 | İbrahim Fehim - 1890 - 126 sider
...Ji'tr l'ancre un seul jour; O lac ! l'année à pi.ine a fini sa carrière, Et près des Ilots chér s qu'elle devait revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous cas roches profondes, jUU J.y 5 ! '_/0 « «_ft y Oo '.6... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1823 - 294 sider
...-¡T - i;1;. : ' ' • i :; ii-'-it. ,' ,• .: . .:• Ч , Л-.. MÉDITATION TREIZIÈME. £e £ac. AINSI, toujours poussés vers de nouveaux rivages,...fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devoit revoir, Regarde! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir! Tu mugissois... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1823 - 290 sider
...Ami, je reviendrai souvent, Rattacher, vers le soir, ma barque à ton rivage. MEDITATION TREIZIEME. AINSI , toujours poussés vers de nouveaux rivages...retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges t Jeter l'ancre un seul jour? O lac ! l'année à peine a fini sa carrière , Et près des flots chéris... | |
 | Jean Vatout, Louis Philippe (king of the French.) - 1826 - 602 sider
...toujours pousses vers de nouveaux rivages, . , ' largeor 4Î pouces. Dans la nuit eternelle emportès sans retour, Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour? 0 lac! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde,... | |
 | 1827 - 536 sider
...seconde strophe , la cadence harmonieuse qui distingue particulièrement la poésie de M. Delamartine. O lac! l'année à peine a fini sa carrière , Et près des flots chéris qu'elle devait re\oir, Regarde ! je Tiens seul m'asseoir sur cette pierre OU tu la vis s'asseoir. O lac ! l'année... | |
 | 1925 - 990 sider
...texte même de cette poésie suffirait à détruire cette croyance. e disent les premières strophes? 0 Lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près...Regarde, je viens seul m'asseoir sur cette pierre, Où tu la vis s'asseoir. Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes, Ainsi tu te brisais sur leurs flancs... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - 378 sider
...reviendrai souvent Rattacher, vers le soir, ma barque à ton rivage. TREIZIÈME MÉDITATION. LE LAC. AINSI, toujours poussés vers de nouveaux rivages,...! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir ! Tu mugissais ainsi sous ces roches profondes ; Ainsi tu te brisais sur leurs flancs... | |
 | Alphonse de Lamartine - 1834 - 354 sider
...reviendrai couvent Rattacher, vers le soir, ma barque à ton rivage. TREIZIÈME MÉDITATION. LE LAC. Ainsi, toujours poussés vers de nouveaux rivages,...sur l'océan des âges Jeter l'ancre un seul jour ? 0 lac ! l'année à peine a fini ca carrière , Et près des flots chéris qu'elle devait revoir,... | |
 | 1831 - 464 sider
...(i) pour sentir, mieux que nous n'avons pu l'exprimer, quel est le genre où se distingue Mr. de L. O lac ! l'année à peine a fini sa carrière , Et près des flots chéris qu'elle devoit revoir , Regarde , je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir. Quoi, passés... | |
 | 1835 - 512 sider
...poussés vers tie nouveaux rivages, Dans la nuit éternelle emportés sans retour, Y... :•• •• Ne pourrons-nous jamais sur l'océan des âges , Jeter l'ancre un seul jour? • .- ."• • JH vu,. г i.. ¿ •' 'II ' ' . I • t ' Hill '•'.,'• . О lac! l'année à... | |
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O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir... 
