CHROME métallique (Sur l'extraction du), XLVII, 110. -(Sur la préparation du), XLVIII, 297.

CIMENTS calcaires (Nouveaux faits pour servir à la théorie des), XXXII, 197. Résistances relatives qu'offre la silice à différents états, étant mêlée avec de la chaux grasse, ibid. L'alumine ne produit qu'une très faible résistance, 199. Effet de la calcination sur l'argile, ibid. Essai de différents mélanges, ibid. Essais sur l'absorption de l'eau par l'argile, 200. La solidification des ciments hydrauliques n'est pas le résultat exclusif de la faculté absorbante, 201. Expériences où l'argile calcinée a absorbé plus que l'argile naturelle, de la chaux en dissolution, 202. Les mauvaises pouzzolanes ab. sorbent une quantité de chaux très faible relativement aux bonnes, 203. Conclusion, ibid. CINCHONINE. Voy. Quinine.

CIRCULATION des liquides dans les tubes de verre verticaux (Expérience sur la ), XLVHI, 268, Image de la circulation du chara par la circulation de l'eau dans les tubes, 269. Emploi du lait pour voir la circulation, 270. Action de la chaleur sur la circulation, 272. L'eau tenant quelques corps en dissolution offre une mobilité plus grande que quand elle est pure, 274. Action d'une substance dissoute dans l'eau sans agitation, 275. Effet de la lumière sur ce phénomène, 278. CIRE fossile de Moldavie (Sur la substance connue sous le nom de); LV, 217.

de palmier (Sur la composition de la), LIX, 19.

Du ceroxylon andicola, 20. Expériences sur la cire, 21; son analyse, 22.

végétale (Recherches sur la), et la cire des abeilles, XLIX, 240. Caractères de la cire végétale du commerce, ibid. Cire du Brésil ou des Indes-Occidentales, 242. Cire des abeilles, 243.

CITRATES (Sur la composition des), LII, 432, CLASSIFICATION (Sur la) des substances minérales, XXXI, 181. Causes qui nécessitent des changements dans la classification des minéraux, 181. La méthode que propose l'auteur est adoptée en grande partie par M. Berzélius, 182. Ils diffèrent cependant dans bien des cas par des causes premières, 183. Objection à M. Berzélius sur son système qu'il croit naturel, et qui l'est moins que celui de l'auteur, ibid. La définition généralement reçue de l'espèce n'est pas détruite par l'isomorphisme, 184; car les métis n'empêchent pas de reconnaître des espèces premières, 185. D'ailleurs, tout en changeant le système de classification, il faut toujours définir l'espèce, 186; et les mélanges appor tés dans les minéraux par l'isomorphisme devront être placés près de l'espèce dont ils contiennent le plus, 187. En partant des proportions définies on pourra former des espèces quand les composés seront en proportion multiple ordinaire, 188. On en a la preuve par l'analyse, 191. Les exemples pris par M. Berzélius n'amènent aucune difficulté, 192; car les grenats amphiboles, pyroxènes, sont des groupes qui contiennent chacun

plusieurs espèces bien formées, ibid. Définition du genre, 193. D'après cette définition, il faut comparer des corps qui renferment le même principe, 193. Il faut encore recourir au caractère chimique i pour former les familles, 195. C'est ici que M. Berzélius s'écarte de la méthode naturelle, ayant établi son principe à priori, 197. La réunion des corps qui contiennent de l'oxigène en un seul groupe est mauvaise, 199. La formation des familles, par l'élé・ment électro-négatif ou électro-positif est aussi défectueuse, 200. Il est plus convenable de prendre un principe d'électricité quelconque qui ait le plus d'analogie possible entre les genres qu'on réunit, ibid. Les familles minérales adoptées ici sont établies sur ces réflexions, ibid. Exemple de formation de famille, 201. Tableau de classification, 204. Suite: Les deux divisions ou classes de M. Berzélius sont ¡illusoires et artificielles, 225. Pour grouper les familles il faut recourir à la comparaison des corps simples qui leur servent de type, 227. Examen de ces comparaisons, 228. Le silicium a une grande analogie avec le tantale, le titane, le tungstène et le molybdène, le bore et le carbone, ibid. Il en a une autre avec l'aluminium, ibid. Le titane se rapproche de l'étain; puis, après lui, et toujours en suivant, viennent l'antimoine, l'arsenic, le tellure, le sélénium, 229. Puis viennent le chlore, le pthore, l'iode, 230. Le phosphore se placera près de l'arsenic, ibid. D'une autre part le chrôme se rapproche du molybdene; puis viennent après, l'urane,

