Histoire de la littérature française sous la restauration, Bind 1Lecoffre, 1858 |
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
âme arrive avaient Benjamin Constant Béranger Bonald Bonaparte c'était caractère Casimir Delavigne catholique et monarchique chansons chants Chateaubriand chose chrétien cœur comte de Maistre Condillac d'idées devait Dieu dire dix-huitième siècle doctrines école écrit écrivains époque esprits famille Fontanes française François Ier Frayssinous Génie du christianisme gloire gouvernement Grèce guerre Guizot hommes humaine idées influence intellectuelle intelligences jeune Joseph de Maistre Journal des Débats l'auteur l'école catholique l'empereur l'Empire l'époque l'esprit l'histoire l'homme laisser Lamartine Législation primitive lettre liberté littéraire littérature livre lord Byron Louis XVIII lui-même lutte Méditations ment Messéniennes ministre Mme de Staël monde morale mouvement n'avait Napoléon nationale opinions ouvrage pamphlet parler parole passé passions Paul-Louis Courier pensée peuple philosophie poésie poëte poétique politique pouvoir première presse principes public raison religieuses religion Restauration Révolution révolutionnaire royale royauté Royer-Collard salon sentiment seul social société sorte souvenirs style succès talent théorie tion tribune trouve vérité Victor Hugo
Populære passager
Side 271 - O lac ! rochers muets ! grottes ! forêt obscure ! Vous que le temps épargne ou qu'il peut rajeunir...
Side 289 - Rien, dit-il au frère d'Amélie, rien ne mérite, « dans cette histoire, la pitié qu'on vous montre ici. « Je vois un jeune homme entêté de chimères, à qui « tout déplaît, et qui s'est soustrait aux charges de « la société pour se livrer à d'inutiles rêveries. On «n'est point, monsieur, un homme supérieur parce « qu'on aperçoit le monde sous un jour odieux.
Side 297 - Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix...
Side 271 - O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours! Laissez-nous savourer les rapides délices Des plus beaux de nos jours!
Side 204 - DANS ce Paris plein d'or et de misère , En l'an du Christ mil sept cent quatre-vingt, Chez un tailleur, mon pauvre et vieux grand-père, Moi, nouveau né, sachez ce qui m'advint. Rien ne prédit la gloire d'un Orphée...
Side 271 - Qui pendent sur tes eaux; Qu'il soit dans le zéphyr qui frémit et qui passe, Dans les bruits de tes bords, par tes bords répétés, Dans l'astre au front d'argent qui blanchit ta surface De ses molles clartés; Que le vent qui gémit, le roseau qui soupire, Que les parfums légers de ton air embaumé, Que tout ce qu'on entend, l'on voit ou l'on respire, Tout dise: Ils ont aimé!
Side 304 - demandait la jeune ombre. « Je suis un prisonnier, je ne suis point un roi. » Hier je m'endormis au fond d'une tour sombre. » Où donc ai-je régné? Seigneur, dites-le-moi.
Side 347 - Un conquérant , dans sa fortune altière , Se fit un jeu des sceptres et des lois, Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.
Side 348 - Vous vieillirez , ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons , Et bonne vieille , au coin d'un feu paisible , De votre ami répétez les chansons.
Side 63 - Mais, si le législateur se trompant dans son objet, prend un principe différent de celui qui naît de la nature des choses...