Oeuvres complètes: avec notes et variantesRoux-Duort, 1824 - 366 sider |
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Side ii
... goût , à qui la littérature ancienne est familière , et qui récemment s'est fait con- naître par un travail plus important . Dans la Notice sur la vie de Bertin , nous n'avons presque rien ajouté au très - petit nombre de faits déjà ...
... goût , à qui la littérature ancienne est familière , et qui récemment s'est fait con- naître par un travail plus important . Dans la Notice sur la vie de Bertin , nous n'avons presque rien ajouté au très - petit nombre de faits déjà ...
Side x
... goût du public soit bien fort , puisqu'il a pu résister à certaines éditions complètes dont l'effet semblait être d ... goûts Resserra chaque jour une amitié si chère . Ce passage nous instruit d'une particularité , dont il y X NOTICE.
... goût du public soit bien fort , puisqu'il a pu résister à certaines éditions complètes dont l'effet semblait être d ... goûts Resserra chaque jour une amitié si chère . Ce passage nous instruit d'une particularité , dont il y X NOTICE.
Side 38
... ... 2 Nous avons préféré cette leçon de l'édition de 1780 , à « marquetant " ses appas de l'édition de 1785 , et suivantes . Ce mot marquetant nous a paru de mauvais goût . Aujourd'hui , cher amant , je te tiens dans mes 38 LES AMOURS .
... ... 2 Nous avons préféré cette leçon de l'édition de 1780 , à « marquetant " ses appas de l'édition de 1785 , et suivantes . Ce mot marquetant nous a paru de mauvais goût . Aujourd'hui , cher amant , je te tiens dans mes 38 LES AMOURS .
Side 94
... goût délicat éternel monument ! C'est le même mouvement que dans les beaux vers de La Fontaine sur la solitude : Oh ! qui m'arrêtera sous vos sombres asiles ? 2 Édition de 1780 : au côté . Cette Hypsithille , ou Ipsithille , était une ...
... goût délicat éternel monument ! C'est le même mouvement que dans les beaux vers de La Fontaine sur la solitude : Oh ! qui m'arrêtera sous vos sombres asiles ? 2 Édition de 1780 : au côté . Cette Hypsithille , ou Ipsithille , était une ...
Side 107
... goût délicat éternel monument . Il se souvenait des vers de Racine dans Esther : Monumens éternels d'amour et de vengeance ; ... De toute autre valeur éternels monumens . L'expression est irréprochable ; seulement on peut trouver qu ...
... goût délicat éternel monument . Il se souvenait des vers de Racine dans Esther : Monumens éternels d'amour et de vengeance ; ... De toute autre valeur éternels monumens . L'expression est irréprochable ; seulement on peut trouver qu ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
aimable aime alarmes Almanach amans amant âme Amor Amours assez baiser baisers beauté beaux jours belle bois bords bras bruit Catilie cent chante charmes château de Choisy cher cheveux ciel cieux cœur comte comte d'Artois côtes d'Auxerre couronne Cythère d'Eucharis délicieux Delille dieu dieux douce doux Édition de 1780 ÉLÉGIE Eucharis Feuillancour fleurs flots fortuné front gloire goût hélas hémistiche heureux HORACE Ibid j'ai J'irai jaloux jardins jeune jeux jolie l'Almanach des Muses l'Amour L'éditeur de 1823 l'édition de 1823 l'élégie l'onde larmes leçon lieux loin long-temps Madame main maîtresse mihi MONSIEUR Montereau murmure myrte nuit ombrages OVIDE Paphos Parny PETIT TRIANON peuple peut-être pieds plaire plaisir plaisirs pleurs poëte presse PROPERCE quæ Sæpe sais semble seul soir soleil solitaire superbe tendre tendresse Téthys Thétis TIBULLE triste Tunc Vénus Virgile Voltaire voluptés Voyage de Bourgogne Voyez plus haut yeux Zéphyrs
Populære passager
Side 74 - C'est là qu'un soir j'osai prendre sa main Et la baiser d'un air timide et sage : C'est là qu'un soir j'osai bien davantage : Rapidement je fis battre son sein, Et la rougeur colora son visage. C'est là qu'un soir je la surpris au bain. Je vois plus loin la grotte fortunée Où, dans mes bras, soumise, abandonnée^ Les nœuds défaits et les cheveux épars, De son vainqueur évitant les regards, Mon Eucharis, heureuse et confondue, Pleura longtemps sa liberté perdue. Le lendemain, de ses doigts...
