ECLOGA SEPTIMA. MELIBOEUS, CORYDON, THYRSIS, MELIBOEUS. FORTÈ sub argutâ consederat ilice Daphnis ; Et cantare pares, et respondere parati. Hic mihi, dùm teneras defendo à frigore myrtos, Quid facerem?neque egoAlcippen,nec Phyllida habebam, Depulsos à lacte domi quæ clauderet agnos; ÉGLOGUE SEPTIÈME. MÉLIBÉE, CORYDON, THYRSIS. MÉLIBÉE. DAPHNIS » Ton bélier, tes chevreaux, sont tous en sûreté : » Libre de soins pressants, viens, reste à mon côté. » Le flanc de ce vieux chêne, où bourdonne l'abeille, » D'un bruit mystérieux charmera ton oreille. » Ici le Mincio, de roseaux couronné, » Vers ses eaux chaque jour voit le bœuf ramené. » Que faire? je n'avais, dans mon enclos champêtre, Alcippe ni Phyllis pour seconder leur maître ; C'était l'heure du soir, où les agneaux sevrés Sont de leur jeune mère en bêlant séparés : Et certamen erat, Corydon cum Thyrside, magnum : Alternis igitur contendere versibus ambo CORYDON. Nymphæ, noster amor, Libethrides, aut mihi carmen, THYRSIS. Pastores, hederâ crescentem ornate poetam, CORYDON. Setosi caput hoc apri tibi, Delia, parvus THYRSIS. Sinum lactis et hæc te liba, Priape, quotannis (2) |