rations du recrutement dans plusieurs départements de l'ouest de la France, faisant partie de l'ancienne Bretagne. Il vit avec surprise des jeunes gens qu'il connaissait parfaitement pour savoir lire et écrire, répondre non, avec assurance, à la question qui leur fut faite par M. le préfet, au moment de satisfaire à la loi. Étonné de ce mensonge | il interrogea ces conscrits et obtint une réponse semblable à celle que quinze ans plus tard il devait entendre répéter en Afrique par des jeunes gens dont les parents ont été élevés dans des départements du nord, de l'est et du midi. Avis, pour l'avenir, aux membres des conseils de révision et aux statisticiens. CORRESPONDANCE. Montauban, le 18 décembre 1857. Monsieur le directeur, Dans le dernier numéro de la Correspondance, page 32, vous avez publié une lettre de Rivarol, que vous supposez écrite à l'abbé Delille. Permettez-moi de vous rappeler que Rivarol se brouilla avec l'abbé, qu'il prit fort souvent pour le but de ses plaisanteries, dès l'année 1782, époque à laquelle parurent les Lettres critiques sur le poëme des Jardins, suivies du Chou et du Navet. Il est peu probable que, malgré son impudence habituelle, il eût envoyé au pauvre Delille le Chou et le Navet, qui n'est qu'une satire, ou pour mieux dire, une gasconnade contre le poëme des Jardins. Ce ne fut qu'à Hambourg, si je ne me trompe, et en 1796 que Rivarol et l'abbé Delille, également fugitifs, firent la paix. Je ne pense donc pas que cette lettre ait pu être adressée à l'abbé Delille. Mais il y avait alors un assez bon nombre d'abbés pour qu'elle ait pu avoir, sans inconvénient, une autre destination. Monsieur le directeur, MICHEL NICOLAS. Je prends la liberté de vous adresser une observation au sujet du mot créquier, dont M. Wenzel vous propose (voy. 1857, p. 274) une interprétation qui ne me paraît pas exacte. En effet, dans le Ponthieu, là même où était situé (si je ne me trompe) le marquisat de Créqui, le mot créquier désigne une sorte de prunier d'espèce à demi sauvage dont le fruit se nomme crèque. Je pense qu'il n'y a pas d'autre interprétation à chercher. Agréez, etc. VINCENT, membre de l'Institut. M. Léopold Delisle a été élu membre de l'Académie des inscriptions par 25 voix contre 9 données à son concurrent, M. B. Hauréau. NOUVELLES LITTÉRAIRES DE LA GRANDE-BRETAGNE. Monsieur le Directeur, La littérature de fin d'année est ordinairement ici d'une élégance déplorable. Je dis déplorable, parce que je n'ai jamais compris que l'on pût trouver du plaisir à lire des ouvrages dorés sur tranche, imprimés sur peau de vélin, reliés avec extravagance, si magnifiques, en un mot, que le moindre attouchement suffit pour les déflorer. Foin de tout ce luxe! Donnez-moi, s'il vous plaît, un volume de prétentions plus modestes; je veux qu'il me charme au coin de mon feu, je le mettrai dans ma poche lorsque j'irai me promener, sans avoir à l'envelopper d'un æs triplex de papier de soie, de papier brouillard et de papier gris. Il résulte tout naturellement de ceci que, comme les publications de l'époque des étrennes servent uniquement à parer la table du salon ou du boudoir, les éditeurs et auteurs d'icelles ne cherchent qu'à produire des livres dont l'extérieur fait tout le mérite. Platitudes ornées d'arabesques et de culs-de-lampe! Galeries des belles ladies de l'Angleterre, encadrées dans de sottes histoires et reliées avec des fers spéciaux ! Ce ne sont que festons, ce ne sont qu'astragales! Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin... Et je me réfugie parmi les poëmes de Robert Burns (1) et les ouvrages de ce conteur extraordinaire, Edgar Allan Poe (2). Non pas que ces (1) Poems and Songs, by Robert Burns. Illustrated with numerous highly finished Engravings on Wood, from Birket Drawings by Cope, Horsley, Topham, Thomas, Foster, Harrison Weir, Drummond, Archer, Johnson, Edmonston, Rogers, and Macquoid. In-4. London, Bell and Daldy. (2) The Poetical Works of Edgar Allan Poe; with Original Memoir. Illustrated by F. R. Pickersgill, R. A., John Tenniel, Birket Foster, Felix Darley, Jasper Cropsey, P. Duggan, Percival Skelton, and A. Madot. In-8. London, Sampson Low. 1. hors lignes s'ensuivent : - Les Enchères du lundi 21 (chez Pultick et Simpson): Cicero, de Senectute et de Amicitiâ, traduction anglaise, imprimé par William Caxton vers 1481, in-folio, bel exemplaire relié en maroquin, 6,875 fr. Missale ad usum insignis ecclesiæ Sarum, in-fol. Paris, 1555, 420 fr. Euvres de Shakspeare, in-fol., 1632, 2o édition, avec des notes manuscrites. Six feuillets manquent, 320 fr.