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en conservant intacte, l'action du rayonnement . libre, 14. Appareil employé pour déterminer la transmission libre des rayons, 15. On peut aussi la déterminer en opérant sur des écrans opaques, 19. Objections que l'on a faites à ces expériences, 21. Sur la relation entre les degrés du galvanomètre et les forces qui donnent lieu aux déviations de l'aiguille, 24. Du poli, de l'épaisseur et de la nature des écrans, 30. Construction de l'appareil, 31. Influence que le degré de poli exerce sur la quantité des rayons transmis, 36. Influence de l'épaisseur, 38. La résistance des milieux diaphanes à la transmission immédiate des rayons de chaleur est de tout autre nature que la résistance opposée par ces mêmes milieux à la propagation de la lumière, 41. Influence exercée par la composition de la substance qui forme l'écran, 49. Expériences sur des verres incolores, 54; sur des liquides, 55; sur des corps cristallisés, 56; sur des verres colorés, 57. La faculté que possèdent les corps de se laisser traverser par la chaleur rayon-nante n'a aucun rapport avec leur degré de transparence, ibid. Des lames taillées dans différentes directions d'un cristal ont la même transmission, 63. Influence des couleurs sur la transmission, 67. rayonnante (Nouvelles recherches sur la transmission immédiate de la) {par différents corps solides et liquides, LV, 337. Des modifications que subissent les transmissions caloriques par le changement de la source rayonnante, ibid. Des quatre

.

sources de chaleur employées pour comparer les quantités de rayons transmises par les corps, 338. Transmission de sept lames de verre soumises à l'influence calorifique des quatre sources, 342. Les rayons calorifiques de différentes sources s'éteignent plus ou moins promptement dans l'intérieur même de la masse, 345. Tableau des quantités de chaleur immédiatement transmises dans les cas des quatre sources par des lames de plusieurs subsiances, 347. La chaleur rayonnante des différentes sources est absorbée en proportion plus ou moins grande en traversant les corps diaphanes, solides ou liquides; mais pour le même corps, l'absorption croît constamment lorsque la température de la source diminue, 354. Division des corps en diathermanes et athermanes, 358. Le mica noir et le verre de même couleur, quoique parfaitement opaques, sont diathermes, 359. Les rayons calorifiques de toute origine sont susceptibles de réfraction comme les rayons lumineux, 366. Des propriétés que possèdent les rayons calorifiques immédiatement transmis par les corps, 569. La chaleur rayonnante des sources terrestres ne se polarise point par transmission à travers les tourmalines, 374. Expériences sur les écrans hétérogènes, 375. Du rôle que jouent les couleurs dans la transmission calorifique, 378. Expériences sur ce qui arrive lorsqu'on interpose des substances diverses sur le passage d'un rayonnement invariable sortant de l'alun, 382. Vérification des résultats par le calcul,

384. Chaleur émergente de l'alun, 389. Conclusion, 392.

- rayonnante (Note sur la réflexion de la), LX, 402. -(Lettre à M. Arago, sur la), LX, 410.

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(Observations et expériences relatives à la théorie de l'identité des agents qui produisent la lumière et la), LX, 418.

-solaire (Lettre sur une propriété nouvelle de la),

XLVIII, 385. Chaleur du spectre, 386. Examen du passage des rayons du spectre à travers l'eau, 387. Les rayons du spectre calorique solaire en traversant l'eau souffrent une perte d'autant plus grande que leur réfrangibilité est moindre, 390. solaire aux deux hémisphères de la terre (De l'influence du rayonnement sur la répartition de la ), LX, 303...

spécifique des gaz (Recherches sur la), XXXV, 5. Le but de ces recherches est de parvenir à ex ́..pliquer le froid 'qui se produit d'abord dans un es

pace vide, au moment où un gaz y pénètre, 6. Esquisse historique des travaux antérieurs, 7. Recherches de MM. Gay-Lussac et Leslie, ibid. Travaux de MM. Delaroche et Bérard, 8. Objections à leurs opérations, ibid. Exposition du procédé suivi dans ces recherches, 13. L'appareil est un petit ballon qu'on remplit de différents gaz, et qui est surmonté d'un manomètre, ibid. Quelle sera la chaleur spécifique? ibid. Moyen de faire entrer le gaz dans le ballon, 14. On le met à une pression moindre que celle de l'atmosphère, 15. Cette mé

thode n'est pas sujette aux objections présentées contre celle de MM. Delaroche et Bérard, 16. Première méthode de réchauffement, 17. Placer le ballon dans un vase à température fixe, et le transporter dans un autre à température également fixe dans lequel on le laisse toujours le même temps, ibid. Nombres obtenus par cette méthode, 19. Cause d'erreur provenant de la différence de conductibilité, 20. Seconde méthode de réchauffement, 21. On place le ballon à gaz dans un grand ballon en cuivre noirci et vide, et on plonge le tout dans l'eau à température fixe. 22. Le réchauffement ou refroidissement est long, ibid. Conditions de réussite, 23. Exposé des résultats : chaleur spécifique du gaz sous une même pression de 65 centimètres, 24. Il y eut 14 gaz essayés, 15. Calculs sur la hauteur du mercure, 26. Il résulte de ces recherches que tous les gaz ont la même chaleur spécifique, les conditions étant les mêmes pour chacun d'entre eux, 27. Chaleur spécifique des gaz sous différentes pressions, 28. La chaleur spécifique diminue avec la pression, selon un décrois. sement très lent, 28. Par une augmentation de pression, la capacité de chaleur augmente aussi, 30. Résumé, 31. Cette égalité de chaleur spécifique s'accorde avec les autres propriétés des gaz pour la chaleur, 32. Note en réponse des objections que l'on pourrait faire que les différences de température apportées par les différences de chaleur spécifique seraient peut-être trop petites pour être sensibles, 33.

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des gaz (Note relative à l'influence de la densité sur la ), XXXIX, 194. Loi obtenue par MM. Aug. de la Rive et Marcet, ibid. Faits qui l'établissent, ibid. Application d'une formule à ces expériences,

196.

des

gaz (Nouvelles recherches sur la), XLI, 78. Réponse à l'objection que les masses de gaz sur lesquelles on a opéré étaient trop petites pour obtenir des différences de capacité de chaleur, 78. Expériences qui démontrent que la chaleur spécifique des gaz sous le même volume est d'autant moindre qu'ils sont plus raréfiés, 81. Appareil imaginé pour opérer sur de grandes masses de gaz, 82. Tableau des expériences faites sur les gaz, 86. Observations, 87. Ces résultats prouvent évidemment que tous les gaz ont la même chaleur spécifique, 89. La faculté conductrice de chaque gaz diffère fort peu, 90. Conclusion, 92.

-des fluides élastiques (Recherches sur la ), XLI 113. La chaleur spécifique des gaz doit être envisagée sous deux points de vue, 114. Travaux de M. Heycraft sur ce sujet, 115. Travail de MM. Marcet et Aug. de la Rive, 117. Ils parviennent ainsi à considérer les gaz comme ayant une même chaleur spécifique, ibid. Comment ils ont fait leurs expériences, 119. Comment ils ont pensé se mettre à l'abri de la conductibilité, 121. Second mémoire où ils disent que leur appareil doit être assez sensible pour accuser les différences de capacité de chaleur qui tiendraient à la diversité de nature, 123. Essai de

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