La médecineDidier et cie, et chez J. B. Baillière et fils, 1865 - 491 sider |
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Side xii
... jour le célèbre médecin anglais Mead , traversant la Tamise sur London Bridge , ren- contra un de ses anciens amis de collége revêtu d'o- ripeaux : - Comment ! s'écria Mead , toi que j'ai connu l'un des meilleurs parmi nos condisciples ...
... jour le célèbre médecin anglais Mead , traversant la Tamise sur London Bridge , ren- contra un de ses anciens amis de collége revêtu d'o- ripeaux : - Comment ! s'écria Mead , toi que j'ai connu l'un des meilleurs parmi nos condisciples ...
Side xvii
... jour de fête et de débauche le jour de loisir qu'on peut consacrer à la lecturé de pareils livres ; et si les gens du monde s'étonnaient d'un tel délassement , je leur répondrais aussitôt , avec M. Trousseau : « Il semble étrange aux ...
... jour de fête et de débauche le jour de loisir qu'on peut consacrer à la lecturé de pareils livres ; et si les gens du monde s'étonnaient d'un tel délassement , je leur répondrais aussitôt , avec M. Trousseau : « Il semble étrange aux ...
Side xviii
... jour sous les yeux ne le laisse pas indifférent . Un médecin qui aime autant la médecine doit aussi aimer les malades ; j'en dé- couvre une preuve indirecte dans un passage où M. Trousseau n'a pas de paroles assez énergiques pour ...
... jour sous les yeux ne le laisse pas indifférent . Un médecin qui aime autant la médecine doit aussi aimer les malades ; j'en dé- couvre une preuve indirecte dans un passage où M. Trousseau n'a pas de paroles assez énergiques pour ...
Side xix
... jour un paroxysme fébrile en commençant par du frisson et suivi de chaleur et de sueur , c'est là une notion d'une vulgarité extrême , ce n'est pas un diagnostic ; mais savoir que ce paroxysme n'est pas lié à une phlegmasie cachée , à ...
... jour un paroxysme fébrile en commençant par du frisson et suivi de chaleur et de sueur , c'est là une notion d'une vulgarité extrême , ce n'est pas un diagnostic ; mais savoir que ce paroxysme n'est pas lié à une phlegmasie cachée , à ...
Side 27
... jour . Hélas ! c'est un traitement qui exige une grande attention ; ne t'épargne point . Foi de médecin , je te le rendrai sain et sauf ; je te le traiterai avec le plus grand zèle . << Pendant cet entretien , le malade arrive ...
... jour . Hélas ! c'est un traitement qui exige une grande attention ; ne t'épargne point . Foi de médecin , je te le rendrai sain et sauf ; je te le traiterai avec le plus grand zèle . << Pendant cet entretien , le malade arrive ...
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Side 286 - Quam nobis, quid nunc esset vetus ? aut quid haberet, Quod legeret tereretque viritim publicus usus ? Ut primum positis nugari Graecia bellis Coepit et in vitium fortuna labier aequa...
Side 221 - Le 10 de janvier, on y appliqua quatorze fois le bouton de feu, dont M. Dubois, qui l'appliquait, paraissait plus las que le roi qui le souffrait, tant sa force et sa constance sont inébranlables dans les choses nécessaires, quand il s'y est déterminé.
Side 299 - Ces principes sont aussi exacte que la première. à l'imitation des choses. Il suffit pour s'en convaincre d'observer les faits. Les choses que nous ne verrions qu'avec douleur dans la réalité, nous font grand plaisir à contempler dans leurs reproductions les plus exactes ; par exemple, les représentations des bêtes les plus hideuses et même des cadavres. § 4. La cause en est fort simple : c'est qu'apprendre quoi que ce soit est un très-vif plaisir, non pas seulement pour les philosophes,...
Side 338 - L'autre : Phaëton a une certaine amitié pour le haut du théâtre ; il n'est point à son aise quand il n'y est pas. L'autre : Phaëton n'est pas fait pour voler, mais il aime mieux voler que de laisser le haut du théâtre vide ; et cent autres rêveries que je m'étonne qui n'aient perdu de réputation toute l'Antiquité.
Side 333 - Ce qui distingue surtout Hippocrate , c'est une haute idée de la médecine , de son étendue , de sa difficulté , de son but ; un perpétuel souci de la dignité médicale, un vif sentiment des devoirs de sa profession , une répulsion profonde pour ceux qui la compromettaient , soit par leur charlatanisme , soit par leurs mauvaises pratiques1; enfin, une sollicitude continuelle de la guérison, ou du moins du soulagement des malades.
Side 247 - ... voulus pas : il l'alla dire à la reine, qui n'osa le refuser. Je dis à Sa Majesté que c'était pour le faire mourir que de le mettre dans le bain en l'état où il était. Comme je vis qu'elle ne me répondait autre chose, sinon qu'il le voulait, je lui dis que je l'en avertissais, et que, s'il en arrivait accident, elle ne s'en prit point à moi.
Side 344 - ... aura des étrangers ou des pauvres, c'est auprès d'eux qu'il courra tout d'abord, disposé à les assister non-seulement de ses remèdes, mais encore de sa bourse. — Quand un médecin se trouve embarrassé, il ne doit pas craindre d'appeler d'autres médecins pour l'éclairer sur l'état des malades et sur les remèdes à employer; mais il ne faut pas s'amuser à disputer ensemble et à se railler les uns des autres, car, l'auteur l'affirme par serment, jamais...
Side 137 - ... traductions de Constantin sont pour ainsi dire un épisode vers la fin de ce même onzième siècle}, procèdent de la vraie doctrine d'Hippocrate et de Galien, connue par d'assez nombreuses traductions latines. Salerne recoit et garde le surnom glorieux de i Cité hippocratique s (Civitas hippocratica). On ne trouverait rien non plus d'hétérodoxe dans les écrits qui nous restent de Trotula (vers l'an io5o,), femme médecin (magister Trota ou Trotula, comme s'exprime le Compendium Salernitanum),...
Side 284 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.
Side 165 - Les règlements 4'hygiène publique et de police médicale, surtout en ce qui concerne les maladies contagieuses, la vente des poisons, des philtres amoureux et d'autres charmes sont promulgués avec une grande solennité. Une organisation si bien entendue et l'antique renommée de Salerne y attiraient beaucoup d'étrangers, médecins ou simples amateurs; Gilles de Corbeil avait séjourné dans cette ville au milieu du treizième siècle; plus tard, Gilbert l'Anglais y vint étudier. Un Allemand,...