-Dives et Pauper, in-fol., 1496, Wynkyn de Worde, 900 fr. Liber regalis (sive ordo et officia coronationis regum et reginarum Angliæ et de exequiis regalibus), manuscrit sur vélin, du XVe siècle, 1,260 fr. Agréez, etc., deux volumes ne soient illustrés, emmaroquinés, livres rares et de manuscrits précieux. Les articles comme de vrais keepsakes; mais ici au moins tout est à l'avenant, texte et gravures, et les ressources de l'art ne pouvaient être mieux employées. Robert Burns est non-seulement le poëte national de l'Écosse, mais encore un de ceux qui ont exprimé avec l'accent le plus vrai et le mieux | senti le langage de la passion. Sous ce rapport, il est, ce me semble, de beaucoup supérieur à Thomas Moore, que les Irlandais aiment à lui comparer. L'auteur de Lallah-Rookh peignait l'amour tel qu'il le trouvait dans les salons du West-End, à la cour dissolue du régent; Burns s'inspirait de l'amour véritable, et ses élégies viennent du cœur. Thomas Moore était encore- et ses mémoires récemment publiés le prouvent de reste ce que l'on appelle ici un mangeur de crapauds (toad eater), c'est-à-dire un plat courtisan. Point de dignité chez lui, point de sentiment de ce qu'il valait. Pour se faire bien venir d'un lord, pour obtenir un regard ou une invitation, il se fût soumis aux plus grands sacrifices, j'allais dire à de honteuses bassesses; c'est ce dont Burns, au contraire, était incapable l'auteur de la fameuse chanson : A man's a man for a' that savait, comme de Béranger et La Bruyère, découvrir le fat sous les décorations, les rubans et les habits chamarrés. Harrow on the Hill, 26 décembre. GUSTAVE MASSON. BULLETIN DES VENTES. Dans un des derniers numéros du Courrier de Paris, M. de Saulcy, en faisant ressortir l'utilité des collections particulières, rappelait aux collectionneurs l'obligation morale qui leur est imposée par leur amour même pour les trésors qu'ils ont péniblement amassés, de ne pas laisser, après leur mort, leurs utiles dépouilles se disséminer entre les mains des infidèles. C'est pour nous associer à cette idée que nous nous empressons de faire connaître un acte de générosité qui enrichit la ville de Dijon d'environ six cents manuscrits, la plupart relatifs à l'histoire de Bourgogne, et de précieux objets d'art et d'archéologie. Mme veuve Baudot vient, après la mort de son mari, de faire don à la bibliothèque et au musée des principales richesses de son cabinet; elle n'a pas voulu enlever aux amateurs bourguignons ces archives soigneusement conservées depuis près d'un siècle, et elle a ainsi ouvert à chacun d'eux, en les donnant à tous, une source d'investigations d'autant plus fructueuses, que c'est une mine neuve à exploiter. Grâces lui en soient rendues au nom de la ville d'abord, ensuite au nom de tous les amis des lettres et des arts! A côté de tout ce qu'a donné Me Baudot, des manuscrits notamment, sur lesquels nous reviendrons, quand il nous sera permis d'en donner à nos lecteurs un aperçu analytique, existait une belle bibliothèque Ce mois-ci j'ai à vous indiquer une vente de qui a été livrée aux enchères et qu'ont disputée Doué d'un génie poétique tout à fait différent, Poe est encore un auteur avec lequel j'aime beaucoup à converser. Quelle puissance d'analyse! quelle finesse d'investigation psychologique! quelle patience pour rechercher, mettre en relief et traduire les mouvements et les phénomènes les plus secrets de la pensée! Ceux qui savent apprécier ces qualités rares ont certainement lu et relu, comme je l'ai fait moi-même, l'étonnant poëme intitulé: the Raven (le