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comparable (Sur la mesure des courants électriques ou projet d'un), XLIII, 146. Du galvanomètre comparable, 147. Il se compose d'un châssis à quatre multiplicateurs, ibid.; et d'une aiguille magnétique, 148. Comparaison du galvanomètre, 150. Pour cela on prend des aiguilles qui donnent le même nombre d'oscillations dans le même temps, ibid. Tableaux d'expériences, 151. L'aiguille la moins aimantée donne des résultats plus forts que ceux de l'autre aiguille, 154. Recherche d'un courant qui soit toujours de la même force, 160. De l'intensité des courants, 162. Recherches pour savoir quelle est l'intensité correspondante à chaque point de l'échelle galvanométrique, ibid. On y parvient par la méthode des doubles, et par la méthode des différences, ibid. Méthode des doubles, 163. Erreurs de la méthode des doubles, 167. Méthode des différences, 170. Table des intensités, 174. Résidus des courants, 175. Courants thermo-électriques, ibid. Courants hydro-électriques, 176. Détermination des résidus produits par plusieurs éléments voltaïques, 180. Description de l'instrument appelé galvanomètre comparable, 182. Table des intensités des courants, 187.

-à châssis cylindrique, par lequel on obtient immédiatement et sans calcul la mesure de l'intensité du courant électrique qui produit la déviation de l'aiguille aimantée (Mémoire sur un), LV, 156. Ex. posé du mémoire, ibid. Description de l'instrument, 160. Le cylindre de bois est enveloppé par le mul

tiplicateur, 161. Moyen pour disposer les fils du multiplicateur avec la plus grande précision, 162. Manière de se servir de l'instrument, 165. Comment empêcher que les courants d'air ne troublent la marche de l'aiguille,'170. Usage de cet instrument pour la recherche de l'intensité des courants, 172. Table des expériences, 178. GALVANOMÉTRIQUES (Note sur quelques expériences), XLVI, 80. Effet produit par l'état de la surface des lames métalliques plongeant dans divers mélanges acides, 81. Inclinaison des lames immergées, 82. Etendue de la surface des lames immergées, 83. Distance des conducteurs immergés, 85. Pouvoir électro-moteur relatif de divers liquides, ¡ 86.

GARANCE (Nouvelles recherches sur la matière colorante de la), XXXIV, 225. Travaux de Watt, 226; de Charles Bartholdi, ib. Analyse de la garance par M. F. Kulhmann, ib.; son procédé pour préparer la matière colorante rouge, 227. Caractères des cris. taux qu'il obtient, 228. Recherches infructueuses pour obtenir les cristaux de M. Kulhmann, 229. Les flocons de matière rouge, obtenus par ce procédé, sont combinés avec de la potasse, 230. Procédé de M. Mérimée, pour obtenir des laques de garance, ibid. Il consiste à épuiser la garance par des lavages acidulés, ibid. Modification de ce procédé par les auteurs, 231. Caractères de l'infusion de garance obtenue, 232. Une partie de cette infusion, abandonnée dans un lieu frais, donna un

coagulum qui contenait presque toute la matière colorante, 233. Propriétés de la liqueur restante, ibid. Le coagulum rougit le tournesol et se dissout dans l'alun et l'alcool, 234. Il fut réduit à l'état de pâte par la pression, 235; alors traité par l'alcool et l'acide sulfurique, il donne un précipité couleur tabac, 236. Caractère de ce précipité, ibid. Action de la chaleur, 237. Il se forme des cristaux jaune orange, ibid. Essai de ces cristaux par l'alcool, les alcalis caustiques, etc., 238. Ils étaient mêlés à une matière grasse, ibid. On les a purifié par leur dissolution dans l'éther, 239. Le nom de ces cristaux dérive d'Ali-Zari, 241. Recherches pour s'assurer si ce principe est bien celui qui fournit les belles couleurs qu'on obtient de la garance, 241. Raisonnement sur l'insolubilité de l'alizarine dans l'alun, 242. Preuve que l'alizarine est bien le principe colorant de la garance, 244. Carmin de garance, 246. Recherches pour préparer les laques à bon marché, 247. Elimination de la matière colorante par la fermentation, ibid. Défectuosité de ce procédé, 248. Procédé pour obtenir de belle laque en peu de temps, 249. Il consiste dans le lavage, la pression, la dissolution dans l'alun et la précipitation par les cristaux de soude, ibid. Sur la nuance violacée qui se produit quelquefois, 251. -(Mémoire sur les matières colorantes de la), XLVIII,

