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graphe, de vieux langage. de néologie, etc. PanLexique; septième édition, revue, corrigée et augmentée, etc. Paris, Verdière, 1829; in-4, relié en parchemin racine.

224. NOEL (Fr.). Dictionarium latino-gallicum. Dictionnaire latin-français, composé sur le plan de l'ouvrage intitulé: Magnum totius latinitatis lexicon de Facciolati, 5e édition. Paris, Le Normant, 1810; in-8, parch. rac.

Wang. 225. CHENU (J.). Dictionnaire français, rédigé d'après l'orthographe de l'Académie, sous les auspices de M. E. de Jouy, membre de l'Institut (Académie française). Paris, 1833; in-18, vél.

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226. DU-TRUC (Louis). Le Génie de la langue françoise. Strasbourg, 1668; pet. in-12, parch.

RARE (type hollandais). Ce petit livre développe un excellent système pour apprendre la langue française dans son esprit, dans sa synthèse. Il contient aussi une revue critique des littérateurs de l'époque.

227. MANUCE le jeune. Eleganze della lingua toscana e latina. Venetia, 1559; pet. in-8, rel. en maroq. rouge, fil. tr. dor. (Boyet.)

Bel exemplaire en reliure ancienne. « Aldo Manuzio avait, dit M. A. F. Didot, dix ans lorsqu'il fit paraître cet ouvrage, en 1556; » c'est donc un exemplaire de la seconde édition que nous possédons; il est curieux, non pas seulement parce que c'est l'œuvre première d'un enfant devenu illustre, mais aussi par le choix des morceaux qu'il renferme et la beauté de son exécution. Aldo Manuzio le jeune, né à Venise le 13 février 1547, mourut à Rome le 28 octobre 1597.

228. WARRAND (S.). English extracts from the best classical authors, etc. Paris, Baudry, 1829; in-8, br.

229. TIBBINS (J.). Dictionnaire français-anglais et anglais-français, contenant tous les mots généralement adoptés dans les deux langues, rédigé d'après les meilleures autorités. Paris, Baudry, 1834; in-32,

mar. v.

230. SIRET. Éléments de la langue anglaise, ou Méthode pratique pour apprendre facilement cette langue. Nouvelle édition considérablement aug

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mentée par M. Poppleton; revue, corrigée et an-
notée par Alex. Boniface. Paris, Baudry, 1835;

in-8, cart.

231. COBBET (William). Le Maître d'anglais, ou grammaire raisonnée de la langue anglaise, à l'usage des Français, suivie des éléments de la conversation anglaise, ou Dialogues familiers en français et en anglais, par J. Perrin, et d'un choix des idiotismes de la langue anglaise, par Chambaud; nouvelle édition, augmentée de notes explicatives par le professeur Davies, de Londres; revue et corrigée par M. Fain. Paris, Boiste fils aîné, 1827; in-12, br.

232. BONIFACE (A.). Dictionnaire français-anglais et anglais-français, rédigé d'après un nouveau plan, pour le français, sur le Dictionnaire de l'Académie, et sur ceux de Gattel, de Boiste, de Wailly, de Laveaux; pour l'anglais, sur les Dictionnaires de Boyer, de Johnson, de Walker, de Lévisac, et principalement sur celui de Chambaud et des Carrières, etc., etc.; sixième édition, considérablement augmentée. Paris, Belin-Mandar, et chez Baudry, 1835; 2 vol. in-8, br.

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233. BLAIR (H.). Leçons de rhétorique et de belles-2-7 lettres, traduites en français par M. J.-P. Quénot; 3e édit. Paris, Hachette, 1845; 2 vol. gr. in-18, br. 234. MONTCALM. Oraison funèbre de Florète de Sar-4-50 ༨ ༨༠ rat, épouse de J. de Montcalm, prononcée par Cl. Baduel, trad. française par Ch. Rozel. Lyon, Et. Dolet, 1542; br. in-8.

Réimpression publiée par le marquis de Montcalm, tirée à 50 exemplaires et non mise dans le commerce (texte latin en regard). Cet exemplaire porte la signature autographe du marquis de Montcalm au bas de la Notice bibliographique. Claude BADUEL, qui prononça cette oraison, fut un des plus éloquents organes de la religion réformée. Il était né à Nîmes, vers 1495, et mourut à Genève en 1561. Il se distingua dans l'Université de Paris, et créa le collége des Arts, à Nîmes. Il dut émigrer devant les poursuites dirigées contre les calvinistes. Il professait les mathématiques et la philosophie. Ses écrits

sont rares.

