Traité expérimental de l'électricité et du magnétisme, et de leurs rapports avec les phénomènes naturels, Bind 1

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Firmin Didot frères, 1834
 

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Almindelige termer og sætninger

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Side 39 - Nollet, entreprenait de prouver par une comparaison bien suivie des phénomènes, que le tonnerre est entre les mains de la nature, ce que l'électricité est entre les nôtres, que ces merveilles dont nous disposons maintenant à notre gré, sont de petites imitations de ces grands effets qui nous...
Side 293 - Romas avoua qu'elle le fit trembler. La plus longue paille fut attirée par le tube de fer.blanc, sur quoi il se fit trois explosions dont le bruit ressemblait fort à celui du tonnerre. Quelqu'un de la compagnie le compara à l'explosion des fusées volantes, et d'autres au bruit que ferait une grande jarre de terre en se brisant contre un pavé.
Side 173 - Il est naturel que l'effet qu'éprouvent les chevaux soit plus puissant que celui que le même poisson produit sur l'homme lorsqu'il ne le touche que par une des extrémités. Les chevaux ne sont probablement pas tués, mais simplement étourdis. Ils se noient, étant dans l'impossibilité de se relever, par la lutte prolongée entre les autres chevaux et les gymnotes. « Nous ne doutions pas que la...
Side 295 - Moustiers, chantait l'épître, lorsqu'on entendit trois détonations de tonnerre qui se succédèrent avec la rapidité de l'éclair. Le missel lui fut enlevé des mains et mis en pièces, il se sentit lui-même serré étroitement au corps par la flamme, qui le prit de suite au cou. Alors, par un mouvement involontaire , ce jeune homme, qui avait d'abord jeté de grands cris , ferma la bouche, fut renversé, roulé sur les personnes rassemblées dans l'église, qui toutes avaient été terrassées,...
Side 173 - Nous ne doutions pas que la pêche ne se terminât par la mort successive des animaux qu'on y emploie. Mais peu à peu l'impétuosité de ce combat inégal diminue : les gymnotes fatigués se dispersent; ils ont besoin d'un long repos et d'une nourriture abondante pour réparer ce qu'ils ont perdu de force galvanique : les mulets et les chevaux parurent moins effrayés , ils ne...
Side 292 - Se croyant alors en sûreté et n'ayant plus personne auprès de lui, il porta son attention sur ce qui se passait dans les nuages qui étaient immédiatement au-dessus du cerf-volant; mais il n'aperçut d'éclair ni là, ni nulle autre part, ni même le moindre bruit de tonnerre, et il ne tomba point du tout de pluie. Le vent, qui venait de l'ouest et était assez fort, éleva le cerf-volant de 100 pieds au moins plus haut qu'auparavant. « Ensuite, jetant les yeux sur le tube de fer-blanc qui...
Side 522 - ... des arbres, les pointes des feuilles vont au-devant de lui, l'attirent et le forcent à passer au travers des végétaux qu'il anime sans doute, et dont il devient peut-être, en se décomposant, la partie la plus savoureuse et la plus active. Car pourquoi les plantes qui croissent sur les rocs nus et escarpés surpassent-elles si fort en saveur et en vertus médicinales celles du même genre qui croissent dans le...
Side 297 - Une fille de dixneuf ans fut transportée sans connaissance à sa maison, et expira le lendemain matin, en proie aux douleurs les plus horribles, à en juger par ses hurlements ; de sorte que le nombre des personnes mortes est de neuf; celui des blessés est de quatre-vingt-deux. « Le prêtre célébrant ne fut point atteint de la foudre, sans doute parce qu'il avait un ornement de soie.
Side 295 - Châteauneuf pour y installer un nouveau recteur. Vers les dix heures et demie, on se rendit en procession de la maison curiale à l'église. Le temps était beau , on remarquait seulement quelques gros nuages. La messe fut commencée par le nouveau recteur. Un jeune homme de dix-huit ans, qui avait accompagné le curé de Moustiers, chantait l'épître, lorsqu'on entendit trois détonations de tonnerre qui se succédèrent avec la rapidité de l'éclair.
Side 181 - Afrique , par 22' de longitude orientale ; la seconde le place 4° plus à l'occident. Suivant MM. Hansteen et Morlet, si l'on part de ce nœud en s'avançant du côté de la mer des Indes, la ligne sans inclinaison s'éloigne rapidement vers le nord de l'équateur terrestre, sort de l'Afrique un peu au sud du cap Guardafui , et parvient , dans la mer d'Arabie , à son maximum absolu d'excursion boréale (environ 12°), par 62° de longitude orientale.

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