La médecineDidier et cie, et chez J. B. Baillière et fils, 1865 - 491 sider |
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Side iii
... doit bientôt remplacer l'ancienne . L'expérimentation ne serait plus alors un moyen d'analyse , et le fait expérimental aurait la pré- tention d'être le commencement et la fin de toute connaissance . Nos élèves subissent alternativement ...
... doit bientôt remplacer l'ancienne . L'expérimentation ne serait plus alors un moyen d'analyse , et le fait expérimental aurait la pré- tention d'être le commencement et la fin de toute connaissance . Nos élèves subissent alternativement ...
Side viii
... doit ses plus mauvais jours à cette union mal assortie . Je ne voudrais pas trop contrister M. Chauffard , à qui personne plus que moi n'aime à rendre entière justice pour l'élevation de son caractère et l'étendue de son savoir ; mais ...
... doit ses plus mauvais jours à cette union mal assortie . Je ne voudrais pas trop contrister M. Chauffard , à qui personne plus que moi n'aime à rendre entière justice pour l'élevation de son caractère et l'étendue de son savoir ; mais ...
Side ix
... doit se borner le rôle de la psycho- logie dans la médecine ; elle y intervient comme un accident et non comme un élément constitutif de la science , ou comme pouvant servir à l'explication de l'origine première et de la nature intime ...
... doit se borner le rôle de la psycho- logie dans la médecine ; elle y intervient comme un accident et non comme un élément constitutif de la science , ou comme pouvant servir à l'explication de l'origine première et de la nature intime ...
Side x
... doit tirer profit . Pourquoi de- mander à la médecine plus qu'à la chimie , qui est une science indépendante de la philosophie propre- ment dite . Pourquoi , encore une fois , demander à la médecine humaine plus qu'on n'exige de la ...
... doit tirer profit . Pourquoi de- mander à la médecine plus qu'à la chimie , qui est une science indépendante de la philosophie propre- ment dite . Pourquoi , encore une fois , demander à la médecine humaine plus qu'on n'exige de la ...
Side xi
... 'il en est ainsi , j'ai grand'peur que ce ne soient ni une âme ni des esprits de lumière qui tiennent les deux bouts de cette chaîne . On ne doit pas permettre que la religion serve de drapeau à la médecine ; INTRODUCTION . XI.
... 'il en est ainsi , j'ai grand'peur que ce ne soient ni une âme ni des esprits de lumière qui tiennent les deux bouts de cette chaîne . On ne doit pas permettre que la religion serve de drapeau à la médecine ; INTRODUCTION . XI.
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Side 286 - Quam nobis, quid nunc esset vetus ? aut quid haberet, Quod legeret tereretque viritim publicus usus ? Ut primum positis nugari Graecia bellis Coepit et in vitium fortuna labier aequa...
Side 221 - Le 10 de janvier, on y appliqua quatorze fois le bouton de feu, dont M. Dubois, qui l'appliquait, paraissait plus las que le roi qui le souffrait, tant sa force et sa constance sont inébranlables dans les choses nécessaires, quand il s'y est déterminé.
Side 299 - Ces principes sont aussi exacte que la première. à l'imitation des choses. Il suffit pour s'en convaincre d'observer les faits. Les choses que nous ne verrions qu'avec douleur dans la réalité, nous font grand plaisir à contempler dans leurs reproductions les plus exactes ; par exemple, les représentations des bêtes les plus hideuses et même des cadavres. § 4. La cause en est fort simple : c'est qu'apprendre quoi que ce soit est un très-vif plaisir, non pas seulement pour les philosophes,...
Side 338 - L'autre : Phaëton a une certaine amitié pour le haut du théâtre ; il n'est point à son aise quand il n'y est pas. L'autre : Phaëton n'est pas fait pour voler, mais il aime mieux voler que de laisser le haut du théâtre vide ; et cent autres rêveries que je m'étonne qui n'aient perdu de réputation toute l'Antiquité.
Side 333 - Ce qui distingue surtout Hippocrate , c'est une haute idée de la médecine , de son étendue , de sa difficulté , de son but ; un perpétuel souci de la dignité médicale, un vif sentiment des devoirs de sa profession , une répulsion profonde pour ceux qui la compromettaient , soit par leur charlatanisme , soit par leurs mauvaises pratiques1; enfin, une sollicitude continuelle de la guérison, ou du moins du soulagement des malades.
Side 247 - ... voulus pas : il l'alla dire à la reine, qui n'osa le refuser. Je dis à Sa Majesté que c'était pour le faire mourir que de le mettre dans le bain en l'état où il était. Comme je vis qu'elle ne me répondait autre chose, sinon qu'il le voulait, je lui dis que je l'en avertissais, et que, s'il en arrivait accident, elle ne s'en prit point à moi.
Side 344 - ... aura des étrangers ou des pauvres, c'est auprès d'eux qu'il courra tout d'abord, disposé à les assister non-seulement de ses remèdes, mais encore de sa bourse. — Quand un médecin se trouve embarrassé, il ne doit pas craindre d'appeler d'autres médecins pour l'éclairer sur l'état des malades et sur les remèdes à employer; mais il ne faut pas s'amuser à disputer ensemble et à se railler les uns des autres, car, l'auteur l'affirme par serment, jamais...
Side 137 - ... traductions de Constantin sont pour ainsi dire un épisode vers la fin de ce même onzième siècle}, procèdent de la vraie doctrine d'Hippocrate et de Galien, connue par d'assez nombreuses traductions latines. Salerne recoit et garde le surnom glorieux de i Cité hippocratique s (Civitas hippocratica). On ne trouverait rien non plus d'hétérodoxe dans les écrits qui nous restent de Trotula (vers l'an io5o,), femme médecin (magister Trota ou Trotula, comme s'exprime le Compendium Salernitanum),...
Side 284 - Mais, sur toute chose, ce qui me plaît en lui, et en quoi il suit mon exemple, c'est qu'il s'attache aveuglément aux opinions de nos anciens, et que jamais il n'a voulu comprendre ni écouter les raisons et les expériences des prétendues découvertes de notre siècle, touchant la circulation du sang, et autres opinions de même farine.
Side 165 - Les règlements 4'hygiène publique et de police médicale, surtout en ce qui concerne les maladies contagieuses, la vente des poisons, des philtres amoureux et d'autres charmes sont promulgués avec une grande solennité. Une organisation si bien entendue et l'antique renommée de Salerne y attiraient beaucoup d'étrangers, médecins ou simples amateurs; Gilles de Corbeil avait séjourné dans cette ville au milieu du treizième siècle; plus tard, Gilbert l'Anglais y vint étudier. Un Allemand,...