Chansons, Bind 1Ador, Libraire-Éditeur, 1833 - 487 sider |
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Side 3
... ai puisés . LE SENATEUR . ( 1813. ) AIR : J'ons un curé patriote . Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire , Un ami bien précieux . Le jour où j'obtins sa foi , Un sénateur vint D. 3 G.
... ai puisés . LE SENATEUR . ( 1813. ) AIR : J'ons un curé patriote . Mon épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux ! Je lui dois , l'on peut m'en croire , Un ami bien précieux . Le jour où j'obtins sa foi , Un sénateur vint D. 3 G.
Side 21
... yeux si doux , Sous triple porte à deux verroux . Par la fenêtre il fait tout pour qu'on passe . Que vous êtes bón , etc. Certain soir , monsieur célébra Une déesse d'Opéra : Pour prix d'un grain d'encens profane , Vite au régime on le ...
... yeux si doux , Sous triple porte à deux verroux . Par la fenêtre il fait tout pour qu'on passe . Que vous êtes bón , etc. Certain soir , monsieur célébra Une déesse d'Opéra : Pour prix d'un grain d'encens profane , Vite au régime on le ...
Side 22
... dites - vous ; Mais par la fenêtre ouverte , A Colin , toujours alerte , Ne faites pas les yeux doux . Vous vous plaignez que je gronde ! Hélas ! je fus jeune et blonde : Je sais combien dans ce monde On peut faire de D. 22 +.
... dites - vous ; Mais par la fenêtre ouverte , A Colin , toujours alerte , Ne faites pas les yeux doux . Vous vous plaignez que je gronde ! Hélas ! je fus jeune et blonde : Je sais combien dans ce monde On peut faire de D. 22 +.
Side 45
... yeux la belle Chante et danse à ses chansons , L'enfant , caché derrière elle , Mêle au vin d'affreux poisons . Noris prend la tasse pleine , Y goûte , et vient me l'offrir ; Ah ! dis - je , la ruse est vaine : Je sais qu'on en peut ...
... yeux la belle Chante et danse à ses chansons , L'enfant , caché derrière elle , Mêle au vin d'affreux poisons . Noris prend la tasse pleine , Y goûte , et vient me l'offrir ; Ah ! dis - je , la ruse est vaine : Je sais qu'on en peut ...
Side 64
... yeux l'hypocrisie Les arrose de ses pleurs ; Je chante au sort qui m'entraîne Sur les traces du passé : C'est le jour des morts , etc. Méchans , redoutez les diables ; Mais qu'il soit un paradis Pour les filles charitables , Pour les ...
... yeux l'hypocrisie Les arrose de ses pleurs ; Je chante au sort qui m'entraîne Sur les traces du passé : C'est le jour des morts , etc. Méchans , redoutez les diables ; Mais qu'il soit un paradis Pour les filles charitables , Pour les ...
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Adieu amis amours Athène Bacchus beau jour bel âge belle Bénis Biribi boire bonheur Brav brille buvons chansons chante chapeau charme cher ciel cieux cœur coquette COUPLETS couronne crains crie D'où te vient diable Dieu dieux doux écuelle d'argent enfans époux femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gens gloire Gloria tibi gloux grace GRENADIER gueux hélas Heureux villageois J'ai j'aime j'en jolie joyeux l'amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette lith m'en mam'selle maman Margot Messieurs Mistigris Momus mort muse Myrmidons Nabuchodonosor oiseaux p'tit paix Pape est gris passé patrie pauvre peuple plaisir plaisirs pleurs printemps Psara qu'un refrains rien rire Roger Bontemps rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE seul soldats souris Sylphide tendre tintin tontaine tonton treize à table Trinquons Vaudeville veux VIEILLARD vieille Viens vient cette écuelle vient l'Amour vieux vlan voilà vois voix Voltaire yeux
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Side 75 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 203 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 327 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 329 - J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 286 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 383 - Combien d'imperceptibles êtres ! De petits jésuites bilieux ! De milliers d'autres petits prêtres Qui portent de petits bons dieux ! Béni par eux, tout dégénère; Par eux la plus vieille des cours N'est plus qu'un petit séminaire; Mais les barbons règnent toujours.
Side 286 - L'une de vous peut-être est née Au toit où j'ai reçu le jour ; Là, d'une mère infortunée Vous avez dû plaindre l'amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : De son amour ne me parlez-vous pas ? Ma sœur est-elle mariée...
Side 325 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 151 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?