le fer, le manganèse, le cobalt, le nickel, etc,, 231. L'étain conduit à une autre série qui contient le zinc, le bismuth, ibid.; et après, le mercure, l'argent, le plomb, 232. L'hydrogène et l'azote présentent leur rapprochement le plus facile avec le carbone et le soufre, 233. Ces rapports naturels des corps simples conduisent à grouper les familles en séries ramifiées, 234. Mais la classifica(tion des collections conduit à la série linéaire, 235. Dans cette série linéaire, arrangée le moius artificiellement possible, on peut faire autant de coupures que l'on voudra, 236. Ces coupures ne pourront être absolues, 237. Conclusions, 239.

CLOCHE d'argent renfermée dans le beffroi de Rouen (Note sur la composition de l'alliage qui forme la), › L, 205, Analyse, 208. Elle ne contient pas d'argent, 209. Explication de ce fait, 210. CODEINE, LI, 264.

- LIX, 157.

T

COLORATION automnale des feuilles (Mémoire sur la), XXXVIII, 415. Elles perdent leur couleur verte par degrés, 417. Action de l'atmosphère, 418. Du principe colorant des feuilles, 419. Manière d'ob. tenir la chlorophylle, ibid. Présence d'une matière jaune semblable à la substance verte, 420. Une feuille jaune plongée dans un alcali redevient verte, 421. Examen des feuilles du rhus coriaria, 422. Recherches sur l'existence de la chromule dans les calices, 423. Conclusions des faits rapportés dans ce mémoire, 425.

-des produits organiques (Considérations sur l'influence de l'oxigène dans la), et sur l'action de l'acide sulfureux comme agent décolorant, LIV, 291. Les couleurs se modifient sous certaines influences, 294. Modifications qu'elles subissent à l'air, 297. L'oxigène est la cause de ces modifications, 298. Action de l'acide sulfureux sur les couleurs, 309... COMBINAISONS particulières (Lettre sur quelques), XXXV, 68. Sur la combinaison des chlorures entre eux, 69. Chlorure et cyanure de mercure, ibid. Autres sels doubles, 70. Nitrate de mercure et iodure de potassium, 71.

COMBUSTIBLES (Examen de quelques), LIX, 225. Houilles, 227. Houille de Dowlais, 228; de la Tyne, 229; de la Clyde, de Tipton, du Derbyshire, dure, ibid. Cendres, 230; d'Escheveiller, ibid.; de SaintPierre-la-Cour, 231; d'Obernkirchen, ibid. Cannel coal du Vigau, 232; des environs de Glascow, 233. Lignites, 234; de Val Pineau, 235; de Gardamie, ibid.; de Fuveau, 236; de Saint-Martinde-Vaud, ibid., de Koep-Fuarch, 237. D'Elbogen, 238; des bords de l'Alphée, 240; de Triphilis, 244; de Koumi, 245. Tourbes, 246. d'Ichoux, 249. Bois et charbon de bois, 251. Analyse de certains bois, 260.

-(Sur l'emploi des), dans les hauts-fourneaux, LIX, 264. Des phénomènes qui se passent dans la combustion, 267. Réduction du minerai, 270. Substi tution de l'air chaud à l'air froid, 276. Détermi