Oeuvres complètes d'Étienne Jouy ... avec des éclaircissements et des notes...J. Didot aîn, 1823 - 27 sider |
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... regards n'en avaient fait un dieu ? C'est par ta voix qu'il étend son empire ; Je ne le sens qu'en voyant tes appas . Il est dans l'air que ta bouche respire , Et sous les fleurs qui naissent sous tes pas . Qui te connaît connaîtra la ...
... regards n'en avaient fait un dieu ? C'est par ta voix qu'il étend son empire ; Je ne le sens qu'en voyant tes appas . Il est dans l'air que ta bouche respire , Et sous les fleurs qui naissent sous tes pas . Qui te connaît connaîtra la ...
Side 104
... regard , son geste , Expriment tout ce qu'elle sent ; Sur la grille sa main posée Atteste par son tremblement , Que sa raison est maîtrisée Par la force du sentiment . De la musique sur notre ame Voyez quel différent effet ; De plaisir ...
... regard , son geste , Expriment tout ce qu'elle sent ; Sur la grille sa main posée Atteste par son tremblement , Que sa raison est maîtrisée Par la force du sentiment . De la musique sur notre ame Voyez quel différent effet ; De plaisir ...
Side 108
... regard vous place à mon côté : Certain Médor était assis de l'autre ; Il eut sa part d'un muet entretien ; Car si mon pied interrogeait le vôtre , De mon genou je répondais au sien . Mon triste époux , que l'exemple encourage , Croit à ...
... regard vous place à mon côté : Certain Médor était assis de l'autre ; Il eut sa part d'un muet entretien ; Car si mon pied interrogeait le vôtre , De mon genou je répondais au sien . Mon triste époux , que l'exemple encourage , Croit à ...
Side 121
... regards de ses parents , Laure , élevée avec décence , Ne reçoit pas de jeunes gens , Excepté son maître de danse . Cependant son cœur est atteint D'un mal qui croît dans le silence ; L'éclat de ses yeux , de son teint Depuis deux ou ...
... regards de ses parents , Laure , élevée avec décence , Ne reçoit pas de jeunes gens , Excepté son maître de danse . Cependant son cœur est atteint D'un mal qui croît dans le silence ; L'éclat de ses yeux , de son teint Depuis deux ou ...
Side 125
... regard d'insolence Sur de vieux amis indigents ; En voyant ma sotte figure , Dites , en riant de pitié : Ce n'est qu'un faquin en voiture ; Il valait beaucoup mieux à pié . Mais si par l'aveugle déesse Je ne suis jamais visité POÉSIES ...
... regard d'insolence Sur de vieux amis indigents ; En voyant ma sotte figure , Dites , en riant de pitié : Ce n'est qu'un faquin en voiture ; Il valait beaucoup mieux à pié . Mais si par l'aveugle déesse Je ne suis jamais visité POÉSIES ...
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AGAR aigris Gris aimable aime ALCIBIADE amant amour appas Aristogiton ASPASIE ASTÉRIE Athènes beau beauté belle belle des belles Béranger Bernard de Versaille bon homme vit bonheur brillante chants cher CHOEUR Clinias cœur Contat couplet Cythère DAME dansons déja desirs diable à confesser dieux donne Par tonne douleur doux enfants Épigramme esclaves esprit femme fils fleurs fureur gaieté genre gloire grace Harmodius Hélas Heureux villageois ISMAEL J'ai J'en jeune jour JULES DIDOT l'ame l'amour l'épigramme lieux lon lon long-temps MADAME GERVAIS madrigal Marotte maux ménestrel Mère Coupable MILADY MONSIEUR GERVAIS mort myrte neuf sœurs Pauvre Blondel philosophie plaisir plaisirs pleurs POÉSIES LÉGÈRES poëte quatrains r’lin tin tin rocher de Cancale romance rose s'ils viennent SCÈNE serrons nos rangs seul sort talents tendre tendresse Va-t'en voir s'ils vaudeville vénérables aïeux veux vieux vin charme vin pleuve vœux voilà Catin vois volage Voltaire yeux ZEUXIS
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Side 24 - ... vous voulez que j'aime encore, Rendez-moi l'âge des amours ; Au crépuscule de mes jours Rejoignez, s'il se peut, l'aurore. Des beaux lieux où le dieu du vin Avec l'Amour tient son empire, Le Temps, qui me prend par la main, M'avertit que je me retire. De son inflexible rigueur Tirons au moins quelque avantage. Qui n'a pas l'esprit de son âge De son âge a tout le malheur.
Side 24 - Quoi ! pour toujours vous me fuyez, Tendresse, illusion, folie, Dons du ciel, qui me consoliez Des amertumes de la vie ! On meurt deux fois, je le vois bien : Cesser d'aimer et d'être aimable, C'est une mort insupportable ; Cesser de vivre, ce n'est rien.
Side 42 - Et bonne vieille', au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les, chansons.
Side 32 - D'ailleurs il ne levait de ban Que pour tirer quatre fois l'an Au blanc. Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah! &c. La, la. Il n'agrandit point ses états, Fut un voisin commode, Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code. Ce n'est que lorsqu'il expira, Que le peuple qui l'enterra Pleura.
Side 36 - ... Le vin charme tous les esprits : Qu'on le donne Par tonne ! Que le vin pleuve dans Paris , Pour voir les gens les plus aigris Gris!
Side 25 - Ici près j'ai vu Judas, J'ai vu Judas, j'ai vu Judas. LE DIEU DES BONNES GENS. Air : Veudeville de h Pertie arrâ. II est un Dieu ; devant lui je m'incline, Pauvre et content, sans lui demander rien. De l'univers observant la machine, J'y vois du mal, et n'aime que le bien. Mais le plaisir à ma philosophie Révèle assez des cieux intelligents. Le verre en main, gaîment je me confie Au Dieu des bonnes gens.
Side 54 - Gai / Gai / serrons nos rangs. Espérance De la France, Gai ! Gai ! serrons nos rangs. En avant, Gaulois et Francs...
Side 26 - D'un trait de ce poème en bons mots si fertile, Le Français, né malin, forma le Vaudeville?*, Agréable indiscret, qui, conduit par le chant, Passe de bouche en bouche, et s'accroît en marchant.
Side 32 - On conserve encor le portrait De ce digne et bon prince; C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province. Les jours de fête, bien souvent, La foule s'écrie en buvant Devant: Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah!
Side 32 - Fut un voisin commode, Et, modèle des potentats, Prit le plaisir pour code. Ce n'est que lorsqu'il expira Que le peuple qui l'enterra Pleura. Oh! oh! oh! oh! ah! ah! ah! ah!