OEuvres complètes de P.-J. de Béranger, Bind 1Perrotin, 1845 |
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Adieu Aimera La fillette amis amours Bagnolet Baise-moi beau jour belle Biribi boire Boive à plein bonheur bons vins CENT-JOURS chansons Chante chantre Boive chapeau bas cher cieux cœur Concordat congrès coquettes couplets Cythère Sois damnera dansez diable m'emporte Dieu digue Diogène doux Dupont enfants Enfin nous commandons farira dondaine farira dondé fils flûte et basse François Ier gaîment gaîté renaîtra gaudriole gens gloire Gloria tibi gueux heureux J'ai cinquante écus j'ai vu Judas j'aime j'en réponds jolie jour des morts joyeux Jupiter livre l'amour l'honneur lait de poule larira larirette Libre et content Lisette Margot marquis de Carabas Messieurs Momus monde Aux mirmidons n'étouffons patrie pauvre plaisirs Qu'en dites-vous rire Roger Bontemps rois sainte alliance Sainte-Alliance serrons nos rangs Sois le courtier soufflons tintin tontaine tonton trinquera Turlurette unissons Vaudeville verre en main veux vilain vlan vogue ma nacelle
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Side 1 - LE ROI D'YVETOT. IL était un roi d'Yvetot, Peu connu dans l'histoire ; Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bien sans gloire, Et couronné par Jeanneton D'un simple bonnet de coton, Dit-on.
Side 3 - On conserve encor le portrait De ce digne et bon prince; C'est l'enseigne d'un cabaret Fameux dans la province. Les jours de fête, bien souvent, La foule s'écrie en buvant Devant: Oh! oh! oh! oh!
Side 115 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu ! te quitter c'est mourir.
Side 188 - Le plaisir suit la liberté. Du luxe dont elle est blessée, La joie ici défend l'abus, Point d'entraves à la pensée Par ordonnance de Bacchus. A son gré que chacun professe Le culte de sa déité ; Qu'on puisse aller même à la messe Ainsi le veut la liberté.
Side 204 - Sois-moi fidèle, ô pauvre habit que j'aime! Ensemble nous devenons vieux. Depuis dix ans je te brosse moi-même, Et Socrate n'eût pas fait mieux. Quand le sort à ta mince étoffe Livrerait de nouveaux combats, Imite-moi, résiste en philosophe: Mon vieil ami, ne nous séparons pas. Je me souviens, car j'ai bonne mémoire, Du premier jour où je te mis: C'était ma fête, et, pour comble de gloire, Tu fus chanté par mes amis. Ton indigence, qui m'honore, Ne m'a point banni de leurs bras; Tous...
Side 268 - Oui, voilà les rives de France : Oui, voilà le port vaste et sûr, Voisin des champs où mon enfance S'écoula sous un chaume obscur. France adorée ! Douce contrée ! Après vingt ans enfin je te revois ; De mon village Je vois la plage, Je vois fumer la cime de nos toits.
Side 58 - Gai ! gai ! serrons nos rangs, Espérance De la France ; Gai ! gai ! serrons nos rangs ; En avant, Gaulois et Francs ! Pour des Calmoucks durs et laids Nos filles Sont trop gentilles, Nos femmes ont trop d'attraits.
Side 296 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 172 - gives to my children. " Jete sur cette boule, Laid, chetif et souffrant ; Etouffe dans la foule, Faute d'etre assez grand : " Une plainte touchante De ma bouche sortit. Le bon Dieu me dit : Chante, Chante, pauvre petit ! " Chanter, ou je m'abuse, Est ma tache ici bas. Tous ceux qu'ainsi j'amuse, Ne m'aimeront-ils pas...
Side 39 - Les gueux, les gueux Sont les gens heureux ; Ils s'aiment entre eux. Vivent les gueux ! Au Parnasse la misère Longtemps a régné, dit-on ; Quels bjeAs possédait Homère?