Corbeau); mais c'est en anglais qu'il faut l'étudier, afin de goûter tout à la fois le charme de la versification et la grandeur des idées. J'ajouterai, à propos des éditions spéciales dont je vous entretiens aujourd'hui, qu'elles sont de tout point excellentes, et qu'il est impossible de pousser plus loin l'élégance typographique. Les gravures qui accompagnent le texte portent la signature des meilleurs artistes. aux Dijonnais les libraires de Paris et de Lyon. Į château d'Anet, - le Temple; l'hôtel du grand Cette vente a produit plus de 12,000 francs. -cor - les archives de la Chambre ardente. - Enfin on a ajouté au volume une très-bonne table ana prieur de France, - cérémonie des fiançailles enParmi les livres qui ont y figuré, et sans parler tre Alphonse d'Este et Laure Martinozzi; des grandes collections historiques, comme le Re- respondance inédite du comte de Rebenac, ambascueil des ordonnances ( 255 fr.), des Historiens sadeur à Madrid;-productions littéraires de Marie de France, 1738-1814 (1,000 fr.), le P. Anselme Mancini, extraits du livre de voyage inédits de (250 fr.), l'Antiquité expliquée (250 fr.), les Jacques de Belbeuf, extraits de la gazette de Monuments de la monarchie françoise de Mont-Robinet, relatifs au duc de Nevers; — détails sur faucon (230 fr. ), dom Plancher, Histoire de Bour- | les derniers moments de la duchesse de Mazarin, gogne (150 fr.), nous citerons: l'Internelle consolation de 1537, avec l'Armeure de pacience, de la même année (34 fr.).— Seroux d'Agincourt, His-lytique qui permettra d'utiliser facilement les nomtoire de l'art (410 fr.).- Du Cerceau, Livre d'architecture, 1582 (50 fr.).- Bullet, Mémoires sur la langue celtique, 1754 (60 fr.). Histoire très récréative traictant des faits et gestes du noble et raillant chevalier Theseus de Coulongne, admi- | rablement conservé, 1534, in-fol. goth., fig. (79 fr.). Bouchard, les grandes Chroniques de Bretaigne, pet. in-fol. goth. (40 fr. ). Millin, Magasin encyclopédique, 1795-1818 (100 fr.). — Paillot, la Science des armoiries (126 fr.).—Duby, Pièces obsidionales et monnaies des barons, 1786 et 1790 (91 fr.).- Leblanc, Traité des monnaies (49 fr. ). C. M. -Dans le courant de janvier prochain, aura lieu, dans une des salles Silvestre, rue des Bons-Enfants, la vente de l'importante bibliothèque de feu M. Isambert, conseiller à la cour de cassation, composée de près de douze cents articles, avec une riche collection de médailles. Le catalogue qui est sous presse se distribuera chez A. Durand, rue des Grès, no 7, à Paris. Le jour de la vente sera postérieurement indiqué. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. Les Nièces de Mazarin, études de mœurs et de caractères au XVIIe siècle, par Amédée RENÉE. Troisième édition, enrichie de nouveaux documents inédits. - Paris. Didot, 1858, in-8. Il y a dix-huit mois que ce volume a paru, et il en est aujourd'hui à sa troisième édition.- L'annoncer c'est nous dispenser de tout éloge. Félicitons seulement l'auteur des notables additions qu'il a faites à son livre, dans l'appendice. En voici l'indication Documents nouveaux sur la naissance et la famille de Mazarin, hôtel de Vendôme, breux renseignements contenus dans l'ouvrage. Comme les Nièces se réimprimeront encore, nous n'en doutons pas, que l'auteur nous permette de lui dire que dans la correspondance de BussyRabutin, à l'année 1672, il trouvera quelques détails assez curieux sur la rentrée en France de la connétable Colonna, détails qui paraissent lui avoir échappé. La Tour Saint-Jacques la Boucherie, ou mémoire historique, archéologique et critique sur ce monument et sur sa restauration, par M. N. TROCHE, Paris, Julien, Lanier, etc., 1857, 84 p. in-12, 3 fr. M. Troche avait publié, en 1853, dans le Journal général de l'instruction publique, un travail sur la tour Saint-Jacques, travail qu'il a refondu entièrement dans la brochure que nous annonçons. C'est une monographie complète de ce célèbre monument, si heureusement restauréaujourd'hui. Si les renseignements que nous donne l'auteur sont curieux, son style