On sait que Dolet, qui le premier imprima cette oraison, fut brûlé vif sur la place Maubert de Paris, en 1546.

II. POÉSIE GRECQUE ET LATINE

DU MOYEN AGE ET MODERNE.

Rt. 235. FEITH (Everard). Antiquitates Homericæ, lib. 1v. Amstelodami, apud Salomonem Schouten, edit. accuratior, 1726; in-12, parch.

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Exemplaire bien conservé de l'édition la plus estimée. La première fut publiée par les soins de Henri Brumann, petit-neveu de Feith (Leyde, 1677, in-12). Celle de Salomon Schouten est bien supérieure comme texte et comme correction. Cet ouvrage renferme des choses curieuses sur la religion, les lois, les mœurs, etc., des Grecs des âges héroïques. Chaque article est appuyé par les passages des auteurs anciens qui s'y rapportent. L'abbé de Longuerue disait «qu'il aimait mieux les Antiquitates Homerica qu'Homère lui-même !.... » C'est certainement le complément indispensable de l'Iliade et de l'Odyssée.

Everard Feith (en latin Feithius) naquit à Elburg (Gueldre) en 1597. Il était d'une famille importante de sa patrie. Lui-même, fuyant la domination espagnole, vint en France professer le grec. Il se lia avec Isaac Casaubon, Jacques-Auguste de Thou, Pierre du Puy, etc. Sa fin fut des plus étranges. Étant à La Rochelle, il se promenait accompagné d'un valet, lorsqu'il fut prié d'entrer chez un bourgeois de cette ville. Il se rendit à cette invitation, et l'on n'a jamais su depuis ce jour ce qu'il est devenu. Toutes les recherches des magistrats demeurèrent inutiles. Feith était encore très-jeune lorsqu'il disparut si singulièrement. On trouva dans son cabinet quantité d'ouvrages inachevés. Les Antiquitates Homericæ seules ont pu être publiées.

2236. HOMERI Opera græce et latine, ad optimas editiones expressa. Basilea, apud Eman. Thurneysen, 1779; 2 vol. in-8, v. jaspé.

2237. HOMERI Ilias et Odyssea. Londini, G. Pickering, 1831; 2 vol. in-48, cart.

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et 238. ANACREONTIS Carmina. Accedunt selecta quædam e lyricorum reliquiis. E recensione et cum notis Rich. Fr. Phil. Brunckii, edidit God. Henr. Schaefer. Lipsia, Carolus Tautchnitzius, 1811; in-16.

,5 5- 239. CORSINI (Bartolomeo). Anacreonte trad. in verso toscano. Parigi, 1672; in-12, cart.

Cette édition est la première, et fut publiée par les soins de Régnier des Marais. Corsini, dont Tiraboschi (Stor. de lett. ital., t. VIII) fait un grand éloge et qu'il regarde comme un des meilleurs poëtes dans le genre tassique, était né à Barberino près Florence. Il est sorti de son genre héroï-comique en traduisant Anacréon, mais le poëte de Téos n'a pas eu de meilleur interprète en Italie. Corsini n'a pas amoindri son original, et, en reproduisant ses chants

où respirent l'amour et l'ivresse, il a su être gracieux sans s'écarter de la loi sévère du beau. Corsini mourut en 1675.

240. PINDARE. Les Odes Pythiques, traduites avec

des remarques, par M. Chabanon. Paris, Lacombe, 1772; in-8.

241. Επικτήτου Εγχειρίδιον, ex editione Joannis 92019 . Upton accurate expressum. Glasguæ, excudebant Robertus et Andreas Foulis, 1751; in-48, br.

242. Choix de poésies traduites du grec, du latin et 28de l'italien, contenant la Pancharis de Bonnefons, les Baisers de Jean Second..... par E. T. S. D. T. (Etienne Simon de Troyes). Londres (Cazin), 1786; 2 vol. in-18, fig. veau fauve, fil. tr. dor. (Bauzonnet.)

