quelqu'un nommément, et on ne peut, à cet égard, que former des conjectures. Tels sont les éclaircissemens que nos recherches nous ont procurés sur un point assez obscur d'antiquité, qu'Horace n'a fait qu'indiquer. Nous ne Nous ne nous flattons pas d'avoir répandu sur cette matière le jour de l'évidence; mais nous croyons du moins avoir donné une idée assez juste et du cycle épique, et des poètes dont les ouvrages composèrent ce cycle. FIN DE LA DISSERTATION SUR LES POÈTES CYCLIQUES. DANS la collection intitulée Antiquitates Italiæ medii ævi, du célèbre Muratori, nous trouvons, tom. 3, pag. 661, une Dissertation de Rhythmicâ veterum Poesi, et origine Poeseos italicæ ; mais ce savant littérateur, en parlant de la Poésie rhythmique, a eu pour principal objet de remonter à l'origine de la Poésie italienne. C'est pourquoi il rapporte un nombre considérable de monumens du moyen âge, comme autant de types des différens procédés de la Poésie italienne. Dans l'Essai que nous présentons aujourd'hui au Public, nous envisageons la Poésie rhythmique sous un point de vue beaucoup plus étendu. Nous faisons voir que dans tous les tems et chez toutes les nations, elle a donné naissance à la Poésie |