent closes , Et jusqu'au retour des ( 22 )
Side 51
... COIN . AIR : Du Vaudeville de la Petite Gouvernante . NON , le monde ne peut me plaire ; Dans mon coin retournons rêver . Mes amis , de votre galère 2 Un forçat vient de se sauver . Dans le désert que je me trace Je fuis , libre comme ...
... COIN . AIR : Du Vaudeville de la Petite Gouvernante . NON , le monde ne peut me plaire ; Dans mon coin retournons rêver . Mes amis , de votre galère 2 Un forçat vient de se sauver . Dans le désert que je me trace Je fuis , libre comme ...
Side 52
... coin . Là , j'ai la baguette des fées ; A faire le bien je me plais . J'élève de nobles trophées ; Je transporte au loin des palais . Sur le trône ceux que je place D'être aimés sentent le besoin . Mes amis , laissez - moi , de grâce ...
... coin . Là , j'ai la baguette des fées ; A faire le bien je me plais . J'élève de nobles trophées ; Je transporte au loin des palais . Sur le trône ceux que je place D'être aimés sentent le besoin . Mes amis , laissez - moi , de grâce ...
Side 53
... coin . LE SOIR DES NOCES . AIR : Zon ! ma Lisette , zon ! ma Lison . L'HYMEN prend cette nuit Deux amans dans sa hasse . Qu'au seuil de leur réduit Un doux concert se place . Zon ! flûté et basse ! Zon ! violon ! Zon ! flûte et basse ...
... coin . LE SOIR DES NOCES . AIR : Zon ! ma Lisette , zon ! ma Lison . L'HYMEN prend cette nuit Deux amans dans sa hasse . Qu'au seuil de leur réduit Un doux concert se place . Zon ! flûté et basse ! Zon ! violon ! Zon ! flûte et basse ...
Side 61
... coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons . Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmans qui m'auront inspiré , Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré ! De mon ...
... coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons . Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmans qui m'auront inspiré , Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré ! De mon ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Alger Amis Anglès arbitres Du sceau asyle Biribi blanche et l'honneur boire Boive à plein chantez chantre Boive Chapeau bas Chauffons-nous cieux Commissaire concordat congrès Croyez-moi Daignez sourire dansez diable m'emporte doux Dupont Echappe à l'orage enfans Enfin nous commandons faites-nous des sabots flûte et basse François Ier gaîté renaîtra Gloria tibi Heureux villageois J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'étais petit oiseau jolie Jupiter livre l'amour l'aveugle de Bagnolet livre le monde m'attend pour dîner Maroc marquis de Carabas marquise de Pretintaille ministres m'ont donnés monde Aux mirmidons Musettes Et chansons n'êtes plus Lisette Pan pan patata plein ventre prince de Navarre r'lin tintin race féconde rendez-moi l'honneur Respectez les quartiers rétablit les capucins réveil-matin s'il vous plaît sainte alliance Sainte-Alliance soient la vierge Soldats soufflons Suivez-moi unissons Vaudeville Viens aux champs vilain Vils roturiers violon vogue ma nacelle voilà Catin zéphyr
Populære passager
Side 43 - C'était ma fête , et , pour comble de gloire , Tu fus chanté par mes amis, Ton indigence , qui m'honore , Ne m'a point banni de leurs bras. Tous ils sont prêts à nous fêter encore ; Mon vieil ami, ne nous séparons pas.
Side 61 - Vous vieillirez , ô ma belle maîtresse ; Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse, Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'Âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; El bonne vieille , au coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons.
Side 158 - De tes grandeurs tu sus te faire absoudre, France, et ton nom triomphe des revers. Tu peux tomber, mais c'est comme la foudre, Qui se relève et gronde au haut des airs. Le Rhin aux bords ravis à ta puissance Porte à regret le tribut de ses eaux ; II crie...
Side 83 - Un conquérant , dans sa fortune altière , Se fit un jeu des sceptres et des lois , Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 62 - Objet chéri , quand mon renom futile De vos vieux ans charmera les douleurs ; A mon portrait , quand votre main débile , Chaque printemps...
Side 175 - Entre amis que la joie inspire, Celui-ci buvait en chantant. Heureux, il s'endort immobile Auprès du vin qu'il célébrait . . . — Encore une étoile qui file, Qui file, file, et disparaît.
Side 121 - L'inconstance emporta mes pas Jusqu'au sein des mers où l'aurore Sourit aux plus riches climats. France adorée ! Douce contrée ! Dieu te devait leurs fécondes chaleurs. Toute l'année, Là, brille ornée De fleurs, de fruits, et de fruits et de fleurs.
Side 43 - SOIS-MOI fidèle, ô pauvre habit que j'aime ! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même , Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats , Imite-moi; résiste en philosophe. Mon vieil ami , ne nous séparons pas. Je nie souviens , car j'ai bonne mémoire , Du premier jour où je te mis.
Side 120 - Oui, voilà les rives de France; Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur. France adorée! Douce contrée! Après vingt ans enfin je te revois; De mon village Je vois la plage, Je vois fumer la cime de nos toits. Combien mon âme est attendrie! Là furent mes premiers amours; Là ma mère m'attend toujours. Salut à ma patrie!
Side 18 - Son coursier décharné De loin chez nous l'a ramené. Vers son vieux castel Ce noble mortel Marche en brandissant Un sabre innocent. Chapeau bas ! Chapeau bas ! Gloire au marquis de Carabas ! Aumôniers, châtelains, Vassaux, vavassaux et vilains, C'est moi, dit-il, c'est moi Qui seul ai rétabli mon roi. Mais s'il ne me rend Les droits de mon rang, Avec moi, corbleu ! Il verra beau jeu. Chapeau bas ! chapeau bas...