Souvenirs d'enfance et de jeunesse, Oplag 572 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 44
Side
... MORALE ET DE CRITIQUE . MÉLANGES D'HISTOIRE ET DE VOYAGES . QUESTIONS CONTEMPORAINES LA RÉFORME INTELLECTUELLE ET MORALE DIALOGUES PHILOSOPHIQUES . DE L'ORIGINE DU LANGAGE . CALIBAN , drame philosophique . L'EAU DE JOUVENCE , drame ...
... MORALE ET DE CRITIQUE . MÉLANGES D'HISTOIRE ET DE VOYAGES . QUESTIONS CONTEMPORAINES LA RÉFORME INTELLECTUELLE ET MORALE DIALOGUES PHILOSOPHIQUES . DE L'ORIGINE DU LANGAGE . CALIBAN , drame philosophique . L'EAU DE JOUVENCE , drame ...
Side viii
... moral . La supériorité de la science moderne consiste en ce que chacun de ses progrès est un degré de plus dans l'ordre des abstractions . Nous faisons la chimie de la chimie , l'algèbre de l'algèbre ; nous nous éloignons de la nature ...
... moral . La supériorité de la science moderne consiste en ce que chacun de ses progrès est un degré de plus dans l'ordre des abstractions . Nous faisons la chimie de la chimie , l'algèbre de l'algèbre ; nous nous éloignons de la nature ...
Side 6
... morale du pays . La Révolution , pour ce nid de prêtres et de moines , fut en apparence un arrêt de mort . Le ... moral , il est permis de dire ce qui n'est pas vrai au physique : quand les creux d'une coquille sont très profonds , ces ...
... morale du pays . La Révolution , pour ce nid de prêtres et de moines , fut en apparence un arrêt de mort . Le ... moral , il est permis de dire ce qui n'est pas vrai au physique : quand les creux d'une coquille sont très profonds , ces ...
Side 49
... moral n'avait pas été chez elle aussi oblitéré qu'il l'était , elle n'eût pensé qu'à délivrer la sacristine ; mais elle n'y songeait guère . Elle était plongée dans une sorte de stupeur , qui n'avait rien de commun avec le remords . Ce ...
... moral n'avait pas été chez elle aussi oblitéré qu'il l'était , elle n'eût pensé qu'à délivrer la sacristine ; mais elle n'y songeait guère . Elle était plongée dans une sorte de stupeur , qui n'avait rien de commun avec le remords . Ce ...
Side 74
... morale m'a procuré les plus vives jouissances intellectuelles qu'on puisse goûter . Ma race , ma famille , ma ville natale , le milieu si particulier où je me développai , en m'interdisant les visées bourgeoises et en me rendant ...
... morale m'a procuré les plus vives jouissances intellectuelles qu'on puisse goûter . Ma race , ma famille , ma ville natale , le milieu si particulier où je me développai , en m'interdisant les visées bourgeoises et en me rendant ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
absolue aimait années arrivé assez aurait avaient beau Bretagne Breton c'était catholique cause changement cher chose chrétien christianisme cœur complète côté cours critique croire d'autre d'être défauts dernier devant devoir Dieu dire disait dogmes donner doute Dupanloup ecclésiastique effet élèves esprit études eût façon faisait femme fille fond force forme général gens heures homme idées j'ai j'avais j'étais jeune jour l'Église l'esprit l'homme laisser lettre livre maintenant maîtres manière ment mère mieux monde montrer morale mort n'ai n'avait n'était noble parler particulier passé pauvre pays peine pensée père personne petit petite peut-être philosophie piété place plein porte pouvait première présentait presque prêtre pris profond qu'une raison règle religion respect reste rien saint Saint-Sulpice sais savait science semble séminaire sentiment serait sérieux servir seul siècle sorte souvent supérieur sûr surtout tard tenait théologie tion trait trouve venait vérité vieille vieux vive voyait vrai
Populære passager
Side 47 - Le trait caractéristique de la race bretonne, à tous ses degrés, est l'idéalisme, la poursuite d'une fin morale ou intellectuelle, souvent erronée, toujours désintéressée. Jamais race ne fut plus impropre à l'industrie, au commerce. On obtient tout d'elle par le sentiment de l'honneur; ce qui est lucre lui...
Side 137 - Qui a connu ce rationabile obsequium n'en peut plus souffrir d'autre. Un ordre est une humiliation ; qui a obéi est un capitis minor, souillé dans le germe même de la vie noble. L'obéissance ecclésiastique n'abaisse pas ; car elle est volontaire, et on peut se séparer.
Side 41 - L'impression que me fit Athènes est de beaucoup la plus forte que j'aie jamais ressentie. Il ya un lieu où la perfection existe ; il n'y en a pas deux : c'est celui-là. Je n'avais jamais rien imaginé de pareil.
Side 43 - Le monde est plus grand que tu ne crois. Si tu avais vu les neiges du pôle et les mystères du ciel austral, ton front, ô déesse toujours calme, ne serait pas si serein, ta tête, plus large, embrasserait divers genres de béante.
Side 184 - C'est là que j'ai appris l'art de peindre la nature par des traits moraux. Jusqu'en 1863, je ne me suis figuré l'île de Chio que par ces trois mots de Fénelon, « l'île de Chio, fortunée patrie d'Homère. » Ces trois mots, harmonieux et rythmés, me semblaient une peinture accomplie...
Side 42 - Hippia, qu'ils descendent des cavaliers qui célèbrent là-haut, sur le marbre de ta frise, leur fête éternelle. J'arracherai de mon cœur toute fibre qui n'est pas raison et art pur. Je cesserai d'aimer mes maladies, de me complaire en ma fièvre.
Side 187 - La claire vue scientifique d'un univers où n'agit d'une façon appréciable aucune volonté libre supérieure à celle de l'homme devint, depuis les premiers mois de 1846, l'ancre inébranlable sur laquelle nous n'avons jamais chassé.
Side 41 - Démocratiei, toi dont le dogme fondamental est que tout bien vient du peuple, et que, partout où il n'ya pas de peuple pour nourrir et inspirer le génie, il n'ya rien, apprendsnous à extraire le diamant des foules impures.
Side 41 - Toute noblesse a disparu. Les Scythes ont conquis le monde. Il n'ya plus de république d'hommes libres; il n'ya plus que des rois issus d'un sang lourd, des majestés dont tu sourirais. De pesants Hyperboréens appellent légers ceux qui te servent . . . Une pambéotie redoutable, une ligue de toutes les sottises, étend sur le monde un couvercle de plomb, sous lequel on étouffe.
Side 6 - ... siècle qui y sont couchées; je n'étais à l'aise que dans la compagnie des morts, près de ces chevaliers, de ces nobles dames, dormant d'un sommeil calme, avec leur levrette à leurs pieds et un grand flambeau de pierre à la main. Les environs de la ville présentaient le même caractère religieux et idéal.