Œuvres de Denis Diderot, Bind 15Chez Desray ... et Deterville, 1798 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 71
Side 8
... yeux fermés , comme il doit arriver à un homme ébloui mais il est petit , chiffonné jo ignoble Idea ractère , plus mort que , vif . Ce brasdrbit qu'il tient étendu en l'air , est vraiment hors de la toile ; l'autre bra's ; ainsi que la ...
... yeux fermés , comme il doit arriver à un homme ébloui mais il est petit , chiffonné jo ignoble Idea ractère , plus mort que , vif . Ce brasdrbit qu'il tient étendu en l'air , est vraiment hors de la toile ; l'autre bra's ; ainsi que la ...
Side 14
... yeux des enfans . C'est une figure d'homme vu par le dos , les mains appuyées à la manivelle coudée d'un tambour de puits . Il y a dans ces machines un moment où le coude de la manivelle rend la position du bras de levier très haute ...
... yeux des enfans . C'est une figure d'homme vu par le dos , les mains appuyées à la manivelle coudée d'un tambour de puits . Il y a dans ces machines un moment où le coude de la manivelle rend la position du bras de levier très haute ...
Side 29
... yeux cou- verts de ses mains , et la tête posée contre un mur , la femme de Bélisaire . A gauche , sur le fond , un jeune homme qui , demande l'aumône dans le casque du général aveugle . Autour de ce jeune homme , des passagers , un ...
... yeux cou- verts de ses mains , et la tête posée contre un mur , la femme de Bélisaire . A gauche , sur le fond , un jeune homme qui , demande l'aumône dans le casque du général aveugle . Autour de ce jeune homme , des passagers , un ...
Side 39
... yeux hagards tournés sur la Justice , son loup au - dessous d'elle , un poignard à la main , la Cruauté est étendue sur des nuages qui la dérobent en partie . Toutes ces figures occupent la partie inférieure du tableau , et sont jetées ...
... yeux hagards tournés sur la Justice , son loup au - dessous d'elle , un poignard à la main , la Cruauté est étendue sur des nuages qui la dérobent en partie . Toutes ces figures occupent la partie inférieure du tableau , et sont jetées ...
Side 41
... yeux hagards , s'avançant , une torche ardenteȧlamain , et traînant par les cheveux l'In- nocence sous la figure d'un jeune enfant éploré , qui portoit ses regards et ses mains vers le ciel . Si j'avois eu à composer un tableau pour une ...
... yeux hagards , s'avançant , une torche ardenteȧlamain , et traînant par les cheveux l'In- nocence sous la figure d'un jeune enfant éploré , qui portoit ses regards et ses mains vers le ciel . Si j'avois eu à composer un tableau pour une ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
Amphitrite anciens Apollon artistes assez auroit avez avoit Bachelier beau beauté belle bleau Bouchardon bras caractère chaleur chant chose cire dissoute composition comte de Caylus connoissance Corrège côté couleurs de-là délayées dessin Diderot disoit dissoute par l'essence Encaustique endroit enfans est-ce étoient étoit Falconet falloit femme figures froid génie goût grace grouppe Homère homme huile essentielle j'ai j'en jamais jugement l'art l'artiste l'eau de cire l'Encaustique l'essence de térébenthine l'homme l'huile laisse Laocoon lumière Lysippe main maître manière Marmontel ment Mierre modèle Montami morceau n'en n'étoit nature objets ouvrage palette par-tout paroît peine peinture à l'huile peinture en cire pense père pieds Pigal pinceau poëme poésie poète pourroit Praxitèle premier qu'un Raphaël Régulus reste rien roit s'il Saint-Lambert sais Salon scène sculpture secret sent seroit sort spectateur statue sublime sujet sur-tout tableau Ténières tête tion tiste Titien toile ture Vénus vernis Voilà vrai yeux
Populære passager
Side 81 - Parva metu primo ; mox sese attollit in auras, Ingrediturque solo, et caput inter nubila condit...
Side 267 - C'est de lui que nous vient cet art ingénieux De peindre la parole et de parler aux yeux; Et par les traits divers de figures tracées, Donner de la couleur et du corps aux pensées.
Side 184 - Éclairez vos objets selon votre soleil, qui n'est pas celui de la nature; soyez le disciple de l'arc-en-ciel, mais n'en soyez pas l'esclave.
Side 429 - Clairon traversant la scène, à demi renversée sur les bourreaux qui l'environnent, ses genoux se dérobant sous elle, les yeux fermés, les bras tombants , comme morte; si vous entendiez le cri qu'elle pousse en apercevant Tancrède, vous resteriez plus convaincu que jamais que le silence et la pantomime ont quelquefois un pathétique que toutes les ressources de l'art oratoire ' n'atteignent pas. J'ai dans la tête un moment de théâtre où tout est muet, et où le spectateur reste suspendu...
Side 187 - J'ai dit que l'artiste n'avait qu'un instant; mais cet instant peut subsister avec des traces de l'instant qui a précédé, et des annonces de celui qui suivra. On n'égorge pas encore Iphigénie ; mais je vois approcher le victimaire avec le large bassin qui doit recevoir son sang, et cet accessoire me fait frémir.
Side 491 - La nature n'a fait ni serviteur ni maître; Je ne veux ni donner ni recevoir de lois. » Et ses mains ourdiraient les entrailles du prêtre Au défaut d'un cordon pour étrangler les rois, Tu pâlis, vil esclave!
Side 173 - Les muses sont femmes, elles n'accordent pas toujours leurs faveurs à ceux qui les sollicitent le plus opiniâtrement. Combien elles ont fait d'amants malheureux, et combien elles en feront encore ! Et pour l'amant favorisé, encore y at-il l'heure du berger. * La sotte occupation que celle de nous empêcher sans cesse de prendre du plaisir, ou de nous faire rougir de celui que nous avons pris!... C'est celle du critique.
Side 429 - Ah ! mon cher maître, si vous voyiez la Clairon traversant la scène, à demi renversée sur les bourreaux qui l'environnent, ses genoux se dérobant sous elle, les yeux fermés, les bras tombants , comme morte; si vous entendiez le cri qu'elle pousse en apercevant Tancrède...
Side 439 - Le Franc de Pompignan. Tout le monde s'en moque à la cour comme à Paris. Il n'ya pas longtemps qu'un homme dont les paroles sont quelque chose dit au roi qu'on persécutait en France les seuls hommes qui faisaient honneur à la France.
Side 410 - Mais voilà l'été dans sa force. Le lit des fleuves se resserre, les fontaines sont desséchées, le grain se détache de l'épi, la chaleur accable l'homme et les animaux ; et le poète haletant s'écrie : Ah! que ne puis-je errer dans ces sentiers profonds Où j'ai vu des torrents tomber du haut des monts!