Chansons, Bind 1Ador, Libraire-Éditeur, 1833 - 487 sider |
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... J'ai poussé la raillerie Jusqu'à lui dire au dessert : On croit , j'en suis convaincu , Que vous me faites c .... Quel honneur ! etc. L'ACADEMIE ET LE CAVEAU . CHANSON DE RÉCEPTION AU CAVEAU MODERNE . AIR : Tout le long de la rivière ...
... J'ai poussé la raillerie Jusqu'à lui dire au dessert : On croit , j'en suis convaincu , Que vous me faites c .... Quel honneur ! etc. L'ACADEMIE ET LE CAVEAU . CHANSON DE RÉCEPTION AU CAVEAU MODERNE . AIR : Tout le long de la rivière ...
Side 14
... j'ai vu Rosette , Et mon cœur a subi ses lois . Que de caprices la coquette M'a fait essuyer en six mois ! Pour lui rendre enfin la pareille , J'appelle octobre à mon secours . Au printemps , etc. Je prends , quitte et reprends Adèle ...
... j'ai vu Rosette , Et mon cœur a subi ses lois . Que de caprices la coquette M'a fait essuyer en six mois ! Pour lui rendre enfin la pareille , J'appelle octobre à mon secours . Au printemps , etc. Je prends , quitte et reprends Adèle ...
Side 21
... j'ai fêté Huit danseuses de la Gaîté . Pour un miracle on veut que cela passe . Que vous êtes bon , etc. Mais quel convive assis là - bas N'ose rire et ne chante pas ? Chut ! me dit - on , c'est un vrai sage , Qui dans les cours a fait ...
... j'ai fêté Huit danseuses de la Gaîté . Pour un miracle on veut que cela passe . Que vous êtes bon , etc. Mais quel convive assis là - bas N'ose rire et ne chante pas ? Chut ! me dit - on , c'est un vrai sage , Qui dans les cours a fait ...
Side 24
... j'ai de ma belle Et les chiffres et la couleur . J'oubliais , etc. Dunois , La Trémouille , Saintrailles , O Français , quel jour enchanté ! Quand des lauriers de vingt batailles Je couronnerai la beauté ! Français , nous devrons à D ...
... j'ai de ma belle Et les chiffres et la couleur . J'oubliais , etc. Dunois , La Trémouille , Saintrailles , O Français , quel jour enchanté ! Quand des lauriers de vingt batailles Je couronnerai la beauté ! Français , nous devrons à D ...
Side 25
... J'ai le ton trop plaisant ; Mais cet air amusant Sied si bien à Camille ! Philosophe par goût , Et toujours et de tout Je ris , je ris , tant je suis bonne fille ! Pour le théâtre ayant quitté l'aiguille , A mon début , Craignant ...
... J'ai le ton trop plaisant ; Mais cet air amusant Sied si bien à Camille ! Philosophe par goût , Et toujours et de tout Je ris , je ris , tant je suis bonne fille ! Pour le théâtre ayant quitté l'aiguille , A mon début , Craignant ...
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Adieu amis amours Athène Bacchus beau jour bel âge belle Bénis Biribi boire bonheur Brav brille buvons chansons chante chapeau charme cher ciel cieux cœur coquette COUPLETS couronne crains crie D'où te vient diable Dieu dieux doux écuelle d'argent enfans époux femme fête fille fils fleurs gaîment gaîté gens gloire Gloria tibi gloux grace GRENADIER gueux hélas Heureux villageois J'ai j'aime j'en jolie joyeux l'amitié l'amour lauriers liberté Lise Lisette lith m'en mam'selle maman Margot Messieurs Mistigris Momus mort muse Myrmidons Nabuchodonosor oiseaux p'tit paix Pape est gris passé patrie pauvre peuple plaisir plaisirs pleurs printemps Psara qu'un refrains rien rire Roger Bontemps rois roses saint sainte alliance Sainte-Alliance SAINTE-PÉLAGIE seul soldats souris Sylphide tendre tintin tontaine tonton treize à table Trinquons Vaudeville veux VIEILLARD vieille Viens vient cette écuelle vient l'Amour vieux vlan voilà vois voix Voltaire yeux
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Side 75 - France, du milieu des alarmes, La noble fille des Stuarts, Comme en ce jour qui voit ses larmes, Vers toi tournera ses regards. Mais, Dieu ! le vaisseau trop rapide Déjà vogue sous d'autres cieux ; Et la nuit, dans son voile humide, Dérobe tes bords à mes yeux ! Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir ! Berceau de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir.
Side 203 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 327 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 329 - J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 286 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 383 - Combien d'imperceptibles êtres ! De petits jésuites bilieux ! De milliers d'autres petits prêtres Qui portent de petits bons dieux ! Béni par eux, tout dégénère; Par eux la plus vieille des cours N'est plus qu'un petit séminaire; Mais les barbons règnent toujours.
Side 286 - L'une de vous peut-être est née Au toit où j'ai reçu le jour ; Là, d'une mère infortunée Vous avez dû plaindre l'amour. Mourante, elle croit à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute, et puis elle pleure : De son amour ne me parlez-vous pas ? Ma sœur est-elle mariée...
Side 325 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 151 - Vous vieillirez, ô ma belle maîtresse ! Vous vieillirez, et je ne serai plus. Pour moi le temps semble , dans sa vitesse , Compter deux fois les jours que j'ai perdus. Survivez-moi ; mais que l'âge pénible Vous trouve encor fidèle à mes leçons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible, De votre ami répétez les chansons. Lorsque les yeux chercheront sous vos rides Les traits charmants qui m'auront inspiré, Des doux récits les jeunes gens avides Diront : Quel fut cet ami tant pleuré?