Side 92 - Si vous voulez que je l'oublie, 0 mes amis, partons; ôtez-moi de ses yeux; Pour de lointains climats abandonnons ces lieux; Courons interroger les champs de l'Italie, Et lui redemander ses héros et ses dieux. Fuyons. Adieu, remparts, superbe promenade, Dont les ormes touffus environnent Paris ; Adieu, bronze adoré du plus grand des Henris; Adieu, Louvre immortel, pompeuse colonnade; . Adieu surtout, adieu, trop ingrate Eucharis! Je le verrai, ce beau ciel de Provence, Ces vallons odorants tout...
Side 165 - Dans les bois, dans les airs, sur le bord du rivage, Les oiseaux, deux à deux, se baisent devant moi : Seul ici, je languis dans un triste veuvage. Faut-il sans toi fouler cette mousse sauvage? Dans ces détours secrets faut-il errer sans toi?
Side 171 - Et cultivant l'amour, la nature et les arts. La fortune a détruit ma plus chère espérance. A mes dieux protecteurs il me faut recourir: Je n'ai plus, désormais étranger dans la France, De retraite où chanter, ni d'asile où mourir.
Side 247 - Reine des fruits , a les vives couleurs , Le doux parfum de la reine des fleurs. Mais comment peindre ou compter tes richesses. Ces fruits, du Gange orgueilleuses largesses, Qui , sans honneur étonnés de vieillir. Cèdent aux mains qui daignent les cueillir ? Ce luxe heureux est ton moindre partage.
Side 29 - II faut mourir, lorsqu'au milieu de nous Eucharis , vers le soir, nouvelle Terpsichore , Danse , ou , prenant sa harpe entre ses beaux genoux, Mêle à ce doux concert sa voix plus douce encore. Que de légèreté dans ses doigts délicats ! Tout l'instrument frémit sous ses deux mains errantes ; Et le voile incertain des cordes transparentes, Même en les dérobant , embellit ses appas. Tel brille un astre pur dans le mobile...
Side iv - Elevé dans l'orgueil du luxe asiatique, La pourpre, le satin, ces cotons précieux Que lave aux bords du Gange un peuple industrieux, Cet émail si brillant que la Chine colore, Ces tapis dont la Perse est plus jalouse encore, Sous mes pieds étendus, insultés dans mes jeux, De leur richesse à peine avaient frappé mes yeux. Je croissais, jeune roi de ces rives Fécondes; Le roseau savoureux, fragile amant des ondes, Le manguier parfumé, le dattier nourrissant, L'arbre heureux où mûrit le café...
Side 242 - Aux doctes Sœurs , nourrisson réservé, Sous d'autres cieux cherchant un autre monde. J'ai vu tes bords s'enfuir au loin dans l'onde! Que de regrets ont suivi mes adieux! Combien de pleurs coulèrent de mes yeux! Que j'aime encore, après quinze ans d'absence. Ce Gol, témoin des jeux de mon enfance!
Side 347 - Il faudra donc bientôt quitter ces antres verts, Ces prés, ces bois touffus, ma tendre et douce amie !... Qu'elle remplisse au moins le reste de ma vie ! Pinde, adieu pour toujours ! Voici mes derniers vers.
Side 123 - En voilà trente, en voilà cent en sus; Est-ce assez ? - Non. - Je t'en donne encor mille. Es-tu content? - Las! je brûle encor plus! - Et combien donc, ingrat, pour apaiser ta flamme, Te faut-il aujourd'hui de baisers amoureux? - Autant, répondis-je, ô mon âme! Que septembre mûrit sur les coteaux pierreux De...