laisse beaucoup à désirer. Une phrase prise au hasard, et que nous avons eu quelque peine à comprendre, permettra d'en juger « La tour de Saint-Jacques-la-Boucherie offre une ressemblance frappante dans son style architectural avec la belle église des XIII et XIVe siècles de Saint-Jacques de Dieppe, notre ville natale, tour (laquelle?) construite au XVe siècle, qui, aperçue des collines environnantes, produit, par sa projection sur le vaste horizon de la mer, un effet très-pittoresque; et vue du côté de cette mer, distingue de beaucoup plus loin encore et sert comme de phare aux navires qui se dirigent vers le port. L'auteur termine en émettant plusieurs vœux pour combler « l'inanité actuelle de la tour Saint-Jacques de cet obélisque gothique. 29 99 66 se Il voudrait 1° que l'on établît sur les faces de sa cun de ces volumes une notice détaillée et fort base « quatre fontaines à vasques qui seraient do- instructive. Ce sont pour la plupart des ouvrages minées par quatre statues des plus illustres pa- religieux qui ont fourni à l'auteur l'occasion de roissiens de cette ancienne église; » 2° qu'on trans- rapprochements curieux au sujet de l'ancienne formât en chapelles "les cénacles inférieurs de liturgie slave.-Il a rectifié en passant quelques erla tour; » 3° que pour remplacer les cloches qui reurs de nos catalogues, entre autres, relativement réjouissaient les âmes de nos aïeux »— comme en à une tragédie, Nabuchodonosor, que l'on a donné fait foi le fameux vers de Boileau on y mît comme composée par la princesse Sophie, sœur ❝ une horloge publique à quatre cadrans avec un de Pierre le Grand. C'est l'œuvre de Siméon Pograve et mélodieux carillon exécutant un air à lotski, instituteur de Théodore, frère de Pierre Ier. chaque heure du jour avec accompagnement, etc." On prétendait aussi que ce manuscrit était unique, « Car, assurément, nous dit-il, le carillon et les mais ce n'est qu'une copie récente et incomplète voix bruyantes des cloches, au milieu des pompes d'un ouvrage imprimé dans la Bibliothèque ande nos fêtes, augmenteraient puissamment l'allé-cienne de la Russie, publié par Novikof (mort en gresse populaire. " Nous allions oublier de dire que l'Académie des inscriptions avait accordé une mention honorable au premier travail de M. Troche. Elle ne manquera pas, nous l'espérons, d'accorder un prix à cette nouvelle édition. LUD. L. 1818). Les Manuscrits slaves de la Bibliothèque impériale de Paris, par le P. MARTINOF, de la compagnie de Jésus (avec un calque), Paris, Julien, PUBLICATIONS NOUVELLES. LIVRES FRANÇAIS. Lanier et C, 1858, 112 p. in-8, avec un calque, Armengaud. Les Galeries publiques de l'Europe. Rome. 1re, - 4 fr. Du temps de Montfaucon, il existait à la bibliothèque de Saint-Germain-des-Prés, en 1686, quarante-cinq manuscrits slaves, codices slavici, dont le savant bénédictin a donné la liste. On y remarquait, entre autres, une traduction des comédies d'Aristophane qui aurait probablement aujourd'hui un immense intérêt pour les études philologiques. Malheureusement ces précieux manuscrits qui devraient être aujourd'hui à la Bibliothèque impériale ont disparu. Ont-ils été détruits? Nous ne le croyons pas, et il serait fort possible qu'avec tant d'autres manuscrits ayant appartenu à la même abbaye, ils aient passé, on ne sait trop comment, dans la collection formée à l'époque de la révolution par un interprète attaché à l'ambassade russe, collection qui est actuellement à la Bibliothèque impériale de Saint-Pétersbourg. Quoi qu'il en soit de notre hypothèse, que nous voudrions voir se vérifier, notre grande bibliothèque possède encore aujourd'hui un certain nombre de manuscrits slaves, dont un seul (Abécédaire bulgare) remonte au XI ou au XII* siècle. Le P. Martinof nous donne sur cha 2e, 3 et 4 partie (ouvrage complet). Paris, Didot. In-4, 470 gravures. Arnauld. Lettres de la mère Agnès Arnauld, abbesse de Port- Bastard-d'Estang. Les Parlements de France. Essai histori- Bonnechose (De). Histoire d'Angleterre depuis les temps les Chabert. Mélanges de numismatique messine. Metz, imprimerie Combalot. Lettres à M. Guizot sur le libre examen et la pro- Cousin. Etudes sur Pascal. 