Œuvres complètes, Bind 3Perrotin, éditeur, 1834 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 45
Side 7
... chants légers seront chers aux Français , « Et du proscrit adouciront les larmes . » Et puis la fée , avec de gais refrains , Calmait le cri de mes premiers chagrins . Amis , hier j'étais faible et morose , L'aimable fée apparaît à mes ...
... chants légers seront chers aux Français , « Et du proscrit adouciront les larmes . » Et puis la fée , avec de gais refrains , Calmait le cri de mes premiers chagrins . Amis , hier j'étais faible et morose , L'aimable fée apparaît à mes ...
Side 10
Pierre Jean de Béranger. Les fleurs pleuvaient , et des vierges pudiques Mêlaient leurs chants à l'hymne des combats . Moi , pauvre enfant , dans une coupe amère , En orphelin par le sort allaité , Je m'écriais : « Tenez - moi lieu de ...
Pierre Jean de Béranger. Les fleurs pleuvaient , et des vierges pudiques Mêlaient leurs chants à l'hymne des combats . Moi , pauvre enfant , dans une coupe amère , En orphelin par le sort allaité , Je m'écriais : « Tenez - moi lieu de ...
Side 28
... chants qu'elle nous inspirait , Sur lui jamais pouvais - je croire Que l'étranger se vengerait ? Viens , mon chien , viens , ma pauvre bête ; Mange malgré mon désespoir . Il me reste un gâteau de fête ; Demain nous aurons du pain noir ...
... chants qu'elle nous inspirait , Sur lui jamais pouvais - je croire Que l'étranger se vengerait ? Viens , mon chien , viens , ma pauvre bête ; Mange malgré mon désespoir . Il me reste un gâteau de fête ; Demain nous aurons du pain noir ...
Side 34
... , u . da .. quidos : 1 Viens de trésors combler mes mains avides ; Viens reposer dans l'asile des arts . Retourne boire à la Seine rebelle , LE CHANT DU COSAQUE . AIR : Dis - moi 3 . CHANSONS DE BÉRANGER . 35 སྙན ...
... , u . da .. quidos : 1 Viens de trésors combler mes mains avides ; Viens reposer dans l'asile des arts . Retourne boire à la Seine rebelle , LE CHANT DU COSAQUE . AIR : Dis - moi 3 . CHANSONS DE BÉRANGER . 35 སྙན ...
Side 35
... Viens de trésors combler mes mains avides ; Viens reposer dans l'asile des arts . Retourne boire à la Seine rebelle , Où , tout sanglant , tu t'es lavé deux fois 3 . CHANSONS DE BÉRANGER . 35 LE CHANT DU COSAQUE. ...
... Viens de trésors combler mes mains avides ; Viens reposer dans l'asile des arts . Retourne boire à la Seine rebelle , Où , tout sanglant , tu t'es lavé deux fois 3 . CHANSONS DE BÉRANGER . 35 LE CHANT DU COSAQUE. ...
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adieu Alleluia amis Amours baisez beauté beaux jours bel âge bénir Béranger Bon ange carrosse Cessez vos chants chansonnier chansons chapeau Chios Colibri conclave cordon COUPLETS couronne crie culs nus d'Amours dansez déja Denys Denys l'ancien DEUXIÈME GRENADIER diable en falbala diable est mort dois rien ÉMILE DEBRAUX enfants fêté file filles fleurs gai troubadour gaîment gloire glous grace hélas J'ai jeune et gai joyeux Juif ou chrétien l'ange liberté Lisette m'en doutais monde est assez monde est prié noce Pape est marié par-ci par-là passé pauvre Marie petits culs nus peuple est par-tout Pleurez et convertissez-vous poëte Pologne portez-vous prêtres Priez pour Charles-Dix Psara Reconnaissez la voix Reine des flots rois sacrebleu Saint-Père saint-siège sainte Ampoule secourir le prisonnier soldat bleu sourire suivons un vieux Taconnet Trala treize à table trouver là bas trouvères Turlupin ventrebleu Vieux grenadiers vieux soldat Vite en carrosse vois voix d'Ignace
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Side 210 - Chacun disait: Quel beau temps! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux; D'un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, grand'mère! Quel beau jour pour vous ! • Mais, quand la pauvre Champagne Fut en proie aux étrangers, Lui, bravant tous les dangers, Semblait seul tenir la campagne. Un soir, tout comme aujourd'hui, J'entends frapper à la porte; J'ouvre. Bon Dieu! c'était lui, Suivi d'une faible escorte. Il s'assoit où me voilà, S'écriant...
Side 210 - Mes enfants, dans ce village, Suivi de rois, il passa ; Voilà bien longtemps de ça : Je venais d'entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où pour voir je m'étais mise, Il avait petit chapeau Avec redingote grise. Près de lui je me troublai ; Il me dit : Bonjour, ma chère, Bonjour, ma chère.
Side 216 - J'ai faim, dit-il; et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits, Même à dormir le feu l'invite. Au réveil, voyant mes pleurs Il me dit: Bonne espérance! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la France.
Side 211 - L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 124 - C'est un grenier, point ne veux qu'on l'ignore. Là fut mon lit, bien chétif et bien dur ; Là fut ma table; et je retrouve encore Trois pieds d'un vers charbonnés sur le mur. Apparaissez, plaisirs de mon bel âge, Que d'un coup d'aile a fustigés le temps,' Vingt fois pour vous j'ai mis ma montre en gage.
Side 266 - Sans vieillir, accablé de jours , La fin du monde est mon seul rêve. Chaque soir j'espère toujours ; Mais toujours le soleil se lève. Toujours, toujours, (bu:} Tourne la terre où moi je cours , Toujours, toujours, toujours, toujours.
Side 334 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être ; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître Oiseau craintif, je fuis la glu des rois. Que me faut-ilV Maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille, En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Side 330 - Nos gouvernants, pris de vertige, Des biens du ciel triplant le taux, Font mourir le fruit sur sa tige, Du travail brisent les marteaux. Pour qu'au loin il abreuve Le sol et l'habitant, Le bon Dieu crée un fleuve. . . Ils en fout un étang.
Side 113 - En vain faut-il qu'on me traduise Homère, Oui, je fus Grec; Pythagore a raison. Sous Périclès j'eus Athènes pour mère; Je visitai Socrate en sa prison. De Phidias j'encensai les merveilles; De l'Ilissus j'ai vu les bords fleurir. J'ai sur l'Hyméte éveillé les abeilles; C'est là, c'est là que je voudrais mourir.
Side 211 - J'ai faim, dit-il, et bien vite Je sers piquette et pain bis. Puis il sèche ses habits ; Même à dormir le feu l'invite, Au réveil, voyant mes pleurs, II me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.