Chansons. [With] Chansons nouvelles et dernières

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Side 4 - Fut un voisin commode , Et , modèle des potentats, Prit le plaisir pour code. Ce n'est que lorsqu'il expira Que le peuple qui l'enterra Pleura.
Side 213 - Hommes noirs, d'où sortez-vous? Nous sortons de dessous terre. Moitié renards , moitié loups , Notre règle est un mystère. Nous sommes fils de Loyola ; Vous savez pourquoi l'on nous exila. Nous rentrons ; songez à vous taire ! Et que vos enfants suivent nos leçons. C'est nous qui fessons, Et qui refessons Les jolis petits , les jolis garçons.
Side 337 - On parlera de sa gloire Sous le chaume bien longtemps. L'humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d'autre histoire. Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : " Par des récits d'autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, dit-on, qu'il nous ait nui, Le peuple encor le révère, Oui, le révère. Parlez-nous de lui, grand'mère, Parlez-nous de lui.
Side 211 - L'automne en fleurs rappelait les amours. Pour l'étranger coulez, bons vins de France : De sa frontière il reprend le chemin. Peuples, formons une sainte alliance, Et donnons-nous la main.
Side 298 - Ma sœur est-elle mariée ? Avez-vous vu de nos garçons La foule, aux noces conviée, La célébrer dans leurs chansons? Et ces compagnons du jeune âge Qui m'ont suivi dans les combats, Ont-ils revu tous le village? De tant d'amis ne me parlez-vous pas?
Side 298 - Depuis trois ans je vous conjure De m'apporter un souvenir Du vallon, où ma vie obscure Se berçait d'un doux avenir. Au détour d'une eau qui chemine A flots purs, sous de frais lilas...
Side 335 - J'ai su depuis qui payait sa toilette. Dans un grenier, qu'on est bien à vingt ans ! A table un jour, jour de grande richesse, De mes amis les voix brillaient en chœur, Quand jusqu'ici monte un cri d'allégresse : A Marengo, Bonaparte est vainqueur. Le canon gronde ; un autre chant commence ; Nous célébrons tant de faits éclatans.
Side 223 - C'est celle d'un puissant monarque !... Va, mon fils, garde ta candeur ; Et que ton étoile ne marque Par l'éclat ni par la grandeur. Si tu brillais sans être utile, A ton dernier jour on dirait: Ce n'est qu'une étoile qui file, Qui file, file, et disparaît.
Side 82 - Adieu, charmant pays de France, Que je dois tant chérir! Berceau, de mon heureuse enfance, Adieu! te quitter c'est mourir. Toi que j'adoptai pour patrie, Et d'où je crois me voir bannir, Entends les adieux de Marie, France, et garde son souvenir. Le vent souffle, on quitte la plage, Et, peu touché de mes sanglots, Dieu, pour me rendre à ton...
Side 171 - Un conquérant , dans sa fortune altière , Se fit un jeu des sceptres et des lois , Et de ses pieds on peut voir la poussière Empreinte encor sur le bandeau des rois.

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