Lectures morales et civiquesLibrairie Paul Delaplane, 1883 - 237 sider |
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... guerre a éclaté entre Rome et Albe , deux villes voisines de la vieille Italie . Les deux cités ont convenu de terminer la guerre par un combat singulier entre trois champions choisis par chacune d'elles . Rome a choisi les trois ...
... guerre a éclaté entre Rome et Albe , deux villes voisines de la vieille Italie . Les deux cités ont convenu de terminer la guerre par un combat singulier entre trois champions choisis par chacune d'elles . Rome a choisi les trois ...
Side 55
... guerre de Cent aus , iuva- sion de 1814 et de 1815 , guerre Dicter ce de 1870-1871 . ) De quoi se compose la patrie . Le petit Frantz. Le Philosophe sous les toits . ) De quoi se compose la patrie . LA PATRIE BS.
... guerre de Cent aus , iuva- sion de 1814 et de 1815 , guerre Dicter ce de 1870-1871 . ) De quoi se compose la patrie . Le petit Frantz. Le Philosophe sous les toits . ) De quoi se compose la patrie . LA PATRIE BS.
Side 63
... guerre étaient vendus à l'enchère , une couronne sur la tête . On achetait et on vendait les es- claves , comme on achète et on vend des bêtes de somme . Le maître avait sur eux droit de vie et de mort . Une partie des esclaves était ...
... guerre étaient vendus à l'enchère , une couronne sur la tête . On achetait et on vendait les es- claves , comme on achète et on vend des bêtes de somme . Le maître avait sur eux droit de vie et de mort . Une partie des esclaves était ...
Side 66
... guerre qui ensanglanta l'Ainérique pendant plusieurs années , Lincoln , un charpentier qui était devenu president des Etats - Unis , cut lagloire de proclamer l'abolition de l'esclavage dans toute l'étend ue de la vaste république ...
... guerre qui ensanglanta l'Ainérique pendant plusieurs années , Lincoln , un charpentier qui était devenu president des Etats - Unis , cut lagloire de proclamer l'abolition de l'esclavage dans toute l'étend ue de la vaste république ...
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... guerre , courait se renfermer avec ses troupeaux et ses meubles . Et le cri de guerre retentissait souvent . Des hommes grossiers et oisifs sont fort enclins à se quereller et à se combattre . La Gaule , d'ailleurs , n'était point occu ...
... guerre , courait se renfermer avec ses troupeaux et ses meubles . Et le cri de guerre retentissait souvent . Des hommes grossiers et oisifs sont fort enclins à se quereller et à se combattre . La Gaule , d'ailleurs , n'était point occu ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
adjectifs aime âme Apprendre ce morceau armée armes arquebuse Astyage avant Bastille cartonné chant chevalier de Rohan chose citoyens Coriolan coup Cyrus degré élémentaire DELPLAN devoir Dieu dire donner drapeau DUC D'ANJOU Échanson écoles enfants ERCKMANN-CHATRIAN EXERCICES DE RÉDACTION EXERCICES ÉCRITS EXERCICES ORAUX Expli Expliquer fable famille femme fils Fougerel frère Guernesey guerre hommes impôts in-12 avec gravures j'ai Jean Bart Jeanne Jeanne Darc jeune jour l'armée l'école l'enclume il refrappe l'enfant l'enseignement l'homme laisser liberté livre main maison Malapeyre Marseillaise ment mère misère morale et civique morceau par cœur mort mourir Napoléon III nation NOTICE pain passé patrie patriote pauvre pays paysan pensée peuple phrase pleure poète Prascovie primaire propriété proverbe Qu'appelle-t-on Qu'est-ce qu'un QUESTIONNAIRE récit régime républicain République reste Révolution Révolution française savez-vous Scipio seigneur sens sentiments seul sifflet signifie sorte Suisse terre tion travail vail verbe Vercingétorix VICTOR HUGO vieux voie lactée voilà voix
Populære passager
Side 177 - La loi est l'expression de la volonté générale. Tous les citoyens ont droit de concourir personnellement, ou par leurs représentants, à sa formation. Elle doit être la même pour tous, soit qu'elle protège, soit qu'elle punisse. Tous les citoyens étant égaux à ses yeux, sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents.
Side 177 - La loi n'a le droit de défendre que les actions nuisibles à la société. Tout ce qui n'est pas défendu par la loi ne peut être empêché, et nul ne peut être contraint à .faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Side 152 - Je sens en écrivant ceci que mon pouls s'élève encore ; ces moments me seront toujours présents quand je vivrais cent mille ans. Ce premier sentiment de la violence et de l'injustice est resté...
Side 11 - Ah! n'attendrissez point ici mes sentiments; Pour vous encourager ma voix manque de termes; Mon cœur ne forme point de pensers assez fermes; Moi-même en cet adieu, j'ai les larmes aux yeux. Faites votre devoir, et laissez faire aux Dieux.
Side 177 - Nul ne doit être inquiété pour ses opinions, même religieuses, pourvu que leur manifestation ne trouble pas l'ordre public établi par la loi.
Side 136 - Râlant, brisé, livide, et mort plus qu'à moitié, Et qui disait : — A boire, à boire par pitié! — Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle: Et dit : — Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé.
Side 165 - J'ai des jambes, et vous des yeux. Moi , je vais vous porter ; vous, vous serez mon guide : Vos yeux dirigeront mes pas mal assurés ; Mes jambes, à leur tour, iront où vous voudrez.
Side 136 - Mon père, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de rhum qui pendait à sa selle, Et dit : « Tiens, donne à boire à ce pauvre blessé. » Tout à coup, au moment où le housard baissé Se penchait vers lui, l'homme, une espèce de Maure, Saisit un pistolet qu'il étreignait encore, Et vise au front mon père en criant : Caramba ! Le coup passa si près que le chapeau tomba Et que le cheval fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon père.
Side 165 - J'ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres : Unissons-les, mon frère, ils seront moins affreux." — " Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon frère, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vous n'y voyez pas : A quoi nous servirait d'unir notre misère?
Side 37 - Un des moments les plus doux de ma vie, ce fut il ya plus de trente ans, et je m'en souviens comme d'hier, lorsque mon père me vit arriver du collège les bras chargés des prix que j'avais remportés, et les épaules chargées des couronnes qu'on m'avait données, et qui, trop larges pour mon front, avaient laissé passer ma tête.