Œuvres complètes de P.J. de Béranger, Bind 3Perrotin, 1834 |
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Resultater 1-5 af 27
Side 15
... colère il s'abandonne : « L'abus , dit - il , devient trop fort . bis . Encore un front que l'on couronne Quand le faiseur de rois est mort ' ! Napoléon . Sur ce front lançons mon tonnerre ; Du faible enfin CHANSONS DE BÉRANGER . 15.
... colère il s'abandonne : « L'abus , dit - il , devient trop fort . bis . Encore un front que l'on couronne Quand le faiseur de rois est mort ' ! Napoléon . Sur ce front lançons mon tonnerre ; Du faible enfin CHANSONS DE BÉRANGER . 15.
Side 16
Pierre-Jean de Béranger. Sur ce front lançons mon tonnerre ; Du faible enfin vengeons les droits . Je veux voir un jour sur la terre Les rois sujets , les sujets rois . » Dans son conseil alors j'arrive ( Où les rimeurs n'entrent - ils ...
Pierre-Jean de Béranger. Sur ce front lançons mon tonnerre ; Du faible enfin vengeons les droits . Je veux voir un jour sur la terre Les rois sujets , les sujets rois . » Dans son conseil alors j'arrive ( Où les rimeurs n'entrent - ils ...
Side 40
... suis entier . ( 4 fois . ) Ce vieux conte , peu charitable , Au bon pape fait dire enfin : Quittons les amours pour la table ; Je crains que le monde n'ait faim . Saint Pierre , dans un cas terrible , A rengaîné 40 CHANSONS DE BÉRANGER .
... suis entier . ( 4 fois . ) Ce vieux conte , peu charitable , Au bon pape fait dire enfin : Quittons les amours pour la table ; Je crains que le monde n'ait faim . Saint Pierre , dans un cas terrible , A rengaîné 40 CHANSONS DE BÉRANGER .
Side 75
... enfin qu'il existe , Si pour lui nous n'existons pas ? LE VIEILLARD . Voici ta couche et ta demeure : Chasse tes rêves ténébreux . Tiens - moi lieu du fils que je pleure . Dieu t'offre un ami ( bis ) ; sois heureux . L'étranger reste ...
... enfin qu'il existe , Si pour lui nous n'existons pas ? LE VIEILLARD . Voici ta couche et ta demeure : Chasse tes rêves ténébreux . Tiens - moi lieu du fils que je pleure . Dieu t'offre un ami ( bis ) ; sois heureux . L'étranger reste ...
Side 89
... cour . ( bis . ) Te chanter encore , ô Marie ! Non , vraiment je ne l'ose pas . Ma muse enfin s'est aguerrie , Et vers la cour tourne ses pas . ( bis . ) Je gage , s'il naît un Voltaire , Qu'on emprunte CHANSONS DE BÉRANGER . 89.
... cour . ( bis . ) Te chanter encore , ô Marie ! Non , vraiment je ne l'ose pas . Ma muse enfin s'est aguerrie , Et vers la cour tourne ses pas . ( bis . ) Je gage , s'il naît un Voltaire , Qu'on emprunte CHANSONS DE BÉRANGER . 89.
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adieu Alleluia amis amours assez vieux baisez beauté beaux jours bel âge bénir Bon ange bonheur et richesse carrosse Cessez vos chants chansons cœur Colibri cordon COUPLETS couronne déja Denys l'ancien DEUXIÈME GRENADIER diable est mort dois rien enfants Enivrons-nous falbala filles fils fleurs gai troubadour gloire glous grace hélas J'ai joyeux Juif ou chrétien l'ange L'ÉCHELLE DE JACOB liberté Lisette long somme m'en doutais moi je cours monde est assez monde est prié noce Pape est marié pauvre chansonnier pauvre Marie Perrotin peuple est par-tout portez-vous Prêtez secours prêtres Priez pour Charles-Dix Psara règne est passé Reine des flots rendez-moi s'il vous plaît sacrebleu Saint-Père saint-siège sainte Ampoule secours au pauvre soldat bleu soleil a fêté sourire suivons un vieux Taconnet terre où moi Tourne la terre treize à table trouver là bas trouvères Turlupin ventrebleu Vieux grenadiers vieux soldat Vite en carrosse voilà vois
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Side 219 - Il part; et comme un trésor J'ai depuis gardé son verre, Gardé son verre. — Vous l'avez encor, grand'mère ! Vous l'avez encor ! ' Le voici. Mais à sa perte Le héros fut entraîné. Lui, qu'un pape a couronné, Est mort dans une île déserte. Longtemps aucun ne l'a cru ; On disait : II va paraître. Par mer il est accouru ; L'étranger va voir son maître. Quand d'erreur on nous tira, Ma douleur fut bien amère, Fut bien amère. — Dieu vous bénira, grand'mère, Dieu vous bénira...
Side 218 - Chacun disait : Quel beau temps ! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux ; D'un fils Dieu le rendait père, Le rendait père.
Side 217 - Mes enfants, dans ce village, Suivi de rois, il passa ; Voilà bien longtemps de ça : Je venais d'entrer en ménage. A pied grimpant le coteau Où pour voir je m'étais mise, Il avait petit chapeau Avec redingote grise. Près de lui je me troublai ; Il me dit : Bonjour, ma chère, Bonjour, ma chère.
Side 340 - Non, mes amis, non, je ne veux rien être; Semez ailleurs places, titres et croix. Non, pour les cours Dieu ne m'a pas fait naître Oiseau craintif je fuis la glu des rois. Que me faut-il? maîtresse à fine taille, Petit repas et joyeux entretien. De mon berceau près de bénir la paille , En me créant Dieu m'a dit : Ne sois rien.
Side 279 - L'affreux tourbillon me promène. J'ai vu sans fruit germer le bien , Vu des calamités fécondes, Et pour survivre au monde ancien Des flots j'ai vu sortir deux mondes. Toujours, etc.
Side 259 - Pour un captif, souvenir plein de charmes ! J'étais bien jeune, on criait : Vengeons-nous ! A la Bastille ! aux armes ! vite , aux armes ! Marchands, bourgeois, artisans couraient tous...
Side 108 - Vient-il d'un roi vous jurer l'alliance? -Ha des rois allumé le courroux. -Est-il puissant? — Seul il franchit les ondes. - Qu'at-il donc fait? — II a brisé des fers. Gloire immortelle à l'homme des deux mondes! Jours de triomphe, éclairez l'univers! • Européen, par-tout, sur ce rivage Qui retentit de joyeuses clameurs, Tu vois régner, sans trouble et sans servage, La paix, les lois, le travail et les mœurs. Des opprimés ces bords sont le refuge : :EK La tyrannie a peuplé nos déserts.
Side 126 - Les rois jamais n'envahiront la France. Dans un grenier qu'on est bien à vingt ans ! Quittons ce toit où ma raison s'enivre. Oh ! -qu'ils sont loin ces jours si regrettés...
Side 278 - Sans vieillir, accablé de jours, La fin du monde est mon seul rêve. Chaque soir j'espère toujours , Mais toujours le soleil se lève. Toujours, toujours Tourne la terre où moi je cours; Toujours, toujours, toujours, toujours. Depuis dix-huit siècles , hélas ! Sur la cendre grecque et romaine, Sur les débris de mille états, L'affreux tourbillon me promène.
Side 5 - Dans ce Paris plein d'or et de misère, En l'an du Christ mil sept cent quatre-vingt, Chez un tailleur, mon pauvre et vieux grand-père, Moi, nouveau-né, sachez ce qui m'advint.