5e édition, revue et augmentée. Darcel. Histoire d'une guerre d'érudition. M. Lenormand et la Demolombe. Traité des successions. T. II. Paris, L. Hachette et C. In-8. Tome XIV du Cours du Code Napoléon. Dumesnil. Histoire des plus célèbres amateurs français et de leurs relations avec les artistes. T. II et III. Paris, veuve J. Renouard. 2 vol. in-8. Tome II: Jean-Baptiste Colbert, surintendant des bâtiments du roi. 1625-1683. Tome III: J. B. Louis-Georges d'Agincourt, ThomasAignan Dufriches. 1715-1814. Fréville (De). Mémoire sur le commerce maritime de Rouen depuis les temps les plus reculés jusqu'à la fin du XVIe siècle. Rouen, le Brument; Paris, A. Durand. 2 vol. in-8. Garcin de Tassy. Discours à l'ouverture de son cours d'hindoustani à l'Ecole impériale et spéciale des langues orientales vivantes, près la Bibliothèque impériale, le 10 décembre 1857. Paris, Plon. In-8. Garnier (J.). Notice sur J. Pagès, marchand et historien d'A- Larochefoucauld-Liancourt. Satires de Perse et de Sulpicia, Monnier (F.). Mémoire sur un ouvrage inédit du chancelier Recueil de plaisants devis, récités par les supposts du seigneur de la Coquille. Lyon, imp. L. Perrin; Scheuring et Ce. In-8. 188 pages. Rouyer et Hucher. Histoire du jeton au moyen âge, 1o partie. Etudes sur la conquête de l'Afrique par les Arabes, de M. H. Fournel. 15, Ed. Thierry. Ma Biographie par Béranger, etc. 21, Sainte-Beuve. L'abbé de Marolles.- 24, Mémoire sur le commerce maritime de Rouen, par E. de Fréville. Journal des Débats. 6, D. L. Gilbert. Du Rôle de la famille dans l'éducation, de Prévost-Paradol. 8, Baudrillart. Bacon, sa vie, son temps, sa philosophie, etc., par Ch. de Rémusat. 11, Cuvillier-Fleury. Romans, contes et nouvelles. — 12, 18, Ad. Franck. Auguste Comte et le positivisme. — 13, PhilarèteChasles. De quelques ouvrages nouveaux et des signes du temps. 23, Prévost-Paradol. Histoire du gouvernement parlementaire en France, 1814-1848, par M. Duvergier de Hauranne. 25, L. Ratisbonne. La fin du monde par la science, par Eug. Huzar. 26, Cuvillier-Fleury. Béranger peint par Le Constitutionnel. 9, L. Enault. Les Tragiques grecs, par M. Patin. 10, 12, Ch. L. Livet. Loret. La Muse historique. -28, P. Merruau. Promenade à travers un dictionnaire géographique. - Le Siècle. 1er, Taxile Delord, Estienne Dolet, par M. Joseph Boulmier. 2, Francisque Ducros. La Normandie; son histoire politique et littéraire. 8, Ch. de Franchis. Scènes de la vie en Algérie. 10, 23, Eug. d'Auriac. Rienzi et Rome au XVe siècle. 18, Auguste Luchet. La Côte-d'Or à vol d'oiseau. 20, Alf. Michiels. Philippe Desportes. 21, 28, T. Delord. La Cour de Russie il y a cent ans, 1725-1783. — 25, Auguste Luchet. Anacréon français-grec, par P. P. Rable. Le Pays. 3, L. Enault. Les Trésors de l'art à Manchester. Le Moniteur universel. 1er, Ed. Thierry. Les plus belles églises du monde, de l'abbé J. J. Bourassé. - Dictionnaire général de biographie et d'histoire de Dezobry et Bachelet. - 4, Chaix d'Est-Ange fils. Recueil de l'Académie de législation de Toulouse, de 1852 à 1857.5, Ad. Frank. Rapport sur un ouvrage de M. Munk, intitulé: Mélanges de philosophie juive et arabe. -6, 9, Ars. Houssaye. Les Musées de province. 8, Ed. Thierry. Bibliothèque des mémoires relatifs à l'histoire de France pendant le xvIII et le XIXe siècle, éditée par F. Barrière. -Les Salons de Paris de Mme Ancelot. -L. L. Roche. PÉRIODIQUES. PÉRIODIQUES FRANÇAIS. Revue des Deux-Mondes. 15 décembre. P. de Molènes. L'Ecueil de Lovelace. - Henri Delaborde. Benvenuto Cellini, d'après de nouveaux documents.E. Jurien de la Gravière. Souvenirs d'un officier général de la marine. Villemain. Du génie anglais dans l'Inde. A. de Quatrefages. Tendances nouvelles de la zoologie. — C. Clarigny. Olivier Goldsmith, sa vie et ses écrits. - P. Scudo. Revue musicale. - A. Theuriet. La Ferme du Val Clavin (poésie). — E. Saisset. Revue philosophique, etc., etc. 1er janvier 1858. E. Jurien de la Gravière. Souvenirs d'un ami |