| Gabriel-Henri Gaillard - 1806 - 464 sider
...O reste :. . , , • .. .Hélas ! depuis quinze ans voilà notre partage : Nous craignons l'Univers autant que l'on nous craint, Et c'est un des poisons dont mon coeur est atteint. , Une note à la page 337 contient des particularités curieuses sur Catherine de... | |
| Voltaire - 1809 - 782 sider
...et ses lugubres cris , La Grèce , mes sujets , mon fIls , mon propre fils. Ah! quelle destinee, et quel affreux supplice, De former de son sang ce qu'il faut qu'on haïsse , De n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés , les pins chers aux mortels... | |
| Voltaire - 1810 - 282 sider
...Électre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon fils, mon propre fils. Ah! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son sang ce qu'il faut qu'on ha:sse ! Pe n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés, les plus chers aux... | |
| Jean-François de La Harpe - 1813 - 406 sider
...et ses lugubres cris , La Grece, mes sujets, mon fils, mo'n propre fils. Ah! quelle destinée } et quel affreux supplice , De former de son sang ce qu'il faut qu'on haïsse, De n'oser prononcer, sans des troubles cruels , Les noms les plus sacrés, les plus cher s aux mortels... | |
| Voltaire - 1816 - 286 sider
...Électre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon fils, mon propre f JK Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son .sang ce qu'il faut qu'on haïsse ! De n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés, les plus chcrs aux mortels... | |
| Julien Louis Geoffroy - 1819 - 518 sider
...faiblesse de l 1 'innocent, est un contre-sens grammatical. Nos yeux, nos tristes yeux sont fermés sur son sort. Cela n'est pas français , pour dire...craignons les mortels autant que l'on nous craint, El c'est un des poisons dont mon cœur est atteint. Ab ! si j'ai quelques droits , s'il est vrai qu'il... | |
| Voltaire - 1819 - 534 sider
...ses lugubres cris , La Grèce , mes sujets , mon fils , mon propre fils. Ah ! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son sang ce qu'il faut qu'on haïsse ! De n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés , les plus chers aux mortels... | |
| Voltaire - 1820 - 284 sider
...m'alarme , et tout me fait ombrage. CLYTEMSESTRE. Hélas ! depuis qumze ans c'est là notre partage : Kous craignons les mortels autant que l'on nous craint; Et c'est un des poisons dont mon cœur est attemt. ÉGISTHE, à Pammène. Allez , dis-je , et sachez quel lieu les a vus naître ; Pourquoi près... | |
| 1821 - 272 sider
...ses lugubres cris ,. La Grèce, mes sujets, mon fils, mon propre fils. 'Ah ! quelle destinée , et quel affreux supplice •De former de son sang ce qu'il faut qu'on haïsse ! De n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés , les plus chers aux mortels... | |
| Voltaire - 1821 - 282 sider
...Electre, et ses lugubres cris, La Grèce, mes sujets, mon fils, mou propre Gis. Ah! quelle destinée, et quel affreux supplice De former de son sang ce qu'il faut qu'on haisse ! De n'oser prononcer sans des troubles cruels Les noms les plus sacrés , les ph; ; ch'crs... | |
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