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" L'affreux tourbillon me promène. J'ai vu sans fruit germer le bien , Vu des calamités fécondes, Et pour survivre au monde ancien Des flots j'ai vu sortir deux mondes. Toujours, etc. "
Œuvres complètes de P.J. de Béranger - Side 279
af Pierre-Jean de Béranger - 1834
Fuld visning - Om denne bog

Chansons Précédées d'un notice sur l'auteur et d'un essai sur ses ..., Bind 4

Pierre Jean de Béranger - 1829 - 494 sider
...inhumain L'homme-dicu respirant à peine Ce n'est point sa divinité, C'est l'humanité que Dieu venge. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. COUPLET. Al«: Trouverez-vous un parlement ? Notre siècle, penseur brutal , Contre Delille s'évertue....
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Chansons nouvelles et dernières

Pierre-Jean de Béranger - 1833 - 250 sider
...me promène. (t>is . } J'ai vu «ans fruit germer le bien , Vu des calamités fécondes , t» 72 «3 Et pour survivre au monde ancien , Des flots j'ai...où moi je cours , Toujours , toujours , toujours , toujouri. Dieu m'a change pour me punir : A tout ce cjiii mpurt je m'attache. Mais du toit prêt...
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Œuvres complètes, Bind 3

Pierre Jean de Béranger - 1834 - 648 sider
...debout quand tout succombe. « Tes aïeux ne t'ont point ici « Gardé de place dans leur tombe. » Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours; toujours, toujours. •l'outrageai d'un rire inhumain L'homme-dieu respirant à peine... Mais sous mes pieds fuit le chemin;...
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Chansons de Béranger

Pierre-Jean de Béranger - 1836 - 740 sider
...fécondes) Et pour survivre au monde ancien , Del flots j'ai vu sortir deux mondes. Toujours, etc. Dveu m'a changé pour me punir ; A tout ce qui meurt je...prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. Plus d'un pauvre Tient Implorer Le deuierque je puis répandre , Qui n'a pas ïe tempi de serrer La...
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Chansons

Pierre Jean de Béranger - 1836 - 724 sider
...sururre au monde ancien , Dea flots j'ai vu sortir deux mondes. Toujours, etc. Dieu m'a changé pour nie punir : A tout ce qui meurt je m'attache. Mais du...prêt à me bénir Le tourbillon soudain m'arrache. ' l . * Plus d'un pauvre tient implorer Le df nier que je puis répandre , Qui n'a pas le temps de...
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Œuvres complètes de P. J. de Béranger, Bind 3

Pierre Jean de Béranger - 1836 - 464 sider
...denier que je puis répandre, Qui n'a pas le temps de serrer La main qu'en passant j'aime à tendre. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. Faut-il moins que l'éternité Pour délasser d'un tel voyage ? Toujours, toujours, Tourne la terre...
Fuld visning - Om denne bog

Musée français, Bind 1

1836 - 432 sider
...prix M'envier ma longue carrière? Ces enfans à qui je souris, Mon pied balaîra leur poussière. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. Des murs où je suis né jadis Retrouvé-jc encore quelque trace, Pour m'arrêter je me roidis. Mais...
Fuld visning - Om denne bog

Ollendorff's New Method of Learning to Read, Write, and Speak the French ...

Heinrich Gottfried Ollendorff - 1846 - 528 sider
...deuier que je puis repandre. Qui n'a iris U- temps de serrer La main qu'en passant j'aime à tendre. Toujours, toujours, Tourne la terre où moi je cours, Toujours, toujours, toujours, toujours. Senl, an pied d'arhuste* en Pur le gazon, an hord de l'onde, Si je repose mes doulenrs, J'entends le...
Fuld visning - Om denne bog

Œuvres complètes de P.-J. de Béranger, Bind 2

Pierre Jean de Béranger - 1847 - 528 sider
...fFreux tourbillon me promène. (bis.) J'ai vu sans fruit germer le bien, Vu des calamités fécondes; Et pour survivre au monde ancien , Des flots j'ai...meurt je m'attache. Mais du toit prêt à me bénir I,e tourbillon soudain m'arrache. (bis.) Plus d'un pauvre vient implorer Le denier que je puis répandre,...
Fuld visning - Om denne bog

Ollendorff's New Method of Learning to Read, Write, and Speak the French ...

Heinrich Gottfried Ollendorff, John Light Jewett - 1848 - 540 sider
...Cet instant passé sous l'ombrage7 Faut-il moins que l'éternité Pour délasser d'un tel voyage î Toujours, toujours. Tourne la terre où moi je cours. Toujours, toujours, toujours, toulours. Q,ue des enfants vifs et joyeux, Des miens me retracent l'image: Si j'en veux repaître mes...
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