Album poétique de la jeunesse, éd. par A. Mandrou1866 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 26
Side 32
... malheur , consacre l'hyménée , Bénit et les moissons et les fruits de l'année , Enseigne la vertu , reçoit l'homme au berceau , Le conduit à la vie et le suit au tombeau . Par ses sages conseils , sa bonté , sa prudence , Il est pour le ...
... malheur , consacre l'hyménée , Bénit et les moissons et les fruits de l'année , Enseigne la vertu , reçoit l'homme au berceau , Le conduit à la vie et le suit au tombeau . Par ses sages conseils , sa bonté , sa prudence , Il est pour le ...
Side 33
... malheur a touché la maison . Adieu les belles fleurs au temps jadis écloses ! Adieu les papillons de soie et de velours ! L'herbe haute envahit les jardins et les cours , Et , voilant le soleil , elle étouffe les roses . Au dehors tout ...
... malheur a touché la maison . Adieu les belles fleurs au temps jadis écloses ! Adieu les papillons de soie et de velours ! L'herbe haute envahit les jardins et les cours , Et , voilant le soleil , elle étouffe les roses . Au dehors tout ...
Side 35
... malheur est son unique affaire ; Il croit n'avoir rien fait , tant qu'il lui reste à faire ; Aussi comme on bénit la trace de ses pas ! Au milieu de la nuit le roi veillait encore . „ Reposez - vous enfin , seigneur , il en est temps ...
... malheur est son unique affaire ; Il croit n'avoir rien fait , tant qu'il lui reste à faire ; Aussi comme on bénit la trace de ses pas ! Au milieu de la nuit le roi veillait encore . „ Reposez - vous enfin , seigneur , il en est temps ...
Side 44
... malheur n'a point d'amis . 99 La petite mendiante ; par Boucher de Perthes . C'est la petite mendiante Qui vous demande un peu de pain ; Donnez à la pauvre innocente , Donnez , donnez , car elle a faim ! Ne rejetez pas ma prière , 1 ...
... malheur n'a point d'amis . 99 La petite mendiante ; par Boucher de Perthes . C'est la petite mendiante Qui vous demande un peu de pain ; Donnez à la pauvre innocente , Donnez , donnez , car elle a faim ! Ne rejetez pas ma prière , 1 ...
Side 48
... malheur . La voilà prise . „ Oh ! l'étourdie ! " S'écrie alors un papillon léger ; " On ne m'y prendrait pas ! Autour de la bougie J'aime bien mieux courir et voltiger . " Il voltige à ses mots . Bientôt la flamme avide Touche son aile ...
... malheur . La voilà prise . „ Oh ! l'étourdie ! " S'écrie alors un papillon léger ; " On ne m'y prendrait pas ! Autour de la bougie J'aime bien mieux courir et voltiger . " Il voltige à ses mots . Bientôt la flamme avide Touche son aile ...
Almindelige termer og sætninger
Adieu Album Alfred de Vigny Amable Tastu âme ange beau berceau Bergeronnette bois bonheur bord Boucher de Perthes bras brillant bruit chants charmes chat chaumière chêne cher chien ciel cieux Cinna cœur Dieu dis-moi disait dit-il douce douleur doux églantiers Emile de Girardin encens Fable par Florian faim Fanfan fauvette fille fils fleurs flots froid front genoux gloire golfe de Baya grillon Hélas heureux hirondelle Hugo J. B. Rousseau j'ai J'ai faim J'aime jeune jour joyeux l'aurore l'enfant l'onde laisse Lamartine larmes loin main malheur Mandrou matin mère Millevoye monde mort mourir nuage nuit œil oiseau pain pâle parfum passe pauvre père Pérette Petit enfant peuple pieds pitié pleurs prière qu'un regard rêve rien Seigneur seul sœur soir sois soleil sombre sommeil sort souffrir souviens-tu terre tombe tombeau tout-à-coup tremble trépas trésor triste vallon vent veux Victor Hugo Viens voilà vois voix voltiger yeux zéphyr
Populære passager
Side 177 - La Cigale, ayant chanté Tout l'Été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue. Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la Fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu'à la saison nouvelle. Je vous paierai, lui dit-elle, Avant l'Oût, foi d'animal, Intérêt et principal.
Side 227 - Mais elle était du monde, où les plus belles choses Ont le pire destin ; Et rose elle a vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin.
Side 136 - En ce temple où tu fais ta demeure sacrée, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d'où vient que mon cœur frémit d'un saint effroi ? Est-ce l'esprit divin qui s'empare de moi ? C'est lui-même ; il m'échauffe ; il parle ; mes yeux s'ouvrent, Et les siècles obscurs devant moi se découvrent.
Side 226 - Et j'ai dit dans mon cœur : Que vouloir à présent? Pour dormir sur un sein mon front est trop pesant, Ma main laisse l'effroi sur la main qu'elle touche, L'orage est dans ma voix, l'éclair est sur ma bouche; Aussi, loin de m'aimer, voilà qu'ils tremblent tous, Et, quand j'ouvre les bras, on tombe à mes genoux. O Seigneur! j'ai vécu puissant et solitaire, Laissez-moi m'endormir du sommeil de la terre...
Side 269 - L'onde entre les roseaux, Si l'aube tout à coup là-bas luit comme un phare, Sa clarté dans les champs éveille une fanfare De cloches et d'oiseaux. Enfant, vous êtes l'aube et mon âme est la plaine Qui des plus douces fleurs embaume son haleine Quand vous la respirez; Mon âme est la forêt dont les sombres ramures S'emplissent pour vous seul de suaves murmures Et de rayons dorés.
Side 77 - C'est que l'amour, la tombe, et la gloire, et la vie, L'onde qui fuit, par l'onde incessamment suivie, Tout souffle, tout rayon, ou propice ou fatal, Fait reluire et vibrer mon âme de cristal, Mon âme aux mille voix, que le Dieu que j'adore Mit au centre de tout comme un écho sonore ! D'ailleurs j'ai purement passé les jours mauvais, Et je sais d'où je viens, si j'ignore où je vais.
Side 243 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Side 136 - Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé? Quel est dans le lieu saint ce pontife égorgé? Pleure, Jérusalem, pleure, cité perfide, Des prophètes divins malheureuse homicide. De son amour pour toi ton Dieu s'est dépouillé. Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez- vous ces enfants et ces femmes?
Side 114 - Mais lorsque revenant de mon trouble funeste, J'admirais sa douceur, son air noble et modeste, J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier.
Side 76 - Alors dans Besançon, vieille ville espagnole, Jeté comme la graine au gré de l'air qui vole, Naquit d'un sang breton et lorrain à la fois Un enfant sans couleur, sans regard et sans voix...