Traité de physiologie v. 2, 1860, Bind 2Masson, 1860 |
Almindelige termer og sætninger
anatomique animaux bulbe rachidien cavité cerveau cervelet cervicale chiens cinquième paire cordons corps striés couches optiques courant électrique crâne cristallin d'après démontré déterminer développement direction distance division dure-mère effet encéphaliques excitation expériences expérim externe faculté faisceaux fibres filets Flourens fonctions ganglion ganglionnaire glosso-pharyngien glotte hémisphères cérébraux impressions inférieure influence interne irritants j'ai l'action l'animal l'appareil l'axe cérébro-spinal l'encéphale l'excitation l'homme l'influence l'iris l'irritation l'odorat l'œil l'organe lapins larynx lentille lésion liquide lobes cérébraux lumineux Magendie mammifères manière Mém membrane ment moelle épinière moteur oculaire commun motrice mouvements Müller muqueuse muscles nerf facial nerf moteur nerf optique nerf trijumeau nerfs spinaux nerv observations oiseaux olfactifs organes Ouer paralysie pathologiques phénomènes physiol physiologistes pneumogastrique portion postérieure protubérance pupille racines spinales rameaux rapport rayons respiration respiratoires résultats résulte rétine Schiff sécrétion section sens sensation sensibilité serait seulement sommeil spéciale substance grise suivant surface sympathique syst système nerveux tion trijumeau tronc tympan vertébrés vision
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Side 593 - Au reste, l'âme peut avoir ses plaisirs à part. Mais pour ceux qui lui sont communs avec le corps, ils dépendent entièrement des passions : en sorte que les hommes qu'elles peuvent le plus émouvoir sont capables de goûter le plus de douceur en cette vie.
Side 599 - Si je me suis bien expliqué, on doit avoir déjà vu que, bien loin de tout ôter aux animaux, je leur accorde tout à l'exception de la pensée et de la réflexion ; ils ont le sentiment, ils l'ont même à un plus haut degré que nous ne l'avons ; ils ont aussi la conscience de leur existence actuelle, mais ils n'ont pas celle de leur existence passée; ils ont des sensations...
Side 596 - Je crois que la mémoire des choses matérielles dépend des vestiges qui demeurent dans le cerveau après que quelque image ya été imprimée; et que celle des choses intellectuelles dépend de quelques autres vestiges qui demeurent en la pensée même.
Side 149 - Si la nature, au lieu de mains et de doigts flexibles , eût terminé nos poignets par un pied de cheval , qui doute que les hommes, sans arts, sans...
Side 130 - C'est le sens par lequel l'animal est le plus tôt, le plus souvent et le plus sûrement averti, par lequel il agit, il se détermine; par lequel il reconnaît ce qui est convenable ou contraire à sa nature ; par lequel enfin il aperçoit, sent et choisit ce qui peut satisfaire son appétit.
Side 604 - Dès que je sus par la chirurgie que du pus accumulé à la surface du cerveau détruisait nos facultés, et que l'évacuation de ce pus leur permettait de reparaître, je ne fus plus maître de les...
Side 401 - ... les lapins; il en a moins encore dans les animaux plus petits que ceux-ci; il en a un peu plus dans les animaux plus grands, l'étendue particulière de ce point variant comme varie l'étendue totale de l'encéphale ; mais, en définitive, c'est toujours d'un point, et d'un point unique, et d'un point qui a quelques lignes à peine, que la respiration, l'exercice de l'action nerveuse, l'unité de cette action, la vie entière de l'animal, en un mot, dépendent...
Side 629 - ... les molécules organiques se trouvent en liberté dans la matière des corps morts et décomposés, dès qu'elles ne sont point absorbées par le moule intérieur des êtres organisés qui composent les espèces ordinaires de la nature vivante ou végétante ; ces molécules...
Side 589 - Il n'appartient qu'à celui qui a pratiqué la médecine pendant longtemps d'écrire de la métaphysique ; c'est lui seul qui a vu les phénomènes, la machine tranquille ou furieuse, faible ou vigoureuse, saine ou brisée, délirante ou réglée, successivement imbécile, éclairée, stupide, bruyante, muette, léthargique, agissante, vivante et morte.
Side 630 - ... et forment, comme dans la putréfaction, des corps organisés; c'est là l'origine des ténias, des ascarides, des douves et de tous les autres vers qui naissent dans le foie, dans l'estomac, les intestins et jusque dans le sinus des veines de plusieurs animaux ; c'est aussi l'origine de tous les vers qui leur percent la peau...