Œuvres complètes, Bind 3Perrotin, éditeur, 1834 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 23
Side 14
... printemps . Mais dans nos cœurs le courage sommeille ; Chargé de fers , chacun se dit : J'attends ! La Gréce expire , et l'Europe est tremblante ; Seuls , nos pleurs seuls osent se révolter . Reviens , ma voix , faible , mais consolante ...
... printemps . Mais dans nos cœurs le courage sommeille ; Chargé de fers , chacun se dit : J'attends ! La Gréce expire , et l'Europe est tremblante ; Seuls , nos pleurs seuls osent se révolter . Reviens , ma voix , faible , mais consolante ...
Side 52
... printemps , Est le prix qui nous tente . Mais , hélas ! vous n'avez que Et moi j'en ai quarante ! douze ans , Jeune oiseau , prenez l'essor ; Égayez le bocage . Par des chants plus doux encor Brillez dans un autre âge . De les inspirer ...
... printemps , Est le prix qui nous tente . Mais , hélas ! vous n'avez que Et moi j'en ai quarante ! douze ans , Jeune oiseau , prenez l'essor ; Égayez le bocage . Par des chants plus doux encor Brillez dans un autre âge . De les inspirer ...
Side 69
... printemps veut des fleurs éternelles , Votre beauté de célestes atours : ( bis . ) Pour un long vol vous déployez vos ailes ; Ange aux yeux bleus , protégez - moi toujours . bis . LA VERTU DE LISETTE . AIR : Je loge au CHANSONS DE ...
... printemps veut des fleurs éternelles , Votre beauté de célestes atours : ( bis . ) Pour un long vol vous déployez vos ailes ; Ange aux yeux bleus , protégez - moi toujours . bis . LA VERTU DE LISETTE . AIR : Je loge au CHANSONS DE ...
Side 101
... printemps . « La lyre attendrie « Ne redit plus leurs noms effacés tous . " Nargue du sot qui meurt pour la patrie ! " Enivrons - nous ! « La Liberté conspire encore « Avec des restes de vertu ; Elle nous dit : Voici l'aurore ; Peuple ...
... printemps . « La lyre attendrie « Ne redit plus leurs noms effacés tous . " Nargue du sot qui meurt pour la patrie ! " Enivrons - nous ! « La Liberté conspire encore « Avec des restes de vertu ; Elle nous dit : Voici l'aurore ; Peuple ...
Side 110
... sur les ondes Semble chercher des bords lointains et chers : Que la vertu rapproche les deux mondes ! Jours de triomphe , éclairez l'univers ! MAUDIT PRINTEMPS ! AIR : C'est à mon maître en 110 CHANSONS DE BÉRANGER .
... sur les ondes Semble chercher des bords lointains et chers : Que la vertu rapproche les deux mondes ! Jours de triomphe , éclairez l'univers ! MAUDIT PRINTEMPS ! AIR : C'est à mon maître en 110 CHANSONS DE BÉRANGER .
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adieu Alleluia amis Amours baisez beauté beaux jours bel âge bénir Béranger Bon ange carrosse Cessez vos chants chansonnier chansons chapeau Chios Colibri conclave cordon COUPLETS couronne crie culs nus d'Amours dansez déja Denys Denys l'ancien DEUXIÈME GRENADIER diable en falbala diable est mort dois rien ÉMILE DEBRAUX enfants fêté file filles fleurs gai troubadour gaîment gloire glous grace hélas J'ai jeune et gai joyeux Juif ou chrétien l'ange liberté Lisette m'en doutais monde est assez monde est prié noce Pape est marié par-ci par-là passé pauvre Marie petits culs nus peuple est par-tout Pleurez et convertissez-vous poëte Pologne portez-vous prêtres Priez pour Charles-Dix Psara Reconnaissez la voix Reine des flots rois sacrebleu Saint-Père saint-siège sainte Ampoule secourir le prisonnier soldat bleu sourire suivons un vieux Taconnet Trala treize à table trouver là bas trouvères Turlupin ventrebleu Vieux grenadiers vieux soldat Vite en carrosse vois voix d'Ignace
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Side 210 - Chacun disait: Quel beau temps! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux; D'un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, grand'mère! Quel beau jour pour vous ! • Mais, quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre. Bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'assoit où me voilà, S'écriant...
Side 210 - Mes enfants, dans ce village, Suivi de rois, il passa ; Voilà bien longtemps de ça : Je venais d'entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où pour voir je m'étais mise, Il avait petit chapeau Avec redingote grise. Près de lui je me troublai ; Il me dit : Bonjour, ma chère, Bonjour, ma chère.
Side 216 - J'ai faim, dit-il; et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits, Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs Il me dit: Bonne espérance! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France.
Side 211 - L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 124 - C'est un grenier, point ne veux qu'on l'ignore. Là fut mon lit, bien chétif et bien dur ; Là fut ma table; et je retrouve encore Trois pieds d'un vers charbonnés sur le mur. Apparaissez, plaisirs de mon bel âge, Que d'un coup d'aile a fustigés le temps,' Vingt fois pour vous j'ai mis ma montre en gage.
Side 266 - Sans vieillir, accablé de jours , La fin du monde est mon seul rêve. Chaque soir j'espère toujours ; Mais toujours le soleil se lève. Toujours, toujours, (bu:} Tourne la terre où moi je cours , Toujours, toujours, toujours, toujours.
Side 334 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-ilV Maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Side 330 - Nos gouvernants, pris de vertige, Des biens du ciel triplant le taux, Font mourir le fruit sur sa tige, Du travail brisent les marteaux. Pour qu'au loin il abreuve Le sol et l'habitant, Le bon Dieu crée un fleuve. . . Ils en fout un étang.
Side 113 - En vain faut-il qu'on me traduise Homère, Oui, je fus Grec; Pythagore a raison. Sous Périclès j'eus Athènes pour mère; Je visitai Socrate en sa prison. De Phidias j'encensai les merveilles; De l'Ilissus j'ai vu les bords fleurir. J'ai sur l'Hyméte éveillé les abeilles; C'est là, c'est là que je voudrais mourir.
Side 211 - J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits ; Même à dormir le feu l'invite, Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.