69. Historique des recherches faites sur cette matière, 70. Procédé pour obtenir les deux matières colorantes de la garaǹce, 72. De la matière colo

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rante rouge, 73; le chlore l'altère difficilement, 75. De la matière colorante rose, ibid; le chlore la détruit plus facilement que la rouge, 77.

(Lettre contenant quelques observations sur la matière colorante de la), L, 163. Remarques sur le mémoire de MM. Gaultier de Claubry et Persoz, 166. Moyen de faire mordre l'alizarine sur les toiles, 167. -d'Alsace (Réflexions sur un mémoire ayant pour titre : Examen comparatif de la garance d'Avignon et de la), LVII, 70. Conclusions de M. Henry Schlumberger, ibid. Objections sur ce que le carbonate de chaux rend la garance d'Alsace équivalente à celles du Comtat, 76. Selon l'auteur, la craie n'est pas nécessaire pour obtenir une teinture solide en garance, 79. La craie interviendrait pour saturer les acides de la garance, 80. GAY-LUSSITE (Analyse d'une nouvelle substance minérale), XXXI, 270; son gisement, 271; ses propriétés physiques, ibid. Propriétés chimiques, 272; son analyse, 273. Ce minéral est un carbonate double de chaux et de soude hydraté, 276.

-(Sur la), ou bi-carbonate hydraté de soude et de chaux, XXXI, 276. Les cristaux de ce minéral sont fortement striés, 277; ils ressemblent à ceux de l'arragonite, 278. La forme primitive du minéral est un octaèdre irrégulier clivable, ibid. Singularité qu'offre le prisme oblique, dans lequel l'octaèdre peut être inscrit, 279. Il y a trois variétés de cris taux: la première variété est appelée quadri déci

male, ibid.; la seconde apophane, 280. Comment elle se produit de l'octaèdre, ibid.; la troisième est appelée paradoxale, 281. Complément des caractères physiques de la gay-lussite, 282.

GAZ DE L'HUILE (De la construction des appareils (Burners), destinés à brûler le) et celui du charbon, et des circonstances qui influent sur la lumière émise par les gaz pendant leur combustion, avec quelques observations sur leur pouvoir éclairant relatif, et sur les différentes méthodes de l'estimer, XXXV, 309. But des auteurs, ibid. Ils n'ont pu se servir du photomètre de Leslie, parce qu'il reçoit l'influence de la chaleur obscure, 310; parce que les rayous des différentes couleurs agissent différemment, 311; mais il peut donner de bons résultats quand on opère sur des lumières de même couleur, 312. Il a le grand inconvénient d'être difficile à exécuter, 312. Les auteurs ont préféré le photomètre de Rumford, 313. Objections faites contre ce mode de détermination au moyen de cet appareil, ibid. Terme de comparaison pris par cette détermination, 314. Les auteurs ont pris un jet de gaz d'huile, 315. Expérience sur l'allongement de la flamme, quand on bouche un bec, ce qui amène à dire que, pour obtenir le plus de lumière possible avec un brûleur quelconque, le courant d'air doit pouvoir brûler le gaz complétement, 317. Explication de la cause de la perte de la lumière occasionnée par un courant d'air trop vif, 318. Expériences, ibid. Les gaz donnent proportionnellement

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