La médecineDidier et cie, et chez J. B. Baillière et fils, 1865 - 491 sider |
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Side v
... théorie arrê- tée et réfléchie puisse intervenir ; ce n'est donc guère qu'une question de plus ou de moins qui reste à dé- battre , soit avec M. Chauffard , soit entre Paris et Mont- pellier ; cependant il vaut la peine , sous d'autres ...
... théorie arrê- tée et réfléchie puisse intervenir ; ce n'est donc guère qu'une question de plus ou de moins qui reste à dé- battre , soit avec M. Chauffard , soit entre Paris et Mont- pellier ; cependant il vaut la peine , sous d'autres ...
Side xix
... théorie , nulle induction ne conduit à l'essayer , lorsqu'il semble être par consé- quent du domaine exclusif de l'empirisme , le médecin peut encore intervenir avec son intelligence et insti- tuer une médication avec un seul médicament ...
... théorie , nulle induction ne conduit à l'essayer , lorsqu'il semble être par consé- quent du domaine exclusif de l'empirisme , le médecin peut encore intervenir avec son intelligence et insti- tuer une médication avec un seul médicament ...
Side xxi
... théorie . Ni la fantaisie , ni la métaphysique , ni la théologie ne sauraient remplacer de semblables leçons , qui servent à l'histoire autant qu'aux applications de la science . Quand je veux comparer un fait ancien avec un fait ...
... théorie . Ni la fantaisie , ni la métaphysique , ni la théologie ne sauraient remplacer de semblables leçons , qui servent à l'histoire autant qu'aux applications de la science . Quand je veux comparer un fait ancien avec un fait ...
Side 53
... théorie , je ne devrais pas craindre de l'aborder ; mais Juvénal a une telle réputation , et je suis si peu sûr que ma théorie morale sur les poëtes anciens soit du goût de tous mes lecteurs , qu'il m'a semblé plus prudent de m'abstenir ...
... théorie , je ne devrais pas craindre de l'aborder ; mais Juvénal a une telle réputation , et je suis si peu sûr que ma théorie morale sur les poëtes anciens soit du goût de tous mes lecteurs , qu'il m'a semblé plus prudent de m'abstenir ...
Side 81
... théorie contre Aristote et contre les stoïciens , qui n'ad- mettaient qu'une seule âme dont le siége est dans le cœur . Entre l'opinion d'Aristote et celle des stoïciens , il y avait cette différence qu'Aristote nommait facul- tés de l ...
... théorie contre Aristote et contre les stoïciens , qui n'ad- mettaient qu'une seule âme dont le siége est dans le cœur . Entre l'opinion d'Aristote et celle des stoïciens , il y avait cette différence qu'Aristote nommait facul- tés de l ...
Andre udgaver - Se alle
Almindelige termer og sætninger
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Populære passager
Side 286 - Quam nobis, quid nunc esset vetus ? aut quid haberet, Quod legeret tereretque viritim publicus usus ? Ut primum positis nugari Graecia bellis Coepit et in vitium fortuna labier aequa...
Side 221 - Le 10 de janvier, on y appliqua quatorze fois le bouton de feu, dont M. Dubois, qui l'appliquait, paraissait plus las que le roi qui le souffrait, tant sa force et sa constance sont inébranlables dans les choses nécessaires, quand il s'y est déterminé.
Side 299 - Ces principes sont aussi exacte que la première. à l'imitation des choses. Il suffit pour s'en convaincre d'observer les faits. Les choses que nous ne verrions qu'avec douleur dans la réalité, nous font grand plaisir à contempler dans leurs reproductions les plus exactes ; par exemple, les représentations des bêtes les plus hideuses et même des cadavres. § 4. La cause en est fort simple : c'est qu'apprendre quoi que ce soit est un très-vif plaisir, non pas seulement pour les philosophes,...
Side 338 - L'autre : Phaëton a une certaine amitié pour le haut du théâtre ; il n'est point à son aise quand il n'y est pas. L'autre : Phaëton n'est pas fait pour voler, mais il aime mieux voler que de laisser le haut du théâtre vide ; et cent autres rêveries que je m'étonne qui n'aient perdu de réputation toute l'Antiquité.
Side 333 - Ce qui distingue surtout Hippocrate , c'est une haute idée de la médecine , de son étendue , de sa difficulté , de son but ; un perpétuel souci de la dignité médicale, un vif sentiment des devoirs de sa profession , une répulsion profonde pour ceux qui la compromettaient , soit par leur charlatanisme , soit par leurs mauvaises pratiques1; enfin, une sollicitude continuelle de la guérison, ou du moins du soulagement des malades.
Side 247 - ... voulus pas : il l'alla dire à la reine, qui n'osa le refuser. Je dis à Sa Majesté que c'était pour le faire mourir que de le mettre dans le bain en l'état où il était. Comme je vis qu'elle ne me répondait autre chose, sinon qu'il le voulait, je lui dis que je l'en avertissais, et que, s'il en arrivait accident, elle ne s'en prit point à moi.
Side 344 - ... aura des étrangers ou des pauvres, c'est auprès d'eux qu'il courra tout d'abord, disposé à les assister non-seulement de ses remèdes, mais encore de sa bourse. — Quand un médecin se trouve embarrassé, il ne doit pas craindre d'appeler d'autres médecins pour l'éclairer sur l'état des malades et sur les remèdes à employer; mais il ne faut pas s'amuser à disputer ensemble et à se railler les uns des autres, car, l'auteur l'affirme par serment, jamais...
Side 137 - ... traductions de Constantin sont pour ainsi dire un épisode vers la fin de ce même onzième siècle}, procèdent de la vraie doctrine d'Hippocrate et de Galien, connue par d'assez nombreuses traductions latines. Salerne recoit et garde le surnom glorieux de i Cité hippocratique s (Civitas hippocratica). On ne trouverait rien non plus d'hétérodoxe dans les écrits qui nous restent de Trotula (vers l'an io5o,), femme médecin (magister Trota ou Trotula, comme s'exprime le Compendium Salernitanum),...
Side 284 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.
Side 165 - Les règlements 4'hygiène publique et de police médicale, surtout en ce qui concerne les maladies contagieuses, la vente des poisons, des philtres amoureux et d'autres charmes sont promulgués avec une grande solennité. Une organisation si bien entendue et l'antique renommée de Salerne y attiraient beaucoup d'étrangers, médecins ou simples amateurs; Gilles de Corbeil avait séjourné dans cette ville au milieu du treizième siècle; plus tard, Gilbert l'Anglais y vint étudier. Un Allemand,...