The French Quarterly, Bind 1–2

Forsideomslag
Gustave Rudler, Louis Adolphe Terracher
University Press, 1919
 

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Almindelige termer og sætninger

Populære passager

Side 100 - Against his better knowledge : not deceived, But fondly overcome with female charm. Earth trembled from her entrails, as again In pangs ; and Nature gave a second groan ; Sky lour'd, and, muttering thunder, some sad drops Wept at completing of the mortal sin Original...
Side 96 - Now came still evening on, and twilight gray Had in her sober livery all things clad ; Silence accompanied, for beast and bird, They to their grassy couch, these to their nests Were slunk, all but the wakeful nightingale ; She all night long her amorous descant sung...
Side 100 - Matter of scorn, not to be given the foe. However, I with thee have fix'd my lot, Certain to undergo like doom; if death Consort with thee, death is to me as life; So forcible within my heart I feel The bond of nature draw me to my own, My own in thee, for what thou art is mine; Our state cannot be sever'd, we are one, One flesh; to lose thee were to lose myself.
Side 110 - Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux! Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire; Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour!
Side 98 - Homme, la saison de ta migration n'est pas encore venue; attends que le vent de la mort se lève, alors tu déploieras ton vol vers ces régions inconnues que ton cœur demande.
Side 110 - Quand je pourrais le suivre en sa vaste carrière, Mes yeux verraient partout le vide et les déserts : Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire; Je ne demande rien à l'immense univers. Mais peut-être au delà des bornes de sa sphère, Lieux où le vrai soleil éclaire d'autres cieux, Si je pouvais laisser ma dépouille à la terre, Ce que j'ai tant rêvé paraîtrait à mes yeux!
Side 223 - Nous ne nous contentons pas de la vie que nous avons en nous et en notre propre être : nous voulons vivre dans l'idée des autres d'une vie imaginaire, et nous nous efforçons pour cela de paraître.
Side 110 - Là je m'enivrerais à la source où j'aspire ; Là je retrouverais et l'espoir et l'amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour ! Que ne puis-je, porté sur le char de l'Aurore, Vague objet de mes vœux, m'élancer jusqu'à toi ! Sur la terre d'exil pourquoi reste-je encore ? Il n'est rien de commun entre la terre et moi.
Side 222 - L'homme n'aime pas à demeurer avec soi ; cependant il aime : il faut donc qu'il cherche ailleurs de quoi aimer. Il ne le peut trouver que dans la beauté; mais comme il est lui-même la plus belle créature que Dieu ait jamais formée, il faut qu'il trouve dans soi-même le modèle de cette beauté qu'il cherche au dehors. Chacun peut en remarquer en soi-même les...
Side 94 - With burnished neck of verdant gold, erect Amidst his circling spires, that on the grass Floated redundant...

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