Chansons, Bind 1Ador, Libraire-Éditeur, 1833 - 487 sider |
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Side 46
... patrie : Qu'ici je rie Du sort inconstant . Pour moi tout change : Bonheur étrange ! Je bois et mange Sans un sou complant . Mon appétit s'ouvre , Et mon œil découvre Les portes d'un Louvre En tourte arrondi ; J'y vois de gros gardes ...
... patrie : Qu'ici je rie Du sort inconstant . Pour moi tout change : Bonheur étrange ! Je bois et mange Sans un sou complant . Mon appétit s'ouvre , Et mon œil découvre Les portes d'un Louvre En tourte arrondi ; J'y vois de gros gardes ...
Side 52
... patrie , De ses charmes étaient imbus ; Les bons mots ne sont qu'un abus . Pourtant , messieurs , permettez - nous d'en dire . Ah ! pour étouffer , etc. Français , dinons pour le dessert : L'Amour y vient , Philis le sert ; Le bouchon ...
... patrie , De ses charmes étaient imbus ; Les bons mots ne sont qu'un abus . Pourtant , messieurs , permettez - nous d'en dire . Ah ! pour étouffer , etc. Français , dinons pour le dessert : L'Amour y vient , Philis le sert ; Le bouchon ...
Side 57
... patrie , Où se fixent pour toujours Les plaisirs et l'industrie , Les beaux - arts et les amours , Aimons , Louis le permet , Tout ce qu'Henri quatre aimait . Mes amis , etc. BEAUCOUP D'AMOUR . Musique de M. B. Wilhem . Malgré la voix ...
... patrie , Où se fixent pour toujours Les plaisirs et l'industrie , Les beaux - arts et les amours , Aimons , Louis le permet , Tout ce qu'Henri quatre aimait . Mes amis , etc. BEAUCOUP D'AMOUR . Musique de M. B. Wilhem . Malgré la voix ...
Side 80
... patrie , Et d'où je crois me voir bannir , Entends les adieux de Marie , France , et garde son souvenir . Le vent souffle , on quitte la plage : Et , peu touché de mes sanglots , Dieu , pour me rendre à ton rivage , Dieu n'a point ...
... patrie , Et d'où je crois me voir bannir , Entends les adieux de Marie , France , et garde son souvenir . Le vent souffle , on quitte la plage : Et , peu touché de mes sanglots , Dieu , pour me rendre à ton rivage , Dieu n'a point ...
Side 110
... patrie Dompter cent peuples différens . Ce sont de terribles coquettes ! N'imite pas leurs vains projets . Lise , ne fais plus de conquètes , Pour le bonheur de tes sujets . Grace aux courtisans pleins de zèle , On approche des ...
... patrie Dompter cent peuples différens . Ce sont de terribles coquettes ! N'imite pas leurs vains projets . Lise , ne fais plus de conquètes , Pour le bonheur de tes sujets . Grace aux courtisans pleins de zèle , On approche des ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Adieu amis amours Athène Bacchus beau jour bel âge belle Bénis Biribi boire bonheur Brav brille buvons chansons chante chapeau charme cher ciel cieux cœur coquette COUPLETS couronne crains crie D'où te vient diable Dieu dieux doux écuelle d'argent enfans époux femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gens gloire Gloria tibi gloux grace GRENADIER gueux hélas Heureux villageois J'ai j'aime j'en jolie joyeux l'amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette lith m'en mam'selle maman Margot Messieurs Mistigris Momus mort muse Myrmidons Nabuchodonosor oiseaux p'tit paix Pape est gris passé patrie pauvre peuple plaisir plaisirs pleurs printemps Psara qu'un refrains rien rire Roger Bontemps rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE seul soldats souris Sylphide tendre tintin tontaine tonton treize à table Trinquons Vaudeville veux VIEILLARD vieille Viens vient cette écuelle vient l'Amour vieux vlan voilà vois voix Voltaire yeux
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Side 75 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 203 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 327 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 329 - J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 286 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 383 - Combien d'imperceptibles êtres ! De petits jésuites bilieux ! De milliers d'autres petits prêtres Qui portent de petits bons dieux ! Béni par eux, tout dégénère; Par eux la plus vieille des cours N'est plus qu'un petit séminaire; Mais les barbons règnent toujours.
Side 286 - L'une de vous peut-être est née Au toit où j'ai reçu le jour ; Là, d'une mère infortunée Vous avez dû plaindre l'amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : De son amour ne me parlez-vous pas ? Ma sœur est-elle mariée...
Side 325 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 151 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?