Fleurs de poésie moderne, tirées des oeuvres de A. de Lamartine: V. Hugo: de Béranger: C. Delavigne1834 |
Fra bogen
Resultater 1-5 af 38
Side 3
... bruit des verroux ? * On sait que ce roi , retiré au Plessis - lez - Tours , avec Tristan , confident et exécuteur de ses cruautés , voulait voir quelquefois les paysans danser devant les fenêtres de son château . Heureux villageois ...
... bruit des verroux ? * On sait que ce roi , retiré au Plessis - lez - Tours , avec Tristan , confident et exécuteur de ses cruautés , voulait voir quelquefois les paysans danser devant les fenêtres de son château . Heureux villageois ...
Side 24
... 'heure du rendez - vous ? Cherchons loin du bruit de la ville Pour le bonheur un sûr asile . Viens aux champs couler d'heureux jours : Les champs ont aussi leurs amours . Viens aux champs fouler la verdure , Donne le bras 24 BÉRANGER .
... 'heure du rendez - vous ? Cherchons loin du bruit de la ville Pour le bonheur un sûr asile . Viens aux champs couler d'heureux jours : Les champs ont aussi leurs amours . Viens aux champs fouler la verdure , Donne le bras 24 BÉRANGER .
Side 33
... à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse , Enfin le navire entre au port . Dans cette barque où l'on se presse Hâtons - nous d'atteindre le bord . D France adorée ! Douce contrée ! Puissent tes fils te BERANGER . 33.
... à ma patrie ! Au bruit des transports d'allégresse , Enfin le navire entre au port . Dans cette barque où l'on se presse Hâtons - nous d'atteindre le bord . D France adorée ! Douce contrée ! Puissent tes fils te BERANGER . 33.
Side 37
... pour moi . LE TEMPS . Près de la beauté que j'adore , Je me croyais égal aux dieux ; Lorsqu'au bruit de l'airain sonore , Le Temps apparut à nos yeux . Faible comme une tourterelle Qui voit la serre des vautours BERANGER . 37.
... pour moi . LE TEMPS . Près de la beauté que j'adore , Je me croyais égal aux dieux ; Lorsqu'au bruit de l'airain sonore , Le Temps apparut à nos yeux . Faible comme une tourterelle Qui voit la serre des vautours BERANGER . 37.
Side 53
... à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute , et puis elle pleure . De son amour ne me parlez - vous pas ? Ma sœur est - elle mariée ? Avez - vous vu de nos garçons La foule , aux noces conviée , La célébrer dans BERANGER . 53.
... à toute heure Entendre le bruit de mes pas ; Elle écoute , et puis elle pleure . De son amour ne me parlez - vous pas ? Ma sœur est - elle mariée ? Avez - vous vu de nos garçons La foule , aux noces conviée , La célébrer dans BERANGER . 53.
Almindelige termer og sætninger
Adieu adorée ailes aime amant amours beau beauté belle berce bonheur BONNARD bords brille brise bruit Cébès chants char charmes chauffons-nous chère ciel cieux cœur Colomb couronne DANVILLE Dieu dieux divin dors douce douleur doux enfant FERNANDO fête fillettes Et garçons flambeau flamme fleurs flots front gémir gloire Grenade hélas Heureux villageois IDAMORE ivresse J'ai j'étais petit oiseau jeune jour jour des morts klephte l'abîme l'ame l'amour l'aurore l'oiseau l'ombre l'onde LAMARTINE larmes Lesbos loin LORD BYRON lyre main mêle mère monde mort mourir murmure Musettes Et chansons nuit œil ombre pâle parfums passe patrie pauvre peuple pieds pleurs poète printemps Psara qu'un rameaux rayon regard Requiescant rêve rivage roses roule sainte alliance seul Socrate soir soleil sombre sommeil souffle sourire terre tombeau treize à table tremblant triste Unissez vos joyeux vallon VICTOR HUGO vient l'Amour vierge vieux voile vois voix volupté yeux zéphyr
Populære passager
Side 151 - O lac ! l'année à peine a fini sa carrière, Et près des flots chéris qu'elle devait revoir, Regarde ! je viens seul m'asseoir sur cette pierre Où tu la vis s'asseoir...
Side 197 - N'est qu'un jouet de ta puissance; Que sous tes pieds il se balance Comme une lampe de vermeil. On dit que c'est toi qui fais naître Les petits oiseaux dans les champs, Et qui donne aux petits enfants Une âme aussi pour te connaître ! On dit que c'est toi qui produis Les fleurs dont le jardin se pare, Et que, sans toi, toujours avare, Le verger n'aurait point de fruits.
Side 107 - Il est si beau, l'enfant, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa voix qui veut tout dire, Ses pleurs vite apaisés, Laissant errer sa vue étonnée et ravie, Offrant de toutes parts sa jeune âme à la vie Et sa bouche aux baisers ! ^Seigneur!
Side 134 - Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières, Vains objets dont pour moi le charme est envolé? Fleuves, rochers, forêts, solitudes si chères, Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé...
Side 151 - Un soir, t'en souvient-il ? nous voguions en silence ; On n'entendait au loin, sur l'onde et sous les cieux, Que le bruit des rameurs qui frappaient en cadence Tes flots harmonieux. Tout à coup des accents inconnus à la terre Du rivage charmé frappèrent les échos ; Le flot fut attentif, et la voix qui m'est chère Laissa tomber ces mots : "O temps, suspends ton vol! et vous, heures propices, Suspendez votre cours ! Laissez-nous savourer les rapides délices 1 Des plus beaux de nos jours ! "...
Side 160 - Sur un écueil battu par la vague plaintive, Le nautonier de loin voit blanchir sur la rive Un tombeau près du bord par les flots déposé ; Le temps n'a pas encor bruni l'étroite pierre, Et sous le vert tissu de la ronce et du lierre On distingue... un sceptre brisé ! Ici gît — point de nom ! — demandez à la terre...
Side 239 - L'adieu du soir. Si la neige avec violence De ses flocons couvre en silence Le lit de mort , II pousse un cri lugubre et tendre , Et s'y couche pour le défendre Des vents du nord.
Side 172 - A gravir dans les airs de rameaux en rameaux, Pour ravir, le premier, sous l'aile de leurs mères Les tendres œufs des tourtereaux ; J'aimais les voix du soir dans les airs répandues, Le bruit lointain des chars gémissant sous leur poids, Et le sourd tintement des cloches suspendues Au cou des chevreaux dans les bois. Et depuis, exilé de ces douces retraites, Comme un vase imprégné d'une première odeur, Toujours, loin des cités, des voluptés secrètes Entraînaient mes yeux et mon cœur.
Side 135 - Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie: Emportez-moi comme elle, orageux aquilons.
Side 28 - On vous dira: Savait-il être aimable '. Et sans rougir vous direz : Je l'aimais. D'un trait méchant se montra-t-il capable ? Avec orgueil vous répondrez : Jamais. Ah ! dites bien qu'amoureux et sensible, D'un luth joyeux il attendrit les sons ; Et bonne vieille, au coin d'un feu paisible De votre ami répétez les chansons.