Fleurs de poésie moderne, tirées des oeuvres de A. de Lamartine: V. Hugo: de Béranger: C. Delavigne1834 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 27
Side 6
... tête Il nous renferme pour toujours . Ce dieu , chez lui , calculant à toute heure , Y laisse enfin l'Intérêt prendre pied , Et trop souvent lui donne pour demeure Le coin de l'Amitié . Auprès de toi nous ne craignons , ma chère , Ni l ...
... tête Il nous renferme pour toujours . Ce dieu , chez lui , calculant à toute heure , Y laisse enfin l'Intérêt prendre pied , Et trop souvent lui donne pour demeure Le coin de l'Amitié . Auprès de toi nous ne craignons , ma chère , Ni l ...
Side 44
... tête des rois ? Ah ! ce rocher repousse l'espérance : L'aigle n'est plus dans le secret des dieux . Pauvre soldat , je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux . Il fatiguait la victoire à le suivre ; Elle était lasse ...
... tête des rois ? Ah ! ce rocher repousse l'espérance : L'aigle n'est plus dans le secret des dieux . Pauvre soldat , je reverrai la France : La main d'un fils me fermera les yeux . Il fatiguait la victoire à le suivre ; Elle était lasse ...
Side 56
... tête D'un arc - en - ciel resplendir les couleurs . Elle me montre une chaine brisée , Et sur son sein un enfant qui s'endort . Calmez la soif de ma coupe épuisée ; Non , mes amis , je ne crains plus la Mort . " Vois , me dit - elle ...
... tête D'un arc - en - ciel resplendir les couleurs . Elle me montre une chaine brisée , Et sur son sein un enfant qui s'endort . Calmez la soif de ma coupe épuisée ; Non , mes amis , je ne crains plus la Mort . " Vois , me dit - elle ...
Side 61
... tête dans les nues Et la mort sous nos pieds . MAUDIT PRINTEMPS ! Je la voyais de ma fenêtre A la sienne tout cet hiver : Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air . Entre ces tilleuls sans feuillage ...
... tête dans les nues Et la mort sous nos pieds . MAUDIT PRINTEMPS ! Je la voyais de ma fenêtre A la sienne tout cet hiver : Nous nous aimions sans nous connaître ; Nos baisers se croisaient dans l'air . Entre ces tilleuls sans feuillage ...
Side 62
... tête ; D'autres me jettent quelques sous . Courez vite ; allez à la fête . Vieux vagabond , je puis mourir sans vous . Comme un insecte fait pour nuire , Hommes , que ne m'écrasiez - vous ? Ah ! plutôt vous deviez m'instruire A ...
... tête ; D'autres me jettent quelques sous . Courez vite ; allez à la fête . Vieux vagabond , je puis mourir sans vous . Comme un insecte fait pour nuire , Hommes , que ne m'écrasiez - vous ? Ah ! plutôt vous deviez m'instruire A ...
Almindelige termer og sætninger
Adieu adorée ailes aime amant amours beau beauté belle berce bonheur BONNARD bords brille brise bruit Cébès chants char charmes chauffons-nous chère ciel cieux cœur Colomb couronne DANVILLE Dieu dieux divin dors douce douleur doux enfant FERNANDO fête fillettes Et garçons flambeau flamme fleurs flots front gémir gloire Grenade hélas Heureux villageois IDAMORE ivresse J'ai j'étais petit oiseau jeune jour jour des morts klephte l'abîme l'ame l'amour l'aurore l'oiseau l'ombre l'onde LAMARTINE larmes Lesbos loin LORD BYRON lyre main mêle mère monde mort mourir murmure Musettes Et chansons nuit œil ombre pâle parfums passe patrie pauvre peuple pieds pleurs poète printemps Psara qu'un rameaux rayon regard Requiescant rêve rivage roses roule sainte alliance seul Socrate soir soleil sombre sommeil souffle sourire terre tombeau treize à table tremblant triste Unissez vos joyeux vallon VICTOR HUGO vient l'Amour vierge vieux voile vois voix volupté yeux zéphyr
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Side 151 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Side 197 - N'est qu'un jouet de ta puissance; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil. On dit que c'est toi qui fais naître Les petits oiseaux dans les champs, Et qui donne aux petits enfants Une âme aussi pour te connaître ! On dit que c'est toi qui produis Les fleurs dont le jardin se pare, Et que, sans toi, toujours avare, Le verger n'aurait point de fruits.
Side 107 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! ^Seigneur!
Side 134 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Side 151 - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : "O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices 1 Des plus beaux de nos jours ! "...
Side 160 - Sur un écueil battu par la vague plaintive, Le nautonier de loin voit blanchir sur la rive Un tombeau près du bord par les flots déposé ; Le temps n'a pas encor bruni l'étroite pierre, Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre On distingue... un sceptre brisé ! Ici gît — point de nom ! — demandez à la terre...
Side 239 - L'adieu du soir. Si la neige avec violence De ses flocons couvre en silence Le lit de mort , II pousse un cri lugubre et tendre , Et s'y couche pour le défendre Des vents du nord.
Side 172 - A gravir dans les airs de rameaux en rameaux, Pour ravir, le premier, sous l'aile de leurs mères Les tendres œufs des tourtereaux ; J'aimais les voix du soir dans les airs répandues, Le bruit lointain des chars gémissant sous leur poids, Et le sourd tintement des cloches suspendues Au cou des chevreaux dans les bois. Et depuis, exilé de ces douces retraites, Comme un vase imprégné d'une première odeur, Toujours, loin des cités, des voluptés secrètes Entraînaient mes yeux et mon cœur.
Side 135 - Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie: Emportez-moi comme elle, orageux aquilons.
Side 28 - On vous dira: Savait-il être aimable '. Et sans rougir vous direz : Je l'aimais. D'un trait méchant se montra-t-il capable ? Avec orgueil vous répondrez : Jamais. Ah ! dites bien qu'amoureux et sensible, D'un luth joyeux il attendrit les sons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible De votre ami répétez les chansons.