Très-joli exemplaire, relié sur brochure d'un charmant recueil. 243. Lucretius de rerum natura libri sex. Londini, in ædibus Richardi Taylor, 1824; in-4, mar. r. fil. tr. dor.

Belle reliure anglaise et belle impression.

244. Virgile. P. Virgilii Maronis opera, interpretatione et notis illustravit Carolus Ruæus, Soc. Jesu, ad usum Delphini. Parisiis, 1722; in-4, avec front. rel. v. marbr.

Édition très-estimée, elle avait été revue et augmentée par l'auteur : l'index si complet qui se trouve à la fin, est l'œuvre de l'abbé Lezeau. Le front. et les en-têtes sont bien gravés par L. Cossin. Le P. Charles de Larue était né en 1643 à Paris, où il mourut le 27 mai 1725, Louis XIV l'estimait beaucoup; il fut confesseur de la Dauphine et du duc de Berry. Moreri, qui pourtant n'aimait pas la Compagnie de Jésus, dit de lui: Il avait la conversation belle, riche, féconde, et, ayant du goût pour tous les arts, il pouvoit parler de tout à propos.

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245. VIRGILII MARONIS (P.) Opera. Nic. Heins. Dan. Mang. Fil. e membranis compluribus iisque antiquissimis recensuit. Amstelodami, apud Henricum Du Sauzel, 1724; pet. in-12, bas. viol.

246. VIRGILIUS MARO (Publius). Londini, typis 18 C. Corrall; impensis Gul. Pickering, 1821; in-48, portr. cart. en toile, non rogné.

Ce n'est qu'avec beaucoup de difficulté que l'on parvient à se procurer ce petit volume, que depuis longtemps l'éditeur anglais ne peut livrer aux ache

teurs.

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247. VIRGILE (OEuvres de), traduction nouvelle, Bucoliques et Géorgiques, par M. Charpentier. Paris, C. L. F. Panckoucke, 1839; in-8, br.

Exemplaire UNIQUe sur papier bleu de cette partie de Virgile, que M. Charpentier à seule traduite.

248. VIRGILII MARONIS (Publii) Carmina omnia perpetuo commentario ad modum Joannis Bond explicuit Fr. Dübner. Parisiis, ex typographia Firminorum Didot, 1858; 1 vol. in-16, avec photographies, mar. vert, doublé de moire, tr. dor.

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Exemplaire offert par M. Ambroise Firmin Didot à M. Chenu.

nang. 249. VIRGILII MARONIS (Publii) Carmina omnia perpetuo commentario ad modum Joannis Bond explicuit Fr. Dübner. Parisüs, ex typographia Firminorum Didot, 1858; 1 vol. in-16, avec vignettes, mar. brun, fil. dos orné, tr. dor. (Duru.)

On a ajouté à cet exemplaire la carte de la Navigation d'Énée que les éditeurs n'ont pas fait graver.

250. OEuvres de Virgile, trad. par Réné Binet. Paris, Le Normant, 1832; 4 vol. in-12, d.-rel v. viol. (Niedrée.)

46251. VIRGILE. Les Géorgiques. S. l. n. d.; in-12, mar. vert, fil. tr. dor. (Anc. rel.)

Dans le même volume: Jacobi Vanierii, prædium rusticum, Tolosa, 1730. - Renati Rapini poemata. S. l. n. d. Volume factice, relié par les soins d'un amateur qui y a ajouté des vignettes.

5. 252. VIRGILLE virai en borguignon, livres I à III. Dijon, Ant. de Fay, 1718-1720; in-12, demi-mar. violet. (Simier.)

Cet ouvrage, dont on connaît la rareté, s'arrête à la page 24 du livre III, l'impression n'en ayant pas été poussée plus loin. On a joint à cet exemplaire un fragment du livre IV, contenant les imprécations de Didon, lorsque Énée lui déclare qu'il doit quitter Carthage.

3 253. Horatii poemata. Parisiis, apud Franciscum Gryphium, 1545; in-16, vélin blanc.

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Édition rare et curieuse, peu connue et bien imprimée.

254. Horatius (Q. Flaccus). Opera, cum commentario Lævini Torrentii, item Petri Nannii in Artem poëticam. Antverpiæ, ex officina Plantiniana,

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